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 l'amour de l'interdit | Asteria

Søren Chakraborty
Søren Chakraborty
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MessageSujet: l'amour de l'interdit | Asteria   l'amour de l'interdit | Asteria EmptyMer 24 Aoû - 19:07

 
L'amour de l'interdit
 Soren & Asteria
5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifTu délaisses ton casque sur ton guidon, enjambe ta bécane et après avoir jeter un dernier coup d'œil à ton bijou, tu regagnes l'entrée de votre repaire. Dès que tu as passé la porte d'entrée, t'es immergé dans l'ambiance. Si de l'extérieur pas le moindre son ne s'échappe, à l'intérieur les baffes des enceintes en envoient plein la gueule. La soirée a déjà bien débuté. Y'a de l'animation sur scènes, les gars sont affolés, ils crient et jettent des billets, nul doute qu'ils trouveront chaussure à leur pieds pour ce soir. Et dans le pire des cas, y'a les filles du club qui se feront un plaisir de les rejoindre. Parlant d'elle, Alba se colle à toi dès qu'elle t'aperçoit. Tu détestes ça. Elle n'est pas repoussante. Au contraire, bien des garçons s'intéressent à elle, mais toi, à tes yeux, y'en a qu'une qui t'intéresse, et c'est pas elle. Mais tu ne peux pas le lui dire. Tu ne peux pas non plus admettre ouvertement que Alba ne t'intéresse pas, parce que ce serait te trahir. Tous les gars du club piochent un peu à droite et à gauche, s'ils découvraient qu'en vérité tu n'en as jamais sauté une seule, on te poserait des questions. Et ce ne serait pas bon, pas bon du tout. « Ma belle, j'ai des choses à faire. Je te vois plus tard, ok ? » Tu la repousses de la manière la plus gentille dont tu sois capable, et tu n'attends pas sa réponse. Elle va chercher à te retenir, à te faire culpabiliser, et pire encore, tu la connais, elle ne lâchera pas la faire si tu lui laisses la moindre ouverture.

Alors tu prends le large, tu déguerpis en vitesse et te faufile au milieu des gens jusqu'à tomber sur la personne que tu cherches réellement. Jolie blonde qui fait battre ton coeur. Mais à qui tu ne peux pas offrir ton coeur. Pas de manière claire. Pourtant, à la voir ainsi, devant toi, tu n'as qu'une envie, la serrer contre toi, l'embrasser fougueusement. Eloigné tous ces regards, casser la gueule de tous ces types qui la reluque d'un peu trop prêt. « Salut beauté » Tu lui souris. Tu te permets cette marque d'affection, parce que vous vous connaissez depuis toujours, et que tu n'es pas le seul à t'adresser à elle de cette manière. Vous êtes tous au petit soin pour elle, alors ces mots dans le fond, même s'ils sont plus réels pour toi que pour les autres, ne veulent pas dire grand chose. Tu te places à côté d'elle, et qu'en tu t'aperçois que toute l'attention est focalisée ailleurs, tu en profites. « Rejoins moi la haut dans dix minutes. Il faut qu'on parle » Tu lui murmures à l'oreille, afin qu'elle soit la seule à l'entendre. De toute façon, vu le bruit, il faudrait ne pas être humain pour entendre quoi que ce soit. Tu ne t'attardes pas plus longtemps. Tu grimpes à l'étage et te glisse dans une des piaules. Il ne faut pas que vous soyez vu ensemble, alors il vaut mieux que vous laissiez un certain laps de temps avant vos deux apparitions par ici.

Dix minutes plus tard, elle passe la porte. Tu te relèves du lit sur lequel tu t'étais assis pour patienter. Tu ne t'approches pas d'elle. Tu prends tes distances. Parce que ce que tu t'apprennes à faire n'est pas facile. Bien au contraire. Tu as déjà fait des choses sales, peu glorieuse, mais rien n'a jamais été aussi difficile que ça. « Je m'en vais » Oui, tu as eu du mal à prendre cette décision, mais son père t'y a fortement aidé. « Ton père a besoin de quelqu'un à Glasgow, une mission de plusieurs mois. Il m'a proposé de m'en charger. J'ai accepté » Au début, tu ne pensais pas accepter. Et puis, quand tu as commencé à réfléchir, tu t'es rendu compte que c'était la meilleure solution. Son père avait confiance en toi, c'était une énorme chance cette mission qu'il te proposait. Et en plus cela te permettrait de prendre de la distance avec elle. Parce que c'était trop. Parce que vous preniez trop de risque. Parce que tu ne supportais plus de voir d'autres hommes autour d'elle et que cela menaçait de te rendre dingue. Parce qu'il fallait que tu la sortes de ta tête d'urgence.


