Entre haine et désir. [Cara/Samael]
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Samael Cooper
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| | | |  Sujet: Entre haine et désir. [Cara/Samael] Mer 1 Fév - 10:49 | |
| Entre haine et désir. Cara & Samael  Mégot au coin des lèvres, bras croisés sur le torse et corps appuyé contre le mur, ton regard se perd vers l’horizon. T’écoutes à moitié ce qui se passe autour de toi, et pour cause, c’est du blabla pour ne rien dire. Personne ne veut prendre de décision, mais à un moment, il va bien falloir agir. Parker est en train de vous chier dans les bottes, comme il le fait depuis plusieurs années. Ton père est mort par sa faute et tu rêves de pouvoir lui coller une balle entre les deux yeux. « Coop’ tu nous écoutes ? » Soupirs lourdement poussés, te moquant clairement de te faire entendre. Récupérant ta clope entre tes doigts, tu te tournes vers ton oncle dans un geste lent. Mais tous ceux qui sont autour de la table, sont au courant que ce n’est pas bon signe. Même ton oncle se rassoit, signe que la tension que tu dégages est palpable. « Oui je t’écoute Jeb’. Mais faut arrêter de tourner autour du pot telle des abeilles qui se barrent au moindre mouvement en se faisant dessus. On lui a trop laissé de terrain. Alors … On trouve cet enfoiré, je le bute, problème réglé. » Tu vois clairement le mécontentement dans le regard de ton oncle. Mais finalement, il finit par soupirer avant d’accepter. De toute manière, dans le fond, c’est toi le chef pas Jebediah. C’est juste une illusion. Et il sait que tu as raison. Eteignant ton mégot, tu considères que la réunion est terminée. Te dirigeant vers la porte, tu as à peine la main sur la poignée que ton oncle reprend. « Et pour Cara, elle restera chez toi. On a besoin d’elle et toi aussi. » Ta main se serre avec force autour de la poignée avec force et tu manques sûrement de la briser. Inspirant profondément pour rester calme, mais c’est peine perdue, tu te tournes vers ton oncle le fusillant du regard. « On en a déjà parlé. J’ai dit non. Je ne veux pas d’une putain de captive et vous le savez très bien ! » Sans attendre, tu sors, claquant la porte sur ton passage. Ainsi, tu n’entends pas les paroles de ton oncle et tu t’en vas. Grimpant dans ta voiture, tu roules rapidement, ayant besoin de te changer les idées.
Après plusieurs heures, tu arrives chez toi. Mettant ta voiture dans le garage, tu souffles lourdement avant de sortir. Tu sais très bien que la fameuse Cara est à l’intérieur. Et putain que ça t’énerve d’avance ! Ils savent que tu n’en veux plus mais ils ont l’air de s’en foutre. Serrant les poings, tu finis par grimper rapidement les marches te menant à la maison. Arrivant, tu ne la vois nulle part. Parfait, elle doit être dans sa chambre. Elle n’est pas dans une des pièces interdites, tu en es persuadé, tu aurais eu une alerte sur ton téléphone sinon. Grimpant les marches jusqu’à l’étage, tu files immédiatement prendre une bonne douche. Sortant, un unique jean pour vêtement et bien sûr ton arme, tu vas jusqu’à sa chambre. L’ouvrant rapidement, sans frapper, tu la trouves en train de dormir sur le lit. Pendant quelques secondes, tu l’observes. Elle est vraiment belle … Mais tu chasses ces pensées bien vite de ton esprit. Avançant, tu t’arrêtes devant elle avant de parler fort pour la réveiller. « Debout putain, c'est pas l'heure de pioncer ! J’ai la dalle ! Alors bouge ton cul et va me préparer à bouffer avec une bière fraîche ! Et que je ne te le redise pas ! » Tournant les talons sans attendre, tu retournes au salon. T’affalant dans le canapé, tu fermes les yeux quelques secondes, restant pourtant sur tes gardes. Puis tu allumes une clope, attendant qu’elle te ramène à bouffer.
(c) Dandelion |
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Cara Volkov
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| | | | | Sujet: Re: Entre haine et désir. [Cara/Samael] Jeu 2 Fév - 17:36 | |
| Entre haine et désir. Cara & Samael Assise dans l'immense baignoire accolée à sa chambre, chacune de ses membres tremblent malgré la chaleur qui se dégage du bain qu’elle s’est fait couler. Mais toute la chaleur ne peut rien à la puissance de sa terreur. Ce n’est pas de peur, qu’elle tremble. Mais bien à cause des derniers réminiscences de son cauchemar. Enfin, ce n’est pas vraiment un cauchemar, plutôt un souvenir fort désagréable qui s’est infiltré dans ses rêves. Un corps qui frappe contre le sien, pénétrant sa chair, violant ce qui lui reste de dignité et d’intimité. Les coups, qui rougissent et meurtrissent sa peau. Son cuir chevelu qui saigne. Son cœur qui menace de lâcher. Le sperme qui coule en et hors d’elle, dénigrant son corps. Sa tête qui rebondit sur le matelas usé alors qu’on la délaisse comme un vieux mouchoir usé. Et la porte de sa cellule qui claque, lui rappelant son triste destin : rester enfermer ici jusqu’au prochain.
