Bjorn Slughorn
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Messages : 1 Date d'inscription : 27/11/2023
| | | Sujet: Pour une nuit .. [Macaria/Bjorn] Mar 28 Nov - 17:35 | |
| Pour une nuit ... Macaria et Bjorn. Clope au bec, appuyé contre la balustrade, t’hésites. Tu sais pas comment occuper ta putain de soirée. D’un côté, t’as envie de te casser de là. Mais de l’autre, tu sais bien que tu coupes jamais totalement les ponts. T’as besoin que tout soit parfait. T’as besoin de savoir que les filles se conduisent correctement. Aucun écart de conduite. Sinon, tu les remets dans le droit chemin. Et si ça suffit pas, tu butes tous ceux qui leurs sont proches. Et en dernier recours, tu les détruis mentalement. Tirant sur ta clope, tu souffles ta fumée en l’air. Puis t’entends du bruit derrière toi. Tu bouges pas. Tu sais que t’as rien à craindre. C’est un de tes gars. « Boss … On a un problème. » Comme quoi, t’avais raison. Les emmerdes arrivent toujours. Terminant ta clope, t’écrases le mégot que tu balances du toit. T’en as rien à foutre s’il y a quelqu’un en-dessous. Te tournant, tu plantes ton regard sur lui. T’aimes pas parler pour rien. Alors qu’il parle. Avant que tu perdes patience. « Elle a encore refusé un client … Enfin … Le client s’en est plaint et il est parti sans payer. » Bordel. Putain qu’elle te casse les couilles ! Tu ne montres rien de ton énervement. Mais tu commences à perdre patience avec elle. Alors tu réfléchis. Tu dois agir. Avant qu’elle n’entraîne des rebellions dans les rangs. « Emmène la dans ma suite, dans trente minutes, sans rien lui dire d’où elle va ni qui elle va servir. Tu lui colleras un peignoir sur le dos, par-dessus des sous-vêtements. » Tu vois qu’il est surpris. En même temps, tu baises jamais les filles qui bossent ici. Mais vu qu’apparemment, aujourd’hui, y a pas le choix …
Sortant de la douche, tu portes ton jean noir et une chemise blanche. Les premiers boutons vers le col sont ouverts. Tes mèches encore humides de la douche. Allumant une clope, t’entends frapper à la porte. « Entrez ! » Tu gueules un coup. Puis tu t’installes sur ton canapé, ta clope toujours au bout des doigts. Ton homme de main entre, et derrière lui, Macaria. Parfait. Tu ne prononces pas un mot. Mais d’un signe de tête, t’indiques à l’homme de partir. Tu dis rien. Tu la laisses planter au milieu de la pièce. Tu l’obseves. Elle est désirable. Sexy. Tu la laisses encore pendant plusieurs minutes, puis tu claques des doigts. Et tu lui indiques le sol à tes pieds. C’est là qu’est sa place. T’attends qu’elle s’exécute. Puis tu patientes encore. Et sans qu’elle s’y attende, t’attrapes son menton entre ton pouce et ton index. Et tu plantes ton regard froid dans le sien. « Tu me dois déjà du fric et tu fais ta difficile ? Tu te fous de ma gueule ? » Tu hausses pas le ton. Mais la menace est claire. Alors tu relâches son menton. Et tu appuies ton dos contre le canapé. « Très bien, on va passer un marché toi et moi. T’es à ma disposition entière pour la soirée. Si tu réussis à combler mes attentes jusqu’à huit heures demain, j’enlèverai trois milles sur ce que tu me dois. Alors tu vas me dire que c’est rien ? Certes. Mais si tu me satisfais cette nuit, il y en aura d’autres. Et tu rembourseras bien plus vite. Est-ce que ça te convient ? »
(c) Dandelion |
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