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Astéria Blackwood
Astéria Blackwood
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MessageSujet: Re: l'amour de l'interdit | Asteria   l'amour de l'interdit | Asteria EmptyLun 5 Sep - 10:15

 
L'amour de l'interdit
 Soren & Asteria
5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifFermant le shop avec un peu de retard, tes lunettes de vue sur la tête que tu ne mets que pour tatouer, tu soupires lourdement devant la porte. Hormis ton café, tu n’as rien avalé de la journée comme à ton habitude. Si ton père l’apprenait, nul doute qu’il hurlerait. Rejoignant ta bécane, tu grimpes dessus et enfiles ton casque. Roulant à travers la ville, tu apprécies le vent qui vient frapper doucement ton corps. C’est ton seul moyen de circuler, et tu ne l’échangerais pour rien au monde. Te garant devant le club, tu souris en voyant la moto de ton père et de ton frère. Ils doivent être là tous les deux. Entrant dans le bâtiment, la musique t’agresse immédiatement les tympans. Mais c’est une question d’habitude maintenant. Allant saluer ton père à sa table tu échanges rapidement avec lui. Cela fait plusieurs jours que tu ne l’as pas vu. Il parle des affaires du club, mais surtout d’un gang ennemi qui vous pose problème. Soudain, des bras t’entourent, te faisant sursauter. Riant, car tu as reconnu la personne, tu te tournes pour croiser le regard de Carsten. « Salut toi ! » Ton frère aîné, celui dont tu es le plus proche. L’embrassant sur la joue, tu lui rends son étreinte. Puis il s’installe avec ton père pour parler des affaires du club. Ce soir, tu n’as pas la tête à ça. Aussi, tu t’éloignes vers le comptoir.

T’accoudant contre ce dernier, tu commandes un cocktail sans alcool. Tu ne bois que rarement, aussi, ce soir ne fait pas exception. Tu sens des regards sur toi, mais tu n’y prêtes pas attention. Il n’y a qu’une personne que tu as envie de voir, malheureusement, il n’est pas là. Ton verre dans les mains, tu te tournes pour discuter avec quelques mecs du gang. Certains sont accompagnés de leur régulière. Tu pourrais trouver quelqu’un toi aussi, mais tu n’arrives pas à oublier Søren. Mais soudain, sa voix raisonne à tes oreilles. Immédiatement, un sourire vient naître sur tes lèvres, alors que tu te tournes vers lui. « Salut beau gosse. » Seulement à tes yeux, cette marque d’affection signifie bien plus. Au même instant, des cris se font entendre vers la scène. C’est à cette instant que le souffle du Biker raisonne contre ta peau, te faisant frissonner. Hochant discrètement la tête pour montrer que tu as compris, tu le laisses s’éloigner. Reprenant la conversation comme si de rien n’était, tu patientes difficilement les dix minutes. Puis tu poses ton verre sur le comptoir et prends la direction des chambres.

Tu sais laquelle il a pris. Inspirant devant la porte, tu tentes de cacher l’émotion que sa présence procure dans ton cœur. Une fois prête, tu entres sans un bruit dans la pièce, fermant la porte derrière toi. Mais cette fois-ci, tu sens que quelque chose ne va pas avec lui. Il ne vient pas vers toi. Etrange. Et là, l’annonce tombe. Ton souffle se bloque dans ta cage thoracique, alors que tu ne comprends pas ce qu’il veut dire. Où part-il ? Pourquoi ? Ton père ne t’en a pas parlé ! Tu serres les poings, avant de secouer la tête. « Tu ne peux pas partir. » Tu as parlé bien trop vite, alors que tu n’as pas le droit de l’aimer. Tu n’as jamais parlé de tes sentiments. Pourtant, là, il est évident que ce n’est pas le danger qui fait que tu ne veux pas qu’il parte. Détournant ton regard, tu observes un mur de la pièce. « Pourquoi as-tu accepté ? Blake aurait pu s’en charger. » Tu as beau tenir à Blake, qui est comme ton meilleur ami, le lien est moins fort que celui que tu as avec Søren. Surtout que tu as entendu parler de cette mission. Et elle est périlleuse. Une chance sur deux pour revenir vivant, d’après les estimations de ton père. Te tournant vers lui, tu plantes ton regard dans le sien, déterminé. « Je ne veux pas que tu partes. Ou alors, je viens avec toi. » Tu ne peux pas le laisser seul. Non, tu l’aimes bien trop pour ça. Mais dans le fond, tu sais que ton père va refuser que tu l’accompagnes sur cette mission. « Dis à mon père que tu as changé d’avis, il trouvera quelqu’un d’autre pour te remplacer. »


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Søren Chakraborty
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MessageSujet: Re: l'amour de l'interdit | Asteria   l'amour de l'interdit | Asteria EmptyVen 23 Sep - 17:00

 
L'amour de l'interdit
 Soren & Asteria
5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifCette décision n’a pas été évidente à prendre. T’éloigner, ça signifie aussi ne plus l’avoir sous tes yeux, ne plus pouvoir t’assurer qu’elle va bien, ne plus pouvoir la protéger. Pire, c’est lui laisser l’opportunité d’aller voir ailleurs. Parce que, lorsque tu rentreras – si tu rentres un jour – elle aura peut-être tourné la page, elle sera peut-être avec un autre. Et alors, il faudra que tu l’acceptes. Mais c’est aussi la seule solution qui te semble viable pour ne pas commettre d'impair. Parce que l’avoir sous tes yeux, à chaque minute, ce n’est pas durable. Tu ne peux pas voir sa chevelure blonde, ses yeux magnifiques toute la journée, et te retenir d’être avec elle. Tu la veux, et ça devient trop compliqué de réfréner tes envies, tes impulsions. Surtout lorsque tu vois autant d’homme près d’elle. Tu sais que ce n’est pas à mal, comme toi, il souhaite tous la protéger du mieux possible. Mais toi.. Pour toi c’est trop difficile. Tu ne peux pas être si proche d’elle, et à la fois si éloigner de sol cœur. Alors, après avoir longtemps réfléchi, c’est la seule solution qui t’est apparu. Prendre la fuite.

