Toi et moi, pour toujours | Aetos
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Autumn T. Serpentard
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| | | |  Sujet: Toi et moi, pour toujours | Aetos Lun 23 Jan - 8:47 | |
| toi et moi pour toujours Autumn et Aetos  Tu n’étais pas du genre à retenir beaucoup de leçon. Parce que tu t’étais toujours foutu de l’école, des cours et de tous les trucs dans ce genre là. En revanche, tu avais appris des erreurs du passé, de tes parents, et tu étais prête à travailler dur pour ne pas faire les mêmes. C’est pour ça que tu étais dégoulinante de sueur malgré la simple brassière et le mini short qui recouvraient ton corps. Tu avais passé les heures précédentes – au moins deux – à taper dans ce sac de box. C’était très bénéfique, puisqu’en plus d’entretenir ta ligne, cela te permettait à la fois de te défouler, d’entraîner ton corps au combat, et vider ton esprit en t’aidant à mieux réfléchir. C’est de ça que tu parles quand tu dis que tu ne referas pas les erreurs du passé. Tes parents avaient commis l’erreur de ne jouer que de leurs magies. Alors certes, tu étais très puissante, tout comme ton jumeau. Vous étiez les descendants de serpentard, ce n’était pas rien. Que vous soyez deux rendait votre force plus grande encore. Mais lorsque la magie n’était pas suffisante, lorsque plus rien n’allait, que vous étiez désarmés, tu aimais pouvoir compter sur ton corps pour prendre le relais. Certains disent que ce n’est pas digne d’un sang pur, que c’est une technique de moldu. Tu t’en fiche un peu. Tu te fous des gens. Seul l’avis de ton frère compte. Et tu sais que lui soutien chacune de tes causes.
Tu passes une serviette sur ton front, éponge la sueur. Après quelques derniers coups, tu décides que c’est suffisant pour aujourd’hui. Tu glisses la serviette autour de ton cou, et traverses le couloir. Vous aviez aménager dans un immense manoir, avec ton frère. Vous n’aviez pas envie d’être mêler à d’autres sorciers. Parce que dans ce monde, c’était vous. Vous contre le reste du monde. Vous qui prendriez un jour le pouvoir. Vous aviez de grands projets. Avant de rejoindre ton frère, tu fais un détour par la cuisine. Après autant d’effort, tu as faim. Tu t’es beaucoup dépensée, alors il faut que tu récupères des forces. Tu attrapes une assiette dans le frigo, mais, distraite, tu l’échappes. Elle se brise au sol dans un éclat monstrueux. Ton cœur tambourine face à ces éclats qui jonchent le sol. Tu les regardes, te perds dans leurs contemplations. Tu te penches, ramasses les éclats pour les mettre à la poubelle. Mais, au dernier moment, tu en gardes un dans ta main. Tu observes le verre qui reflète la lumière autour de toi. Tu observes le côté tranchant. Et, assez naturellement, ta main se referme autour du morceau. Et tu sers. Fort. Tu sens la pression mordre ra chair. Tu sens le sang qui s’écoule jusqu’au sol. Tu sens, à peine, la douleur qui se répand le long de tes os. La douleur est là, beaucoup trop infime.
Sadique. C’est ce qu’ils ont dit. C’était leurs diagnostic à tous. Envers les autres, que tu as toujours pris plaisir à torturer, mais aussi envers toi-même. Mais ce n’est jamais assez, jamais suffisant. La douleur n’est jamais assez forte. Tu en veux toujours plus. Tu ouvres ta main, et saisi le morceau à présent rouge de sang. Tu le glisses sur la peau lisse de ton bras. Une fine ligne rouge apparaît presque aussitôt. Mais rien. Tu sens à peine ta peau s’ouvrir. Tu t’apprètes à recommencer quand ton frère arrive derrière toi. Prise sur le fait. Tu relèves le regard vers lui. Il connaît tes troubles. Il te connaît mieux que personne. Alors tu ne te caches pas. Tu n’as même pas honte.
