De la haine et de l'amour [Serkan/Lagertha]
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Lagertha Dane
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| | | |  Sujet: De la haine et de l'amour [Serkan/Lagertha] Lun 12 Sep - 13:42 | |
| De la haine et de l'amour Serkan & Lagertha  « Et sinon, tu sais si Serkan voit quelqu’un en ce moment ? Après tout, comme vous vivez que tous les deux ... » Relevant les yeux de ton cahier de cours, tu regardes une de tes amies avec des yeux ronds, remplis de colère. Vous aviez décidé de venir réviser vos cours à la bibliothèque, mais depuis que vous êtes arrivées, elles ne font que parler garçon. Elles désirent être accompagnées au bal qui aurait lieu le lendemain soir. Soupirant lourdement, tu ne peux que grogner en entendant le nom de ton demi-frère, plus vieux que toi d’un an. « Hum … Je n’en sais rien et je m’en fous. Il fait ce qu’il veut de sa queue. » Tu tentes de te reconcentrer sur ton cours, mais en réalité, tu n’y arrives pas. Serkan a beau t’agacer comme personne, il n’empêche que l’idée même qu’il se trouve une copine te rend folle. Souvent, tu l’observes en secret, alors qu’il est au bord de la piscine avec des potes ou qu’il sort de la douche. Mais ça, tu ne l’as jamais avoué à personne. Refermant rapidement ton cahier, tu ranges tes affaires avec fougue dans ton sac et te lève prête à rentrer. « Vous avez qu’à l’appeler si c’est si important ! Moi je rentre ! » Elles tentent de te retenir, mais malheureusement, tu es décidée à partir. Cela t’agace, car tu sais que Mia est le style de Serkan. Après tout, tu vois les nanas qu’il ramène à la villa. Vos parents, enfin ton père et sa mère, ne sont jamais à la maison. Toujours en voyage. Aussi, vous avez la villa pour vous seuls, donc aucun de vous ne se fait priver pour inviter du monde, même en semaine.
Garant ta voiture dans l’allée, tu es surprise de voir celle de Serkan dans l’allée. Il n’avait pas sport ? Ou une fête ? Merde ! Toi qui pensais être seule pendant quelques heures. Entrant dans la villa, tu vas directement jusqu’à ta chambre. Balançant ton sac de cours sur le lit, tu laisses traîner tes baskets à l’entrée. Mettant la musique fort, tu décides d’aller prendre une douche. Ou même un bain finalement ! Te déshabillant, laissant tes fringues traînés dans ta chambre, tu vas jusqu’à ta salle de bain. Tu te fais couler un bon bain chaud, avant de te prélasser dedans pendant un long moment. Tu fermes même les yeux. Quand tu les ouvres de nouveau, l’eau est froide. Te redressant, tu laisses l’eau s’écouler, avant de prendre une douche pour te laver. Mais il n’y a plus d’eau chaude. « Putain tu fais chier Serkan ! » Eteignant l’eau, tu t’enroules dans une serviette. Bien sûr, tu n’as qu’une petite, si bien qu’il couvre ta poitrine et t’arrives en haut des cuisses. Sortant en trombe de ta salle de bain, puis de ta chambre, tu traverses la maison rapidement, tenant fermement le tissu. Tu vas le tuer ! Entrant dans sa chambre, tu ne le vois nulle part. Aussi, tu vas jusqu’à sa salle de bain, mais elle est également vide. Où peut-il bien être ? Grinçant des dents, tu files jusqu’à la salle de jeux, sauf que comme tu aurais dû t’en douter, il n’est pas là. Il ne reste donc qu’une solution : la piscine. Tournant les talons, tu le vois étendu dehors, en short de bain, à travers la baie vitrée. Bordel de merde ! T’avales difficilement ta salive, alors que tu vois l’eau qui coule sur son torse. Il doit avoir été se baigner il y a peu. Tu prends quelques secondes pour te reprendre, affichant de nouveau une expression exaspérée et en colère. Puis tu pousses la porte et tu vas te planter devant lui, follement énervée. « Putain t’étais obligé de prendre toute l’eau chaude ! Tu fais chier Serkan, je fais comment moi pour prendre ma douche ?! » Tu fais tout ce que tu peux pour garder tes pupilles dans les siennes, et non pas les descendre sur son torse. Tu ne devrais pas avoir de tels sentiments à son égard, pourtant c’est plus fort que toi. Il ne manquerait plus qu’il t’annonce qu’il va au bal avec Mia, pour que ta colère soit à son maximum.