« As’… » Tu ne sais même pas quoi lui dire. Parce que tu as peur que les mots t’échappent, tu as peur de dire une bêtises, quelque chose de trop. Tu aimerais qu’il te soit possible de rester. Mais alors tu deviendrais fou. Fou d’elle, et tu ne pourrais plus taire votre secret plus longtemps. C’est un risque que tu ne dois pas prendre. « C’est vrai, Blake aurait fait du très beau boulot… Mais il fallait que ça soit moi » Tu t’étais blinder pour cette discussion, parce que tu savais que cela s’avérerait compliqué, parce que tu savais que cela mettrait tes sentiments à rude épreuve, malgré tout, c’est bien plus difficile que tu ne l’avais imaginé.

« Tu ne peux pas venir. C’est dangereux. Tu n’as aucune raison valable de m’accompagner là-bas. » Rien que l’idée qu’elle t’accompagne te glace le sang. Oh, tu serais heureux d’avoir un peu de temps juste pour vous, juste pour profiter d’elle, sans barrière, sans faux semblant. Mais c’est une mission périlleuse, presque suicidaire, et tu n’as pas envie de la savoir là-dedans. Jamais tu n’accepteras qu’elle t’accompagne là-bas. Et de toute façon, son père ne le permettrait pas. Tu finis par t’approcher d’elle, par prendre son visage entre tes mains. Ce contact, tu ne peux pas l’empêcher. Tu ne peux pas t’en empêcher. Tu es en train de lui faire tes adieux, pour un temps indéfini, alors tu peux au moins te permettre cette faiblesse. « Écoute-moi.. Je n’irai pas voir ton père. Je ne changerais pas d’avis. Ce n’est pas une décision prise à la légère. » Tu croises son regard, parce qu’il faut qu’elle comprenne que le véritable but, ce n’est pas la mission, que sans cette mission tu aurais trouvé une autre raison de partir. « Il faut que je parte. Il faut que je m’éloigne. Chaque jour qui passe mon envie de t’embrasser est plus grande. Chaque jour qui passe je réfléchis à la meilleure manière d’affronter ton père pour t’obtenir. Je ne peux plus être si proche de toi, sans jamais t’avoir. » C’est pour toi devenu la pire des tortures. Alors, il faut que tu t’éloignes. « J’ai longtemps hésité à venir ce soir. Mais je ne voulais pas que tu apprennes mon départ de la bouche d’un autre. Je suis venu te dire au revoir, Astéria. » Tu t’approches, dépose un baiser sur son front. C’est difficile pour toi de te contenter de si peu. Tu inspires une grande goulée d’air, encre son parfum dans ta mémoire pour ne pas l’oublier.

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Astéria Blackwood
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MessageSujet: Re: l'amour de l'interdit | Asteria   l'amour de l'interdit | Asteria EmptySam 1 Oct - 17:44

 
L'amour de l'interdit
 Soren & Asteria
5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifIl ne peut pas partir. C’est tout simplement impossible à imaginer à tes yeux. Et pour cause, il est celui pour lequel ton cœur bat. Sans parler que cette mission, tu en as largement entendu parler. Ton père a besoin de monde dessus, mais les gars sont réticents à y aller. Chose que tu comprends parfaitement, puisqu’il y a une chance sur deux pour je jamais revenir vivant. Alors lorsque Soren t’annonce la nouvelle, tu ne sais plus penser correctement. Ni rationnellement. Non la seule chose que toi tu vois, c’est que tu vas le perdre tout simplement. Tu sers les poings de colère, de peur également, annonçant que Blake aurait pu s’en charger. Bien sûr, tu tiens à ton meilleur ami. Mais il n’aura jamais la place que le Biker face à toi à dans ton cœur. Aussi, quand Soren t’annonce qu’il fallait à tout prix que ce soit lui, tu ne peux pas répondre. Les mots sont bloqués dans ta gorge, alors que tu secoues négativement la tête de droite à gauche, retenant avec difficulté les larmes que tu sens monter. Reprenant du poil de la bête, tu plantes ton regard déterminé dans le sien. Il ne peut pas y aller ou alors, tu iras avec lui. Après tout, tu es une des seules nanas dans le gang, si ce n’est les régulières. Tu peux donc t’infiltrer. Bien sûr, tu devras convaincre ton père mais ça, c’est le cadet de tes soucis actuellement. Mais c’est la seule solution que tu vois actuellement, pour ne pas le perdre. Bien sûr, il tente de t’en dissuader, mais tu es bien plus têtue que ça, et il devrait le savoir. « Je trouverais une raison valable, ne t’en fais pas. » Tu es sérieuse. Tu sauras prouver à ton père que tu as toute ta place dans cette mission suicide.