(c) Dandelion |
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Aetos Serpentard
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| | | | | Sujet: Re: Toi et moi, pour toujours | Aetos Lun 13 Fév - 17:50 | |
| toi et moi pour toujours Autumn et Aetos Accoudé à ton bureau, tu regardes le livre de magie d’un œil vide. T’as un devoir à faire sur l’histoire magique d’un grand sorcier. Alors bien sûr, tu pensais immédiatement prendre ton ancêtre, Salazar Serpentard ou encore celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, mais ton professeur vous les avait interdits. Complètement débile selon toi, alors que personne ne pouvait rivaliser avec de tels sorciers. D’un geste las, tu refermes le bouquin avec un énième soupir. Tu as encore une semaine pour faire ce devoir, donc, tu as encore le temps. Troquant ton sweat et jean contre un jogging de sport, tu fais quelques mouvements d’étirement. Bien sûr, tu pourrais te rendre dans la salle de sport que vous avez aménagé avec ta jumelle, mais tu sais qu’elle s’y trouve. Et tu ne veux pas la déranger, alors que cela fait déjà une bonne heure qu’elle s’y trouve. Une fois certain d’éviter un claquage, tu sautes pour attraper la poutre qui se trouve dans ta chambre. Et tu commences une longue série de tractions. Cela te permet de te vider l’esprit, d’oublier tout ce qui t’empêche de dormir. Lorsque tu ne sens plus tes bras, tu te laisses retomber au sol. Mais tu enchaines avec le bas du corps. Tu veux toujours garder la ligne. Ainsi, si ta magie vient à te faire défaut, tu pourras toujours te défendre au corps à corps. Après un long moment d’entraînement, tu finis par entendre un éclat de verre. T’arrêtant immédiatement, fronçant les sourcils, tu te redresses. Attrapant une serviette pour éponger ta sueur, tu te diriges vers le bruit, te demandant s’il n’est pas arrivé quelque chose à ta jumelle.
Marchant sans bruit dans le couloir, la serviette reposant sur ton épaule, tu arrives rapidement dans la cuisine. Immédiatement, ton regard se pose sur la silhouette de ta jumelle. Tu ne dis rien, continuant de détailler la scène. Et lorsque tu te décales d’un pas, tu vois le sang et le verre brisé. Sans un mot, faisant attention à ne pas t’entailler les pieds, vu que tu es pieds nus, tu rejoins ta jumelle. Tu connais ses troubles, mais tu ne la juges pas. Jamais. Bien au contraire, ça ne la rend que plus belle à ton regard. « Aut’ tu vas te blesser. » Aucun mot plus haut que l’autre. Glissant la main dans la sienne, t’entaillant les doigts au passage, tu attrapes le morceau de verre qu’elle tient fermement. Lui retirant doucement, tu le laisses tomber sur le sol. Puis tu attrapes ta jumelle par la taille, la soulevant avec facilité pour la déposer sur le plan de travail. « Ne bouge pas, ok ? » Tu attrapes un torchon propre dans le placard, avant de te remettre devant elle. Glissant le tissu contre sa main et son bras, tu attrapes son menton de ta main libre pour la forcer à te regarder. « Tu sais qu’il y a d’autre moyen de se faire du bien … Le sexe par exemple, tu y as pensé depuis la dernière fois qu’on en a parlé ? » Bien sûr, l’idée qu’un gars la touche, ça te rend barge. Mais si ça peut lui permettre de ne plus se blesser volontairement, c’est un bon point.
(c) Dandelion |
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Autumn T. Serpentard
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| | | | | Sujet: Re: Toi et moi, pour toujours | Aetos Jeu 16 Fév - 11:14 | |
| toi et moi pour toujours Autumn et Aetos Le sang coule le long de ton bras, et le liquide t'hypnotise. Tu aimerais ressentir quelque chose, de la douleur, un tiraillement, mais rien. Tu ne sens même pas la moindre petite brulure, rien de mal, mais rien de bien non plus. Tu n'es pas soulagé, pire, cela te pousse à recommencer, à toujours plus. Heureusement - ou malheureusement - tu es interrompu par l'apparition de ton frère. Tu devrais peut-être te cacher, ce n'est pas glorieux, et tu ne devrais pas lui faire subir tes frasques, mais il ne t'a jamais jugé, et tu sais qu'il ne le fera jamais. Parce tu fais partie de lui, et il fait parti de toi. Tu le laisses s'approcher, t'installer sur le plan de cuisine, te mettant hors de portée du mal que tu pourrais toi-même t'infliger.