(c) Dandelion |
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Serkan Kerton
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| | | | | Sujet: Re: De la haine et de l'amour [Serkan/Lagertha] Jeu 15 Sep - 13:02 | |
| De la haine et de l'amour Serkan & Lagertha Lunettes de soleil posées sur le nez, tu fermes les yeux. Tu profites des derniers jours de soleil. Il fait encore bon ici, mais les saisons froides arrivent, et le soleil laissera bientôt sa place. Et pour l'occasion t'as même décidé de sécher les cours. T'avais pas envie de te prendre la tête avec ça ce matin.Ta mère t'a encore laissé un vague et simple texto pour te prévenir qu'ils ne rentreraient pas avec ton beau père. Tu comprends, on est sur une affaire importante.. Non tu ne comprenais pas. Tu ne comprendrais jamais ce qui peut la retenir si loin de la maison si longtemps. Et d'un côté, tu te sens égoïste, parce qu'elle a sacrifié se carrière pour s'occuper de toi toutes ses années. Tu devrais te montrer indulgent, comprendre, mais la vérité ce qui te dérange c'est qu'elle passe du temps avec lui, ce beau père que tu détestes. Ce n'est pas vraiment lui que tu détestes, tu auras détestés n'importe quel homme qui se serait imposé dans ta vie. Dommage, c'est tombé sur lui. Après ce que ton géniteur vous a fait - oui, parce qu'il ne mérite même pas le titre de père à tes yeux - tu aurais préféré que vous ne restiez que tous les deux. Garder ta mère rien que pour toi. Sans compter que la fille de ce dernier est insupportable et te tape sur les nerfs à longueur de journée. C'est irritant, et si cela ne tenait qu'à toi, tu l'aurais déjà foutu à la porte.
Une ombre te cache soudain du soleil, et lorsque tu ouvres les yeux, tu tombes sur son visage en colère. Tiens, quand on parle du loup. Tu ne l'écoutes que d'une oreille, saisi quelques mots au hasard : douche, chaude. La vérité, c'est que ton regard est parti se balader sur certaines parties de son corps que la serviette recouvre à peine. Et si elle est irritante au possible, elle n'a pas a envier le corps des autres femmes. Tes yeux s'agrippent à ses cuisses qui dépassent sous la serviette, et tu n'en décroches pas. Tu viens même à penser que tu adorerais les voir autour de ta taille. Mais tu secoues vite la tête pour chasser cette idée saugrenue. Oh, aucun doute qu'en temps normal tu l'aurais foutu dans ton lit - toujours avec respect, c'est quelque chose qui te tient énormément à cœur. Mais là, c'est de ta demi sœur qu'on parle. Certes, en lien de sang, rien ne vous réuni. Mais ta mère baise avec son père. Ce serait franchement étrange comme situation. Lorsque tu remontes le regard vers son visage, tu es heureux que tes lunettes de soleil opaque cache la direction de tes yeux. « Pardon, tu disais ? J'ai décroché après le premier mot » Tu affiches un sourire arrogant. Tu dois admettre que ce petit jeu du chien et la souris te fait bien marré, tu ne t'arrêterais pour rien au monde. « Je crois qu'il était question d'une douche, non ? » Tu zappes la question de l'eau chaude de manière intentionnelle. Si c'était une douche qu'elle voulait, tu allais lui en proposer une, et plus rapide que prévu. Tu te relèves nonchalant, jettes tes lunettes de soleil sur le transat, et sans la prévenir l'attrape au niveau des genoux pour la jeter sur ton épaule. A grand pas, alors qu'elle cherche déjà à se débattre en vain - tu es assez fière des heures que tu passes à la salle de musculation pour sculpter ton corps - tu te rapproches de la piscine, et tel l'enfoiré que tu t'efforces d'être avec elle, tu la balances dans l'eau. « Bonne douche, princesse » Tu accentues sur le dernier mot, parce que dans ta bouche, cela n'a rien d'un compliment. Tu n'es pas vraiment sûr qu'elle t'ai entendu, peut-être a-t-elle pris l'eau avant.