Ton souffle se bloque une nouvelle fois dans ta cage thoracique, quand tu sens ses mains sur ton visage. Tu as toujours espéré un tel contact, mais aujourd’hui, alors que ce moment arrive, tu voudrais le repousser. Cela sonne comme un adieu pour toi et ça te brise de l’intérieur. Tu reprends la parole, convaincue qu’il doit aller parler à ton père. Il acceptera de mettre quelqu’un d’autre sur cette mission, Soren étant un élément important pour le gang mais également le fils de son bras droit et meilleur ami. Les larmes te montent aux yeux. Tu es rarement faible mais là, tu ne peux t’en empêcher. Tu trembles comme une feuille, alors que tu comprends que sa décision est prise. Qu’il va partir. Que tu vas le perdre. Soren reprend la parole, et là, tu restes immobile. Jamais tu n’aurais cru entendre que ce que tu ressentais, était similaire. Les larmes débordent de tes paupières lorsque tu sens ses lèvres sur ton front. Il est en train de t’abandonner. Il est en train de te dire adieu. C’est sûrement la dernière fois que tu le vois. Ton cœur se brise en millier de morceaux, et tu ne sais pas si un jour, tu pourras le recoller. Avançant d’un pas, tu as toujours été bien plus petite que lui, mais aujourd’hui, il n’y a pas la place à vos chamailleries de d’habitude. Tu glisses tes bras autour de sa taille pour te serrer fort contre lui. Comme si tu voulais t’ancrer en lui pour ne jamais avoir à le voir partir. « Je ne peux pas te laisser partir, Soren … » Ta voix n’est que des murmures brisés. Tu vas t’effondrer. Tu inspires profondément son odeur, comme pour ne jamais l’oublier, bien que ça soit impossible. « C’est trop me demander je … je ne peux pas. » Tu t’agrippes avec force à son t-shirt comme si ta vie en dépendait. Encore quelques secondes. Tu te dois d’être forte mais là, ça te semble impossible. Inspirant une dernière fois, tu te recules. Ton maquillage a dû couler, mais tu t’en moques. Tu te mets sur la pointe des pieds, tes mains glacées venant encadrer son visage, tu le fixes en silence pendant quelques secondes, mémorisant ses traits que tu connais à la perfection. Du bout des doigts, tu caresses tendrement ses lèvres. « Promets-moi de me revenir … » Tu as besoin de l’entendre. Même si tu sais qu’il ne pourra pas la ternir. Délicatement, tu viens déposer un chaste baiser sur ses lèvres. Et tu te recules de quelques pas, essuyant tes joues trempées de larmes de tes mains. Tu sais que c’est dangereux, mais tu n’en as que faire. Attrapant ton pull, tu le retires rapidement, te retrouvant en soutien-gorge noir devant lui. Tu lances ton vêtement dans la pièce et le regardes avec défi et désir. « Fais que je sois à toi cette nuit, alors. Fais de moi ce que tu veux. » Tu ne t’es jamais offerte ainsi à un homme. Mais avec lui, tu veux qu’il prenne les commandes. Que tu sois pleinement à lui. Prête à faire tout ce qu’il te demande; telle une régulière. « On verra tout le reste à ton retour. » Moyen de le forcer à te revenir. Même si avec cette décision, tu dois tout perdre.

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Søren Chakraborty
Søren Chakraborty
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MessageSujet: Re: l'amour de l'interdit | Asteria   l'amour de l'interdit | Asteria EmptyVen 7 Oct - 13:20

 
L'amour de l'interdit
 Soren & Asteria
5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifTu ne peux t’empêcher d’afficher un sourire ironique. Tu as toujours admiré cette détermination en elle. Ce caractère qu’elle hérite de son père. « Ton père n’acceptera jamais, tu le sais comme moi. » Et ça t'arrange, parce que dans le cas inverse, tu ne sais pas de quelle manière tu aurais pu gérer les choses. Cette décision n’est pas motivé par l’appât du gain, ni par la protection du groupe. Non, cette décision est égoïste, juste pour toi, parce qu’il faut que tu t’éloignes d’elle.