C'est lorsqu'il glisse sa main dans la tienne, retire ce morceau de verre, s'égratigne par la même occasion, et que son sang se mêle au tien qu'une bouffée de chaleur se répand dans ton corps. Parce qu'il souffre. Qu'il souffre de ton inconscience. Qu'il souffre pour toi. Et ça, c'est la meilleure des sensations. Alors, alors qu'il s'efforce de soigner ta main, de faire cesser le sang qui s'écoule de ta plaie, toi tu n'as d'yeux que pour la sienne. Tu attrapes sa main, caresse ses doigts pour ouvrir son poing, et suis des doigts le tracé fin du verre sur sa peau. Tu relèves à peine la tête vers lui lorsque tu lui réponds. « Ca ne fonctionne pas. » Parce que oui, ce conseil t'avais essayé de le mettre en pratique. Plus de foi que ton frère te l'avait conseillé. Tu ne comptais pas le nombre de tien que tu avais foutu dans ton lit. Et le résultat avait toujours été le même. « A moins que je ne me contentes pas de les laisser me prendre. Si je prends le pouvoir, si je les plies à chacun de mes plus sombres désirs. Ca fonctionne. Un peu » Tu hausses les épaules, parce que ce n'est que moindre. « Mais ça ne dure jamais longtemps. Parce que lorsqu'ils comprennent à quel point je suis atteinte, à quel point je suis apte à leur faire du mal, ils déguerpissent » Parce que oui, c'est ça le problème. Le plaisir n'a été présent que lorsque tu t'es approché de la douleur, encore et toujours. Lorsque tes mains se sont refermé autour de leurs gorges, lorsque tes ongles se sont enfoncés en eux, lorsque tes dents ont arrachés des morceaux de peau. Mais personne n'est assez dingue pour accepter cela de bon grés. « De toute façon je n'avais pas envie d'eux. Je ne ressens rien pour eux. Ils sont fades » Contrairement à lui. Son frère était toute sa vie, et il était bien l'unique certitude dans sa vie. Mais cela allait bien au delà. Parce qu'elle entendait les rumeurs, les bruits de couloirs. Tous se posaient la question sur ce qui les liait réellement. Ils étaient trop proche pour le commun des mortels. Sans était malsain pour eux. Là où tu ne voyais pas où était le problème. « J'ai besoin de ça, Aetos. Et personne n'est capable de le comprendre. C'est vous, ou c'est moi. Mais j'ai besoin que quelqu'un souffre pour me sentir bien. Je sais que ce n'est pas normal, que quelque chose cloche, mais c'est en moi. » Tu relèves enfin les yeux vers lui. « Il faut qu'on trouve une solution, Aetos. Parce que celle-là, c'est la seule qui fonctionne jusqu'à présent. » Tu désignes l'état de ta main ainsi que ton bras pour lui faire comprendre de quoi tu parles.
(c) Dandelion |
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Aetos Serpentard
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| | | | | Sujet: Re: Toi et moi, pour toujours | Aetos Ven 7 Avr - 15:09 | |
| toi et moi pour toujours Autumn et Aetos Lorsque tu vois le sang sur le carrelage et sur son bras, tu ne fais aucun commentaire. Tu sais comment elle est. Tu sais combien elle n’est pas comme les autres. Mais c’est bel et bien ce qui ne la rend que plus belle à ton regard, même si tu ne lui as jamais dit. Après tout, ce n’est pas normal d’éprouver de tels sentiments à l’égard de ta moitié. L’attrapant délicatement par la taille, la soulevant sans difficulté, tu la déposes sur le plan de travail. Ainsi, elle ne pourra pas se blesser. Tu t’es écorché les doigts en lui retirant le morceau de verre, mais ça n’a pas grande importance. La forçant à relever son regard vers toi, tu n’aimes pas l’idée que tu lui as proposé. Qu’un autre puisse poser ses mains sur elle, ça te rend fou. Mais si ça peut l’aider, alors tu fais taire cette jalousie qui coule dans tes veines. Ta jumelle te répond immédiatement, ce qui te fait pincer les lèvres. Tu l’écoutes avec grande attention, alors que tu fais pression sur sa plaie pour tenter de calmer le sang qui s’en écoule. Cela te rend malade de l’entendre te parler de ces hommes qui sont entrés dans son lit. « Hum… » Tu ne le montres pas, mais dans le fond, tu es heureux d’entendre qu’elle ne les désire pas. C’est plus fort que toi, alors que l’idée même qu’elle trouve quelqu’un, te donne des envies de meurtre. Tu as déjà ôté la vie, le refaire ne te dérangera pas. Surtout si c’est pour garder ta sœur auprès de toi. Autumn reprend et il te faut quelques secondes pour comprendre ce qu’elle veut dire. Effectivement, tu n’as pas les mêmes penchants qu’elle, donc cela est difficile à imaginer. Mais ce n’est pas pour autant que tu la juges ou la traites de folle. Bien au contraire, elle est loin de tout ça à ton sens. « On va trouver une solution dans ce cas, je te le promets. » Et elle te connaît, elle