Quand elle fini par émerger de l'eau, t'es en train de l'observer, un sourire jusqu'aux oreilles. « La douche n'est pas à ton goût ? La piscine me semblait pourtant assez chaude ce matin. » T'es déjà en train de faire demi tour pour aller reprendre ta place sur ton transat. Comme si elle n'avait jamais dérangé ton repos. Comme si elle n'était qu'un élément qui n'avait pas la moindre importance.
(c) Dandelion |
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Lagertha Dane
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| | | | | Sujet: Re: De la haine et de l'amour [Serkan/Lagertha] Dim 22 Jan - 14:43 | |
| De la haine et de l'amour Serkan & Lagertha Tu es fin énervée. Encore une fois, Serkan a tout fait pour t’énerver. Il a dû prendre une sacrée douche pour qu’il n’y ait plus d’eau chaude. A moins qu’il ne l’a fait exprès. Grinçant des dents, le corps emballé dans une serviette bien trop petite, tu traverses toute la maison au pas de courses. Mais bien évidemment, il n’est pas dans sa chambre. Ni dans la salle de jeux. Il ne te reste donc plus qu’à aller voir à la piscine. Arrivant derrière la baie vitrée, tu ne peux que te figer en le voyant torse nu. Il y a toujours eu cette attraction étrange envers lui. Tu n’as jamais compris d’où elle venait, mais c’est plus fort que toi. Reprenant un visage énervé, simplement en repensant à la douche froide que tu as senti sur ta peau, alors tu ressors rapidement. Allant devant lui, tu te moques de lui faire de l’ombre. Bien sûr tu râles et comme à son habitude, il a ce sourire en coin au bord des lèvres. Et ça t’agace encore plus ! Alors quand il te provoque, tu perds encore plus patience. « Connard va ! » Il t’énerve autant qu’il t’attire. Tu ne sais clairement pas comment c’est possible, mais c’est plus fort que toi. Le fixant avec des yeux noirs, tu serres les poings avec force lorsqu’il te lance une nouvelle pique. « Oui c’est ça ! Une douche où tu as pris toute l’eau chaude. » Lorsqu’il se redresse, tu es incapable de détourner le regard. Son torse … Toutes ces heures qu’il passe à la salle de musculation sont belles et bien réelles. Tu comprends pourquoi bon nombre de tes copines aimeraient sortir avec lui, mais toi, ça t’agace. Avant que tu ne puisses réagir, tu sens ses bras autour de tes jambes et ton corps qui bascule par-dessus son épaule. Tu tentes de te débattre de ton poing libre, frappant son dos, mais tu te dois de retenir ta serviette. Tu comprends son attention, alors tu te mets à hurler. « Serkan arrête putain ! Fais pas le con ! » Tu n’as pas le temps de réagir qu’il te balance dans l’eau. Bien sûr, tu lâches un cri mais c’est trop tard. Ton corps vient frapper l’eau, et ta serviette s’éloigne déjà. Tu n’as pas eu le temps de la rattraper et ta colère grandit encore plus. Nageant jusqu’à la surface, tu l’entends reprendre la parole alors qu’il se dirige de nouveau vers le transat. Alors tu pourrais nager pour récupérer ta serviette, mais non, tu es bien trop énervée pour ça. Aussi, sur un coup de tête, te moquant de ton corps nu, tu t’appuies sur la margelle et tu sors de l’eau. Arrivant sans bruit dans son dos, tu l’attrapes par la ceinture de son short et tu le pousses à son tour dans l’eau. Une fois qu’il est dedans, tu prends compte que ton corps est exposé à son regard. Cachant ta poitrine et ton intimité du mieux que tu le peux, tu lui indiques du menton ta serviette. « Maintenant que tu es dedans, vas me la récupérer. » Bien sûr, tu lui ordonnes. C’est de sa faute tout ça. Lui qui a utilisé toute l’eau chaude. Lui qui t’a jeté dans l’eau. Lui qui est agaçant comme personne ! Attendant au bord de l’eau, tu le presses un peu. « Et plus vite ! J’ai pas envie que les voisins me voient comme ça ! » Même si pour ça, il faudrait qu’ils regardent au-dessus des haies de plus de trois mètres. Mais elle n’est pas à l’aise d’être sous son regard à lui.