Tu comprends vite qu’elle n’abandonnera pas. Elle est trop têtu pour ça. Et tu sais. Même si tu aurais préféré vous éviter ça. Tu sais qu’elle ne comprendra que si tu lui avoues la vérité. Il va falloir que tu sois honnête avec elle, en t’efforçant de ne pas la blesser, mais aussi en essayant de préserver au maximum ton cœur. Tu prends son visage en coupe, tu croise son regard, et tu lui lâches tout ce que tu as sur le cœur. Tu vois ses larmes s’accumulaient, briller au coin de ses yeux. Mais tu t’efforces de continuer. De ne pas faiblir. De ne pas laisser ses larmes t’atteindre et te faire changer d’avis. « Ne pleure pas, s’il te plaît. Tu sais que c’est la meilleure chose à faire. » Tu as envie de l’embrasser pour la faire taire. Tu as envie de la rassurer, de lui dire que tu ne pars plus, que tu restes là, que tu seras toujours là. Mais ce serait reculer pour mieux sauter. Cela ne regarderait que l’inévitable. Parce que votre relation n’en est pas moins interdite, voué à l’échec. Parce que même si son père te porte dans son estime, il n’acceptera jamais qu’un des gars s’approche de sa fille. « Tu es forte. Bien plus forte que tu ne l’imagines. Tu affronteras ça comme tout le reste. La tête haute. » Parce qu’elle ne peut pas non plus montrer aux autres que ton départ l’affecté. Parce que ce serait comme coller une cible dans ton dos. Tu glisses tes doigts sur ses joues, essuies les larmes qui s’y sont accumulé, mais c’est vain, de nouvelles viennent toujours remplacer les précédentes, et ça te déchire le cœur. Tu secoues la tête, et ferme un instant les yeux. « Non. Je ne te ferais jamais une promesse que je ne pourrais peut-être pas tenir. La seule chose que je peux te promettre, c’est de faire de mon mieux pour te revenir. » Mais dans le fond, à quoi bon ? Parce que la situation n’aura pas changer dans quelques mois. Tu ne pourras toujours pas être avec elle.

Tu étais prêt à t’éloigner. Tu dois en finir avec cette discussion avant que vous ne vous fassiez plus de mal que nécessaire. Tu lui fais tes adieux. Mais c’est As’. Tu aurais dû te douter qu’elle ne s’avouerait pas vaincu. Alors ses lèvres effleurent les tiennes, à peine un contact léger. Ce n’est même pas un véritable baiser. Ce contact est terrible. Terrible parce que lorsqu’elle s’éloigne, tu as l’impression qu’une partie de ton cœur se détache pour rester avec elle. C’est comme si on t’écraser de l’intérieur.

C’est pire. Pire encore lorsqu’elle prend la décision de commencer à se dévêtir face à toi. Elle ne te consulte même pas. Elle agit. Mais elle te laisse le choix. Elle ne s’approche pas de toi. Elle reste juste là, en soutien gorge, sous ton regard brûlant. Tu devrais fuir. Claquer cette putain de porte et te tirer loin, très loin d’ici. Parce que partir n’est pas un choix. C’est une nécessité. Mais c’est déjà difficile aujourd’hui, ce sera pire demain si tu cèdes à la tentation. Parce qu’alors tu sauras ce que tu as perdu, ce que tu laisses derrière toi. Alors que pour l’instant, tu l’ignores. Mais c’est impossible de détacher ton regard de son corps. Impossible de te détourner lorsqu’elle t’offre tout ça de son plein gré. «  As… » Elle est en train de t’anéantir. De briser ton cœur, tes certitudes. Tu relèves le regard vers elle, avec la certitude que ça t’aidera de ne plus mater son corps. Terrible erreur. Parce que ses lèvres tentatrices sont la pire des tentations. « Putain… » Avec ce simple mot, ta détermination se brise, et tu fonds sur ses lèvres. Dans l’élan, elle recule, toi avec, et son corps percute le mur contre lequel tu la bloques. Elle n’a pas conscience de ce qu’elle vient de déclencher. « Grave ces instants précieusement.. » Parce qu’après, ce sera fini. Parce qu’après, ça ne se reproduire plus. D’un geste précipité, tu lui retires son bas , ne la laissant quand sous-vêtement. Tu veux l’admirer ainsi, graver son image dans ton esprit. Ne jamais l’oublier, t’en gorger lorsque ce sera dur, lorsque tu ne tiendras plus. Tu bloques ses bras, et fais pivoter son corps vers le mur. Tu fais pression de ta hanche contre son derrière pour qu’elle n’est aucun échappatoire, qu’elle soit bloqué entre toi et ce mur. Tu dégages sa nuque de ses cheveux, et tes lèvres s’y déposent avec douceur. Tu embrasses, mordilles la peau de son cou. Aloès que ton désir se fait sentir. Mais tu ne te déshabilles pas encore. Une nuit. Une seule. Alors tu comptes bien faire durer son supplice jusqu’au bout. Ta main libre – qui n’est pas en train de maintenir les siennes au dessus de sa tête – glisse sur son corps. Tu t’attardes au niveau de sa poitrine, que tu malaxes, avant de descendre, et descendre encore, jusqu’à t’insérer dans sa culotte. « N’oublie pas que c’est notre secret. Personne ne doit savoir, personne ne doit t’entendre. » En gros, tu lui demandes de prendre son pieds sans ouvrir la bouche, et tu sais que ce sera compliquer. Mais c’est son problème à elle, c’est elle qui t’a poussé à franchir cette limite, qu’elle assume ses actes. Tes doigts glissent jusqu’à son intimité, et tu les laisses prendre leurs rythmes. D’abord avec lenteur, puis à mesure que tu la sens se tortiller, tu accélères. « Chut… Ne m’oblige pas à te bâillonner » Tu gardes tes mains dans la tienne, l’empêchant de se retourner, l’empêchant de venir te toucher. Parce que tu sais que dès lors que tu auras goûter à ses caresses, tu succomberas, tu ne pourras plus rien lui refuser. Et tu comptes bien la faire jouir une première fois avant.
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Astéria Blackwood
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MessageSujet: Re: l'amour de l'interdit | Asteria   l'amour de l'interdit | Asteria EmptySam 15 Oct - 17:58