sait que tu ne fais jamais de promesse en l’air. Ce n’est pas dans ton style, encore moins quand cela la concerne. Enlevant le bout de tissu, tu te recules, faisant attention aux morceaux de verre sur le sol, pour attraper la trousse de secours qui se trouve sous l’évier. L’attrapant, tu retournes près de ta sœur. Désinfectant la plaie, tu enroules une bande par la suite pour protéger sa blessure. Tu ne dis rien pendant tout ce temps, réfléchissant à la meilleure des solutions. Tu es au courant des rumeurs qui circulent sur vous. Mais tu n’en as que faire, alors que ça ne regarde que ta jumelle et toi. Rangeant le tout, tu te tournes vers elle, alors que ton pouce caresse le bandage que tu viens de faire. « Il te faut quelqu’un de résistant qui accepterait des penchants, ton envie de faire mal, ton côté prise pouvoir au lit, on est d’accord ? » Tu attends qu’elle confirme avant de pouvoir poursuivre. Ton idée est en train de germer dans ton esprit. Et ça te semble être la solution parfaite, même si bien sûr, ça devra rester entre vous. Une fois que ta jumelle a affirmé tes dires, tu plantes ton regard dans le sien, très sérieux. « Je serais cette personne. »
(c) Dandelion |
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Autumn T. Serpentard
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| | | | | Sujet: Re: Toi et moi, pour toujours | Aetos Dim 21 Mai - 22:01 | |
| toi et moi pour toujours Autumn et Aetos Tu es malade, et c'est bien ta seule certitude. Tu ne t'en caches pas, pas plus que tu te défiles lorsque l'on te traite de folle. Parce qu'après tout, tu en as tout l'air. Là où les femmes prennent leurs pieds, toi, c'est la douleur, et le sang qui te font jouïr. Tu ne connais pas le plaisir, le désir, ou l'amour, en dehors de ceux que tu ressens pour ton frère. C'est des sentiments qui te sont étranger. Parce que tu n'as besoin que de lui pour vivre. Tu n'as besoin de personne d'autre. Alors, tu lui expliques. Tu lui fais comprendre que tu as essayer, que tu voulais vraiment trouver une solution pour ne pas être obliger d'en arriver à de telle extrémité - bien que dans le fond, toi, ça ne te dérange pas. Mais rien ne fonctionne jamais, personne n'est jamais à la hauteur de tes besoins.
Il s'éloigne, se rapproche à nouveau, panse tes plaies, et tu le laisses faire. Le silence vous enveloppe, mais il n'est pas désagréable, vous n'avez jamais eu besoin de parole pour vous comprendre, pour vous sentir bien. Bien que ce silence là révèle toutes tes failles, l'immensité du vide qui s'impose à toi et qui semble être ton seul avenir. Tu relèves le regard vers lui lorsqu'il reprend la parole, hoche la tête pour confirmer. Tu ne comprends pas où il souhaite en venir, vous avez déjà eu cette conversation des tonnes de fois, il sait très bien ces choses là. La suite, en revanche, tu ne l'attendais pas. Et elle te laisse muette un long moment. Tu la rejettes aussitôt. Ce n'est même pas envisageable. Et puis, petit à petit, elle s'impose à toi, comme LA SOLUTION. Celle qui pourrait en effet te sauver, te soulager. Parce qu'il est le seul à être en mesure de te faire ressentir une quelconque émotion. Parce qu'il est le seul à te connaître, à savoir de quoi tu as besoin. L'idée fait son bout de chemin, mais tu te ressaisis aussitôt et secoue la tête de manière virulente. « Non. Tu ne sais pas ce que tu dis. Je ne peux pas faire ça. As-tu bien entendu ce que je t'ai dis ? » Tu le repousses. Lui, lui mais aussi son idée. Tu concrétises ton refus par tes gestes. « Tu ne te rends pas compte de ce que tu me proposes. J'ai besoin de douleur, de détruire physiquement la personne qui me possède. Je ne te parle pas de simple petite fessées. Je te parle d'asphixie, de lasseration, pire encore. » Non, tu ne peux clairement pas te résoudre à faire subir ça à ton frère, la chair de ta chair. « Je ne sais jamais si je serais en mesure de m'arrêter avant qu'il ne soit trop tard. Je pourrais te tuer juste pour une putain de minutes de bonheur. Hors de question » Parce que c'est ça, qui te fait prendre ton pied. Et qu'une fois lancé, tu perds tout contrôle, tu n'as plus la main sur rien. « Et si ce n'était que ça. Mais j'ai besoin de vivre cette douleur. J'ai besoin d'avoir mal. C'est cette putain de douleur, qui me fait jouir. Tu n'accepteras jamais de me faire mal, d'aller si loin. Ca ne peut pas fonctionner. » Et de toute façon, il ne faut pas que cela puisse fonctionner, ce n'est même pas envisageable.
(c) Dandelion |
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| | Sujet: Re: Toi et moi, pour toujours | Aetos | |
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