(c) Dandelion |
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Serkan Kerton
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| | | | | Sujet: Re: De la haine et de l'amour [Serkan/Lagertha] Mer 1 Fév - 6:52 | |
| De la haine et de l'amour Serkan & Lagertha Tu ne sais pas pourquoi tu agis comme ça avec elle. D’une certaine façon, tu lui fais payer l’absence de vos parents, ainsi que leurs décisions de refaire leurs vies ensembles. Alors que tu n'avais aucune envie de ça. Tu étais très bien dans ta vie, avec un parent solitaire. Tu n’avais pas besoin qu’ils viennent tout bouleverser. Encore moins pour t’amener une demi sœur. Et puis, avec de tels parents, on a très vite l'impression d’être seul. Alors, taper sur le système de la jolie brune, c’est aussi une occupation qui te distrait de l’ennui. Le coup de la douche, ce n’était pas grand chose. C’est un travail de longue haleine. Tu laisses les paquets de céréales vide dans le placard, tu transformes son shampoing en dentifrice et inversement. Tu sales trop ses plats. Bref, tu t’occupes comme tu peux.
La vérité, c’est que tu aimerais la détester. Elle est un élément étranger dans ta vie, ta famille. Mais plus tu la connais, plus elle t’est agréable. Tu l’apprécies, parce qu’elle le manque jamais de te rendre chacun de tes mauvais coups. Tu aimes qu’elle ne se laisse pas faire. Et puis, tu aurais pu tomber sur pire. Tu aurais pu avoir un laidron, tu aurais aussi pu tomber sur une petite intello à deux balles. Tu ne peux pas te plaindre de ce côté-là. Carrément pas, même. A vrai dire, elle est même plutôt bandante. Mais ça n’en reste pas moins ta sœur – demi sœur, mais tout de même. Tu t’efforces Dr te rentrer ça dans la tête. Parce qu’en temps normal, tu l’aurais déjà foutu dans ton lit, avec un corps pareil. Sans compter qu’elle est là, à chaque instant, envahissant ta vie et ton intimité.
Mais ça reste ta sœur, même si aucun lien sanguin ne vous relie. Alors, tu lui mènes la vie dure. Parce que tant que tu te concentres sur les conneries que tu pourrais faire pour l’emmerder, tu ne te concentres pas sur son corps, ou sur le tien qui réagit quand tu la vois avec une simple serviette autour du corps. Tu es presque certain qu’elle ne s’en rend pas compte, mais elle n’a pas son pareil pour exercer la tentation. Et puisqu’elle voulait une douche, tu te prends au jeu de lui offrir ce qu’elle désire et la fous à l’eau. Même si c’est plutôt toi qui aurait besoin d’une douche – très froide à l’évidence, et que la sentir se tortiller contre toi n'a pas arrangé les choses.
Et très vite, ça dérape lorsque son caractère impulsif prend le dessus. Tu aurais facilement pu la contrer, tu es plus costaud qu’elle, plus grand qu’elle, mais tu es pris au dépourvu par son corps nu. Merde alors. Tu l’imaginais bien foutu à chaque fois que tu avais pu la mater de loin en maillot de bain mais là c’est carrément autre chose. Et la seule pensée qui effleure ton esprit alors qu’elle te balance à son tour à l’eau, c’est que sa poitrine à la parfaite dimension pour que tes paumes se referment autour. Merde. Merde. Merde. Et la rudesse de l’eau quand tu t’éclates contre la surface ne change rien à tes ardeurs.
Lorsque tu émerges de l’eau, elle se protège à l’aide de ses bras, mais c’est trop tard, tu as déjà vu ce que tu avais à voir, et chacune de ses courbes sont gravées à l’encre indélébile dans ton esprit. Tu mets d’ailleurs un moment à réagir. A réussir à te détacher de cette vision, pour attraper sa serviette qui flotte un peu plus loin. Et tu ne sais pas trop ce qu’il te prend. Au lieu de la lui lancer, ce qui aurait nettement était préférable, tu t’approches d’elle. Tu le frôles lorsque tu passes à son niveau, et continues jusqu’à ton transat pour attraper ta propre serviette – sèche – qui pendait au dossier. Tu laisses l’autre traîner par terre, inutilisable de toute façon. Et puis, tu t’approches à nouveau d’elle. Trempe de la tête au pied, elle pourrait ressembler à un chien mouillé, mais ce n’est pas le cas. T’as comme l’impression qu’importe la situation, elle sera toujours à son avantage. Tu la contournes pour enrouler toi-même la serviette autour de son corps menu. « Je réclame une trêve pour la soirée » Ta voix est bien plus grave qu’à l’accoutumé, et pour cause, tu te retiens de lui bouffer les lèvres. Et si tu arrives encore à contrôler tes pulsions, tu n’arrives pas à te convaincre de t’éloigner, la main toujours serrée autour de la serviette. Tu penches dangereusement dans sa direction, le regard braqué sur sa bouche. Mais un souffle d’air frai qui la fait frissonner te remet un peu les esprits en place. « Va t’habiller. Vite. Avant que je change d’avis » Et putain, ce que c’est dur de te convaincre de lâcher ce bout de tissu et de t’éloigner juste d’un pas pour la laisser partir.