 
L'amour de l'interdit
 Soren & Asteria
5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifCet adieu te brise le cœur. L’âme avec. Surtout en entendant que ce que tu as toujours ressentie, est réciproque. Jamais tu n’aurais pu croire que les sentiments que tu avais pour le Biker, étaient partagés. Aussi, l’idée même qu’il s’en aille pour une mission aussi dangereuse, ça te brise complètement. Tu sais que ton père ne te refusera rien. Mais si tu vas plaider la cause de Soren, nul doute qu’il comprendra la nature de tes sentiments. Et l’homme que tu aimes se retrouvera dans une situation pire que celle dans la mission où on l’envoie. Tes bras autour de son corps, tu n’arrives pourtant pas à accepter cet au revoir. C’est trop te demander, tu ne pourras pas y survivre. Alors qu’il te répond que tu es forte, tu secoues négativement la tête. Non cette fois, tu ne t’en sortiras pas la tête haute. T’agrippant à son t-shirt comme si ta vie en dépendait, tu inspires une dernière fois son odeur. Comme pour la graver dans ton esprit. Pour ne pas l’oublier. Pour la garder avec toi. Te reculant, tu viens à te mettre sur la pointe des pieds, encadrant son visage de tes mains glacées. Plantant ton regard sur lui, tu tentes de mémoriser chacun de ses traits, bien que tu les connaisses à la perfection pour en rêver dès que tu arrives à fermer l’œil pendant la nuit. Caressant tendrement ses lèvres, tu lui demandes une promesse, bien que tu sais qu’il ne pourra pas forcément la tenir. La mission est bien trop périlleuse. C’est bien pour cette raison que ton père envoie Soren et pas un autre gars. Il envoie un des meilleurs, en qui il a une confiance aveugle. Hochant la tête, tu te contentes de cette promesse. Tu sais qu’il la tiendra. Alors tu effleures doucement ses lèvres d’un simple baiser, avant de te reculer de quelques pas.

Tu sais que c’est dangereux. Que si ça venait à se savoir, vous risqueriez gros. Et pourtant, tu ne peux t’en empêcher. Retirant ton pull d’un mouvement rapide, tu l’envoies voler dans la pièce, avant de planter ton regard déterminé dans celui de Soren. T’offrant à lui pour cette nuit, comme jamais tu ne t’es offerte à un homme. Non tu veux être à lui, pleinement. Telle une régulière. Telle sa compagne. Tel son objet. Tu veux qu’il fasse de toi, ce qu’il désire. Pour cette première, unique, et dernière, nuit. Ton surnom sort de ses lèvres, et tu ne bouges pas. Tu lui laisses le choix. Un simple mot. Et il fond sur toi. Ton corps vient percuter le mur avec force, alors qu’il dévore tes lèvres de baiser. Tu n’as pas besoin qu’il te l’ordonne. Tu comptes le faire pour pouvoir repenser chaque soir à cette étreinte. Avant que tu ne puisses réagir, ton jean disparait. Tu souris, prête à replonger sur ses lèvres. Mais Soren n’est pas de cet avis. Ton corps est retourné, ton ventre plaqué contre le mur, alors que d’une main, il maintient les tiennes au-dessus de ta tête. Son corps est collé contre le tien, t’empêchant de t’enfuir ou de bouger. Ses lèvres se posent sur ta nuque, embrassant et mordillant. Cela te fait frissonner, créant une chair de poule sur ta peau pâle, marquée de tatouages. Tu sens son désir contre tes reins, te donnant envie de te retourner pour t’en occuper. Mais son corps qui écrase le tien, t’en empêche. Et puis, tu t’es offerte à lui, contenant bien faire tout ce qu’il te demande. Sa main libre descend contre ta peau, malaxant ta poitrine au passage, ce qui te fait gémir. Puis il descend encore, avant de glisser ses doigts dans ton slip en dentelle. Tu hoches doucement la tête. Mais tu vas avoir du mal à rester silencieuse, alors que tu attends depuis si longtemps ce moment. Ses doigts se glissent en toi, et tu dois te mordre les lèvres pour ne pas gémir. Pourtant, quand la cadence s’accélère, au rythme de tes mouvements et que le désir monte, tu ne peux t’empêcher de lâcher un cri. Malgré l’avertissement de Soren de te bâillonner, tu ne peux t’empêcher de lâcher encore des petits cris qui pourraient vous trahir. Sans parler que dans les chambres du club, il y a tous les accessoires possibles et inimaginables, tout comme des cachettes dans les murs, s’activant avec une télécommande. Ou même un téléphone permettant de commander ce qu’on désire en boisson ou nourriture ou autres. « Je ne peux pas … me taire c’est trop bon … » Tu tentes de dégager tes mains, mais il les tient bien fermement. Tu veux le toucher. Le sentir contre toi. En toi. Pourtant dans le fond, tu sais que vous avez toute la nuit devant vous. Un nouveau mouvement de ses doigts te fait crier, cette fois un peu plus fort qu’avant. Tu rougis, car tu sais qu’il t’a demandé de te taire. Mais tu en es bien incapable.