Des larmes coulent sur ses joues, parce que ces traumatismes, elle ne s’en est jamais remise. Peu importe combien de fois ils ont remis ça, peu importe qu’ils est détruit son corps. Elle n’a jamais oublié. N’a jamais réussi à passer au dessus de cela. Elle reste dans ce bain, une heure, deux heures. Personne ne la dérange. Enfin, avec le temps, elle réussi à se calmer. Elle ne tremble plus, malgré ses souvenirs gravés à l’indélébile dans son crane. Elle s’habille et se rallonge sous les draps une fois sûre d’être calmée. Depuis qu’elle est ici, elle n’a pas eu à offrir son corps une seule fois. On ne l’a pas touché non plus. Du moins, pas de manière sexuelle. La violence, elle ne peut pas en dire autant, mais chaque chose en son temps.
Elle glisse très vite dans un profond sommeil. Si bien qu’elle n’entend pas le diable qui pénètre dans sa chambre, et l’enfer qui va bientôt se déchaîner sur elle. Et ça ne loupe pas. Elle est réveillée d’un bon lorsqu’elle se sent agressé par une voix forte et sombre. L’espace d’un instant, elle craint que la panique là gagne à nouveau, qu’il puisse être venir pour réclamer son corps. Mais à peine ses ordres balancés, la porte claque et elle est de nouveau seule. Elle s’efforce de calmer son cœur, de respirer à un rythme normal. L’espace d’une seconde, elle pense même se recoucher et le laisser se débrouiller. Après tout, qu’il se débrouille à se faire à bouffer lui-même. Mais en fin de compte, elle se dit qu’elle pourrait s’en servir à son avantage.
Elle décide d’ailleurs de ne pas faire les choses à moitié. Elle quitte sa nuisette pour enfiler un collant en résille qu’elle accompagne d’un short fait de cuir noir. Pour compléter sa tenue, elle enfile un dos nu qui découvre la moitié de son ventre et où des lacets viennent se nouer. Telle une poupée, elle a passé des années à jouer les prostitués pour des hommes, enfilant des tenues toujours plus honteuses et courtes. Elle en connaît donc un rayon quand il s’agit de se rendre attirante. Elle prend même le temps de mettre un peu de rouge sur ses joues pour se redonner des couleurs face à sa nuit agité. Enfin prête elle s’échappe de sa chambre vers la cuisine. Elle prend le temps de lui concocter un véritable repas. Viande rouge et patate sauté. Une fois le tout dans une assiette, elle attrape une bière qu’elle décapsule. Attrapant le tout, elle prend le chemin du salon. Elle le trouve votré dans le canapé. Il n’est pas prêt à ce qui l’attend. Jouant le jeu jusqu’au bout, elle fait exprès de se placer face à lui, devant la télévision le temps de poser l’assiette sur la table basse, faisant en sortir qu’il profite du spectacle qu’elle lui offre. Elle contourne ensuite la table, bière en main. Elle s’approche de lui, la lui temps, et lorsque sa main frôle la sienne pour la récupérer, elle déverse la bouteille sur lui, pile au niveau de son entre jambe. « oups, quelle maladroite je fais » Elle fait passé ça pour un accident en sachant qu’il ne tombera pas dans le panneau, et que le sourire qui pointe sur son propre visage laisse clairement voir son petit jeu. Elle observe la tâche sombre qui s’élargie sur son jean, au niveau de son ex. Oui, ça lui plaît. Elle ne se laissera pas faire.