(c) Dandelion |
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Lagertha Dane
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| | | | | Sujet: Re: De la haine et de l'amour [Serkan/Lagertha] Lun 13 Fév - 15:54 | |
| De la haine et de l'amour Serkan & Lagertha Tu n’as pas réfléchi. Non clairement, c’est la colère qui a pris le dessus, te faisant sortir de l’eau sans te préoccuper de ta serviette. Aussi, tu as rapidement grimper la margelle, avant d’attraper Serkan par son short de bain. Et à ton tour, tu l’as fait atterrir dans la piscine. Toi-même tu es la première étonnée à avoir réussi, alors que clairement, il est bien plus fort que toi. Clairement, tu n’as pas beaucoup de muscle. Tu es maigre, trop aux yeux des autres filles, mais pile poil pour les mecs qui voudraient sortir avec toi. Le regardant sombrer, ta colère redescend immédiatement. Et tu te rends compte de ta tenue. Immédiatement, alors qu’il sort la tête de l’eau, tu te couvres comme tu le peux à l’aide de tes bras. Et tu lui ordonnes d’aller chercher ta serviette. Tout ça, c’est entièrement sa faute ! Aussi, tu commences à grincer des dents quand tu vois qu’il n’a toujours pas effectué un mouvement pour aller récupérer ta serviette. Tu ne vas quand même pas devoir rester nue au milieu du jardin ?! Heureusement que les haies sont hautes, vos voisins ne peuvent donc rien voir. Mais ce n’est pas leur regard qui te dérange, non, c’est le sien. Serkan finit par sortir de l’eau, ta serviette dans les mains. Mais il ne te la rend pas. Te retenant une insulte, tu te demandes comment sortir de ce pétrin. Mais tu sursautes en sentant sa serviette sur tes épaules. Le regardant avec des yeux ronds, tu remarques que sa voix est plus rauque. Lui ferais-tu de l’effet ? Tu en doutes sincèrement. Pourtant lorsqu’il se penche, tu te demandes s’il ne va pas t’embrasser. Mais un courant d’air te fait frissonner. Décidant de jouer, tu souris malicieuse. « Ok pour une trêve. » En réalité, il n’en est rien. Tu veux voir si c’est ton imagination qui te joue des tours ou non. Serrant la serviette contre toi, tu te dépêches de rentrer. Grimpant les marches jusqu’à ta chambre, tu prends enfin le temps pour respirer son odeur sur la serviette. Sourire aux lèvres, tu te concentres sur ton armoire. Et après t’être séchée, tu enfiles un slip, un short de sport noir, que tu sais bien court. Un débardeur rayé pour compléter ta tenue, qui a un col plutôt plongeant, où tu fais exprès de ne pas mettre de soutien-gorge en dessous. Attrapant ta serviette, tu te sèches rapidement les cheveux. Avec l’eau ils ondulent naturellement. Regardant par la fenêtre, tu vois que Serkan est toujours dehors mais qu’il ne va pas tarder de rentrer. Aussi, tu quittes ta chambre rapidement, avant d’aller te glisser sur son lit. T’allongeant dessus sur le ventre, comme si de rien n’était, tu attrapes un bouquin qui traîne sur sa table de nuit, faisant semblant de lire. Tu crèves d’envie qu’il t’embrasse. Mais tu as peur de te faire sincèrement des idées. Lorsque tu entends ses pas dans les escaliers, tu fais mine de rien. Et lorsqu’il entre, tu te tournes vers lui, offrant ton décolleté à son regard, les joues rouges, alors que tu le regardes avec défis. « Vu que je n’ai pas eu le droit à une bonne douche, tu n’auras pas ton lit. » Et tu n'es pas prête de bouger de là.