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Søren Chakraborty
Søren Chakraborty
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MessageSujet: Re: l'amour de l'interdit | Asteria   l'amour de l'interdit | Asteria EmptyDim 22 Jan - 14:14

 
L'amour de l'interdit
 Soren & Asteria
5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifTu l'aimes. A t'en briser le coeur. Tu l'aimes, au point de partir. Tu l'aimes, si fort, que t'es capable de l'abandonner pour son propre bien. Parce que si tu restes, tu l'aimeras encore plus, tu l'aimeras au point d'être incapable de lui résister. Tu l'aimeras à la vouloir avec une force incommensurable. Et tu ne peux pas. Elle t'est interdit. Alors la meilleure des solutions, c'est de partir, de lui dire au revoir, de l'abandonner. Tu lui promets de faire ton maximum pour revenir, en sachant très bien que tu ne reviendras pas. A quoi bon ? Tu ne pourras pas plus l'avoir dans quelques mois, un an, ou plus. La situation sera toujours la même. Elle sera là, si belle, si tentatrice, mais tu ne pourras jamais céder à ton besoin d'elle. Aujourd'hui, tu cèdes, mais ce sera la seule et unique fois.

Tu plaques son corps contre le mur, t'es violent, mais c'est des années de frustration qui ressorte. T'as qu'une envie, t'enfoncer en elle, revendiquer son corps. Mais tu veux aussi profiter de cette unique nuit qui vous est offert. Alors, tu ne lui feras pas le plaisir de la baiser en vitesse. Parce qu'elle mérite mieux. Et tu comptes bien passer toute ta nuit à lui faire du bien, à profiter de son corps. A l'aimer. Une dernière fois. Tes doigts s'enfoncent en elle, alors que tu lui chuchotes de te taire. Certes, ils ne peuvent pas savoir que c'est elle, mais peut-être que quelqu'un la vu monter, et c'est un risque qu'ils ne peuvent pas prendre. Alors il faut qu'elle se taise. Qu'elle retienne ses cris. « As'... » tu la préviens d'un grondement, alors que tu accélères tes mouvements. T'as beau vouloir qu'elle se taise, t'as aussi envie de la rendre folle. « Je ne veux plus t'entendre. Ou je m'arrête. » Tu mordilles son cou alors que tes doigts agissent toujours plus vite. Et malgré la menace, un cri lui échappe. Un cri qui ravie tes oreilles. Mais, malgré cela, tu t'arrêtes aussi tôt. Tu ne bouges plus, retire tes doigts. « Je t'avais prévenu.. » Ses mains toujours dans la tienne, tu la tires avec toi, la pousse vers le lit sur lequel tu la fais basculer. Tu ne la relâches pas pour autant, ne lui donne pas accès a ton corps. Pas tant que tu n'en auras pas fini avec elle. Tu veux avant tout profiter d'elle. Alors, tu la soulèves plus haut sur le lit, jusqu'à pouvoir attacher ses poignets au menotte à chaque coin du lit. Une fois attachée, tu prends le temps de l'observer. Elle ne pourra pas t'atteindre, elle est à ta merci. « Une nuit. Juste une... Une nuit que tu n'oublieras jamais, je t'en fais la promesse.  » Tu comptes bien la chérir pendant les heures qui vous séparent de l'aube. Tu te redresses, quitte le matelas pour aller fouiller dans l'armoire. Tu en tires un bâillon, et tu reviens vers elle, avec un immense sourire. « Maintenant, je ne t'entendrais plus » Tu embrasses ses lèvres, glisse ta langue contre elles, et puis tu viens glisser le bâillon dans sa bouche. Tu ne lâches pas son regard, tu ne veux pas lui faire de mal. Tu ne veux pas non plus lui imposer quelque chose qu'elle ne souhaiterait pas. « Maintenant, je vais pouvoir te torturer... Maintenant, je vais pouvoir profiter de toi » Tu glisses le long de son corps, embrasse chaque parcelle de son corps. Tu lui retires ses derniers vêtements, embrasse sa cuisse, te rapproche de son intimité et glisse ton visage entre ses jambes. Si elle est déjà folle avec tes doigts, elle ne sera pas dessus du voyage cette fois-ci. Alors que tu t'occupes de son intimité, tes mains pétrissent sa poitrine, retenant son corps qui se courbe sous le plaisir. Et tu continues ainsi, jusqu'à la sentir trembler sous ta langue. Alors seulement, tu te redresses, recouvre son corps du tien. « Ouvre les yeux, As'. Regarde-moi. Je veux te voir lorsque je m'enfoncerais en toi » Tu ne sais pas pourquoi. Mais tu as envie d'avoir cette intimité avec elle, les yeux dans les yeux alors que tu prends possession de son corps, que tu t'enfouies au plus profond d'elle.