(c) Dandelion |
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Samael Cooper
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| | | | | Sujet: Re: Entre haine et désir. [Cara/Samael] Sam 11 Fév - 15:31 | |
| Entre haine et désir. Cara & Samael Clope entre les lèvres, la tête rejetée en arrière, tu souffles lourdement. L’idée de tuer Parker, ça te colle un frisson le long du dos. Si tu le butes, tu sais parfaitement le prix que tu payeras par la suite. Mais tu ne peux laisser cet enfoiré s’en sortir, alors qu’il a tué ton père sans une once d’hésitation. Ton estomac grogne, en même temps, tu n’as pas bouffé de la journée. Non, les affaires du gang te prennent bien trop de temps. Ecoutant avec attention les bruits dans la maison, tu repères que Cara a fini par bouger son cul. Un rictus se colle sur tes lèvres, alors que tu attrapes la télécommande pour foutre les informations à la télévision. Tu sais que ce n’est pas cette merde qu’elle regarde habituellement, mais tu aimes l’entendre rager. En vrai, t’adores l’entendre s’énerver contre toi, voir ses yeux qui te défient de faire plus. T’as toujours envie de faire plus, de la faire s’énerver et regretter d’être ici. Putain t’as jamais demandé à avoir une captive ! L’écoutant descendre, t’éteins ton mégot, fermant les yeux une nouvelle fois. La fatigue commence à se faire sentir, mais clairement, tu sais que tu n’iras pas de suite dans ton lit.
L’entendant arriver, tu relèves la tête. Ton regard rencontre son corps et bordel de merde ! Putain qu’elle est bandante ! Inspirant comme si de rien était, tu attrapes une nouvelle clope. Clairement, t’as besoin de nicotine pour te calmer. Tu recraches ta fumée au même moment qu’elle se penche devant toi. Elle le fait exprès, tu en es certain ! Ne laissant rien paraître, tu tends la main pour récupérer ta bière. Même si clairement, c’est d’un bon verre de whisky que tu aurais besoin là. Mais avant que tu ne puisses atteindre la bouteille, tu vois parfaitement son geste. Exprès. Elle veut jouer, mais pourtant, elle a déjà perdu. Terminant ta clope sans un mot, tu sais qu’elle attend ta réaction. Mais tu es déjà en train de prévoir ton coup. Te relevant dans un mouvement rapide, tu l’attrapes par la gorge avant de la plaquer contre le canapé. Ton corps vient s’appuyer contre le sien, tes genoux bloquant ses bras contre son torse. Prise dans ton piège, elle ne peut plus bouger. Rictus mauvais aux lèvres, tu avances doucement pour venir murmurer à son oreille. « Tu veux jouer à ça, Captive ? Ne lance pas un jeu que tu ne pourras pas gagner … » Inspirant contre son cou, tu aimes son odeur. Enivrante. Mais tu sens également la peur qui se dégage d’elle. Alors tu décides d’en jouer, histoire qu’elle arrête de te provoquer et surtout, qu’elle finisse par se barrer de chez toi ! Serrant un peu plus sa gorge, tu viens descendre ta main libre le long de son corset, non loin de sa poitrine. « C’est chez moi, mes règles … Je pourrais te prendre ici, là, sauvagement, sur ce canapé. » Une idée alléchante. Tu te lèches les lèvres comme pour prouver tes dires. Même si elle l’ignore, tu as trop de respect pour le faire en réalité. Laissant courir ton doigt sur sa peau pâle, tu restes maître de cette situation, de son corps. Pourtant, t’as bien envie de laisser tes mains courir sur sa poitrine, sur son corps. « Je pourrais te forcer à faire bien des choses … Te faire hurler mon nom de différentes manières, Captive. Ne l’oublie pas. » Te redressant dans un mouvement brusque, alors que son corps est encore tremblant, tu attrapes ton paquet de clopes. En attrapant une pour l’allumer, tu lui indiques l’assiette qu’elle a préparé. « J’ai plus faim. Débarrasses. » Non c’est un tout autre appétit qui gronde dans tes veines. Sans un regard pour elle, tu grimpes les marches pour aller t’enfermer dans la salle de bain. Cette proximité avec elle … Bordel t’as besoin d’une douche froide ! Faut que tu enlèves son odeur de ton corps. Plusieurs minutes d’eau froide, avant que tu ne redescendes. Elle est toujours là, comme figée. Alors tu décides de la provoquer encore un peu. « Alors, on assume plus ses actes ? » Un rire mauvais t’échappe. Te relaissant tomber sur le canapé, tu sors ton portable. Ton cousin t’a encore envoyé un message à la con. Vivement qu’il se trouve quelqu’un, qu’il arrête de te faire chier ! Sans relever ton regard, tu reprends la parole. « C’est quoi cette tenue de pute ? Tu crois que ça fait bander sérieusement ? On dirait un tas d’os dans du latex. » Bien sûr ce n’est que connerie, du moins, si tu écoutes ton propre avis. Mais jamais elle ne doit découvrir ton putain de désir pour elle. Jamais. Aussi, tu continueras à te montrer exécrable, jusqu’à ce qu’elle abandonne et se barre de chez toi.