- le short:
(c) Dandelion |
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Serkan Kerton
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| | | | | Sujet: Re: De la haine et de l'amour [Serkan/Lagertha] Dim 21 Mai - 21:35 | |
| De la haine et de l'amour Serkan & Lagertha « Quel con » Tu jures contre toi-même dès que tu te retrouves de nouveau seul au bord de la piscine. T'étais à deux doigts de fondre sur ses lèvres, à deux doigts d'oublier qu'elle est ta demi soeur, que t'es censé la détester, faire de sa vie un enfer afin qu'elle se tire vite fait bien fait et que tu te retrouves de nouveau seul comme tu en avais l'habitude. Mais, le temps de quelques secondes, alors que la courbe de son corps s'est imprimé à ta rétine, tu en as oublié même jusqu'à ton nom. Elle est canon. Même plus que ça. Bien sûr, tu t'en étais déjà aperçu, mais jusque là, tu n'en avais pas tenue cas. PArce qu'elle était ta demi soeur, que tu la détestais depuis qu'elle s'était imposé à ta vue. T'avais toujours été plus intéréssé à l'idée de lui pourir la vie. En plus, c'était vraiment pas le genre de femme qui attirait ton oeil d'habitude. Tu étais plutôt du genre belle blonde à la poitrine volumineuse. Parce que tu t'en fichais. Les femmes ne t'interessaient pour rien d'autre que pour le sexe. Tu n'étais pas du genre à te poser sérieusement. Alors elle, avec son petit gabarie, tu n'avais jamais pensé à elle de cette manière. Clairement pas.
Et pourtant, alors même qu'elle n'est plus là, son corps nu hante encore tes pensées. Il faut que tu te calmes. Et de manière urgente. Tu attrapes portable, lunettes de soleil et te précipite à l'intérieur. Tu secoues la tête, comme si ce simple mouvement pouver suffir à chasser les pensées impures qui s'y accroche. Tu grimpes les marches deux à deux, avec l'espoir d'aller t'enfermer dans ta chambre avant qu'elle ne ressorte de la sienne, histoire d'être sûr de ne pas la voir à nouveau. Quand bien même elle aurait enfilé une bonne couche de vêtement sur elle, ton cerveau te renverait tout de même des images d'elle nue. Tu fais un accro par la salle de bain, retire ton maillot de bain qui te colle à la peau et qui laisse bien trop ressortir ton désir. Tu sautes sous la douche. L'eau glaciale percute ton corps, mais c'est parfait, c'est exactement ce qu'il te faut. Tu ressors une minute plus tard, tu n'as pas besoin de plus, juste de quoi refroidir tes hardeurs. Tu attrapes un boxer que tu enfiles et tu files jusque dans ta chambre ainsi.
Quand tu pousses la porte, la vision t'arrête nette. Et tu regrettes immédiatement d'avoir pensé qu'une couche de vêtement ne changerait rien. Sa tenue est bien pire. Aguichante ce qu'il faut, laissant apparaître ses magnifiques courbes que tu connais maintenant plus intimement. Pire encore, la présence de vêtement aussi attrayant ne te donne qu'une envie : les lui arracher. Ton sexe pointe de nouveau vers le haut, révélant ton désir. Rien ne te permet de te cacher de son regard. Et elle ne se cache d'ailleurs pas du tien non plus. « Bordel, mais qu'est-ce que tu fous là ? » Te concentrer sur ça. La hargne, les insultes, les disputes. Voilà. Tout vaut mieux que les images qui se grave dans ta tête. « Et c'est quoi cette tenue ? T'as prévu de te faire sauter ce soir ? » Tu te mords aussitôt la langue. La blesser pour qu'elle se casse au plus vite, oui, mais pas ainsi. « Tu ferais mieux de ne pas sortir comme ça. Il pourrait t'arriver des bricoles. Certains mecs pourraient prendre ça pour une invitation. Fais attention. » Ce n'est pas vraiment de l'inquiétude, tu refuses que ça en soit. Mais l'image désagréable de la jeune femme se balandant dans la rue ainsi vêtue, et d'une homme qui abuserait d'elle et de sa faiblesse fait bouillir ton sang.
(c) Dandelion |
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| | Sujet: Re: De la haine et de l'amour [Serkan/Lagertha] | |
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