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Astéria Blackwood
Astéria Blackwood
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MessageSujet: Re: l'amour de l'interdit | Asteria   l'amour de l'interdit | Asteria EmptyMar 12 Sep - 11:53

 
L'amour de l'interdit
 Soren & Asteria
5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifTu ne veux pas qu’il parte. S’il ne revenait pas, tu ne le supporterais pas. Ton cœur serait détruit et tu ne pourrais t’en relever. Tellement d’années à l’aimer, tu ne peux pas le laisser partir. Aussi, tu veux lui donner une raison de rester. De rester avec toi. De te revenir. Voir même de ne pas partir. Ton haut retiré, tu t’offres à lui comme tu ne l’as jamais fait avec personne. Tu lui permets de faire ce qu’il veut de ton corps, de ton âme, de ton cœur. Tu lui offres tout ce que tu peux. Ton corps contre le mur, tu frisonnes à ses caresses. Tu ne peux t’empêcher de lâcher quelques cris, malgré la menace de te bâillonner. Ses doigts contre toi, tu en as tellement rêvé que tu ne peux qu’en profiter. Son érection contre ton dos te fait rêver, alors que tu voudrais t’en occuper. Mais il ne semble pas être du même avis, alors qu’il continue. Il te prévient d’un grondement, et tu lui réponds, lui disant que c’est trop bon. Tu sais que tu dois te taire pour éviter qu’on ne devine que c’est vous dans cette chambre. Mais tu ne peux pas … Pas alors que ses doigts jouent en toi. Tu penches ton cou sur le côté pour lui offrir plus de peau à mordiller, mais tu ne peux pas te retenir. Tu lâches un nouveau cri, bien plus fort cette fois-ci, alors que ton corps tremble. Mais il s’arrête, comme il vient te le dire. « So … » Mais tu n’as pas le temps de réagir. Il t’attire à lui, t’entraînant vers le lit. Finalement, tu as bien fait de crier, tu vas pouvoir le sentir en toi, t’occuper de son érection. Il te fait basculer. Tu tentes une nouvelle fois de tirer sur tes mains, mais il les garde bien entre les siennes. Il te soulève jusqu’à la tête de lit, et toi, tu essayes d’avoir accès à sa peau. Mais il reste hors d’atteinte, ce qui te fait grogner. Et avant que tu ne puisses réagir, tu sens les menottes autour de tes poignets. Et tu te retrouves bloquer, incapable de pouvoir caresser son corps alors que tu en meurs d’envie. Tu es frustrée. « Je ne l’oublierai pas. Pas depuis le temps que j’en ai envie. S'il te plait ... » Mais tu le vois se redresser, malgré ta supplication pour qu'il te fasse sienne. Tu tires sur tes liens, comme si cela pouvait te libérer. Tu sais que c’est inutile. Et ça te frustre encore plus. Tu le vois revenir avec un bâillon. Le regardant, tu lui rends son sourire. Tu veux qu’il se souvienne de toi, alors s’il désire te le mettre, tu le laisses faire. Tu lui rends son baiser, mais il s’éloigne bien trop vite à ton goût, t’accrochant le bâillon. Tu lui montres à travers ton regard que tu es d’accord. Qu’il peut faire ce qu’il désire, tu te plieras à tout. Tu veux qu’il fasse tout ce qu’il désire avec toi. Qu’il réalise tous ses fantasmes avec toi. Tu ne veux que toi qui hante son cœur et son esprit. Il descend, embrassant ta peau. Tu frisonnes, tu te tends. Tu te retrouves nue devant lui alors qu’il a retiré tes derniers vêtements. Mais ça ne te dérange pas, tu veux juste l’avoir en toi. Mais il n’a pas l’air de cet avis, alors qu’il embrasse ton intimité. Ses mains sont sur tes seins. Tu rejettes la tête en arrière, ne pouvant crier comme tu en as besoin, alors que ton corps se courbe sous ses caresses divines. Tu fermes les yeux, alors que ton corps tremble. Tu sens l’orgasme sur le point de venir, mais il s’arrête. Tu souffles, tentant de reprendre le contrôle de ton corps. Ouvrant les yeux comme il te l’ordonne, tu plantes ton regard dans le sien. Tu veux lui exprimer que tu es à lui. Que tu l’aimes. Que tu le veux en toi. Aussi, ne pouvant te servir de tes mains même si tu essayes une nouvelle fois de tirer sur tes liens, tu as une idée. Tu glisses tes jambes contre lui, contre ses fesses et tu le pousses vers toi. Bougeant ton bassin, tu te frottes contre lui. Le plaisir remontant en flèche, alors que tu continues de contrôler le mouvement. Tu rejettes la tête en arrière, mordant le bâillon, alors que la sensation au creux de ton ventre remonte encore. Tu maîtrises encore la situation. Pour combien de temps ? Pas longtemps tu en es certaine. Mais tu espères bien jouir avant qu’il ne reprenne le contrôle, alors tu tentes d’accélérer le mouvement de ton bassin.

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