(c) Dandelion |
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Cara Volkov
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| | | | | Sujet: Re: Entre haine et désir. [Cara/Samael] Mer 10 Mai - 15:50 | |
| Entre haine et désir. Cara & Samael Dès que la main se referme autour de sa gorge, elle regrette ses provocations. Pour avoir passer la moitié de sa vie avec des hommes irrespectueux et abusifs, elle aurait dû savoir que la provocation n'est jamais la solution. Qu'elle conne. Elle tente d'inspirer une grande goulée d'air, mais la main qui enserre sa gorge la prive d'oxygène. Elle tente bien de se défendre, mais elle ne fait pas le poids fasse à la montagne de muscle qu'il est. Son corps contre le sien lui rappelle son cauchemar. Sa poitrine se contracte, et son cœur s'affole. Non. Elle refuse que ce cauchemar recommence. Il ne la jamais touché depuis qu'elle est là. Il n'a pas toujours été tendre, même parfois très virulent, mais jamais il ne la même effleuré de manière intime. Elle rêve d'hurler son refus, mais le manque d'air l'en empêche, sans compter qu'on lui a toujours appris à la fermer, à ne rien refuser, à juste offrir son corps. Pitié, non, non, non. Elle s'efforce de ne pas penser au pire. Il ne la jamais toucher jusqu'ici pourquoi commencerait-il ? Elle cherche une idée apaisante dans son esprit, en trouve quelques rares qui survive. Ca lui permet de reprendre pied. Il ne faut pas qu'elle se laisse faire. Cette manière d'agir ne lui a pas réussi la première fois. Peut-être que si elle s'impose, cela changera les choses. Peut-être comprendra-t-il qu'elle n'est pas un objet. « Je t'en pris, qu'est-ce que tu attends ? Tu ne serais pas le premier à me prendre de force. » Elle n'arrive pas à savoir ce qui ressort de son ton. Elle crache son venin, essaie de paraître sur d'elle, mais la légère caresse de ses doigts contre son vêtement fin lui arrache un frison qu'elle ne parvient pas à contrôler. Pas de désir, mais bien de peur. De peur qu'il en profite pour aller plus loin. Qu'il passe au dessus de ses désirs, comme on l'a toujours fait. De toute façon, elle ne pense plus être en mesure de ressentir un quelconque désir. Elle s'est longtemps pencher sur la question. La première fois qu'elle l'a vu, elle n'a que pu constaté son corps musclé, son physique attrayant. Il est beau à regarder, elle ne nie pas l'évidence. Malgré ça, aucun désir. Elle ignore même le sens de ce mot.
Il fini par s'éloigner, et aussitôt, elle reprend une grande goulée d'air, respire à plein poumon, et bien qu'elle reste prostré sur le canapé, elle s'éloigne au maximum de lui, comme si son simple contact la répugnée. Son cœur est encore bien trop rapide, il faut qu'elle se calme. Elle reste là, elle l'entend à peine s'éloigner. Elle entend ses paroles, mais ne les saisi pas. Si bien que lorsqu'il revient, la table n'est pas débarrasser, elle n'a pas bouger, et elle ignore même combien de temps s'est passé depuis qu'il l'a libéré. C'est les nouvelles paroles qui réussisse à traverser son brouillard. Mais la provocation la laisse de marbre. Jusqu'à ce que la suite devienne plus violente, que des mots s'abattent sur elle, lui arrachant une grimace. Aussitôt, tous ses efforts dégringolent. Son cœur s'affole à nouveau, pompe comme un fou. Elle sent ses yeux s'embuer alors même qu'elle tente de retenir ses larmes et sa gorge se noue douloureusement.
Physiquement, elle s'est toujours senti comme une merde. Elle n'a toujours été qu'un corps parmi tant d'autres, qu'on venait pour prendre. Mais du moment qu'elle écartait les jambes, on se fichait bien de savoir à quoi elle ressemblait. Elle n'a jamais été chez le coiffeur, n'a jamais eu l'occasion de prendre soin d'elle. Elle n'a que la peau sur les os. Elle n'a jamais vraiment pu se comparer à d'autres vu que ses contacts se limitaient au sexe masculin, pourtant, d'elle même elle s'est toujours dénigrée, détestée. Alors ses mots la blesse plus que tous les gestes qu'il aurait pu avoir envers elle. « Pourquoi ? » Elle lâche ça d'un coup, sans même le regarder. « Pourquoi est-ce que je suis là ? Tu ne m'aimes pas. Tu n'apprécies même pas ma présence. » Elle déteste déjà les mots qu'elle va prononcer, mais elle a besoin de savoir. « Tu ne me touches même pas » Ca lui brule la gorge, mais il faut un peu d'honnêteté. « Je ne suis sans doute pas à ton goût, et je comprends, crois-moi. Je ne suis même pas belle. Mais qu'elle est l'intérêt de tout ça, alors ? »
(c) Dandelion |
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