tu es celle que je cherche | Estrella
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Pyrrhos Ateş
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| | | |  Sujet: tu es celle que je cherche | Estrella Mer 24 Aoû - 17:34 | |
| tu es celle que je cherche Pyrrhos & Estrella  Banni. Tu avais été banni. T'en rirais presque si tu n'étais pas dans cette situation merdique. Là, tu ne peux pas rire. Parce que t'es bloqué sur terre. Avec ces humains stupides. Et t'en croisais à tous les coins de rues, de ça. Clairement, la personne qui avait dit que les humains ne domineraient pas le monde n'avait pas réalisé le nombre de misérable progénitures qu'ils avaient créés et répandus. Rien que d'y repenser, ça te donnait la chair de poule. Bien plus que l'endroit où t'avais fini par t'isoler, t'imaginant que tu serais enfin en paix. Paix toute relative puisque les morts n'étaient pas la meilleure des compagnies. Et comme il était facile d'accuser ton espèce de tous les maux, certains ne se gênaient pas.
T'avais fini par atterrir dans une cabane. Sans doute celle qu'utilisait un gardien fût un temps. Mais soit ce poste avait été supprimé, soit celui qui était censé être là ne faisait pas son travail de manière convenable. Peu importe, cela t'arrangeait, tu n'étais pas obligé de rester dehors, cela t'évitait la compagnie extérieur, et tu avais même un lit à peu près douillé - un matelas et une grosse couverture pour s'abriter du froid. Tu t'étais allongé sur le tout. Tu ne craignais pas le froid, tu ne pouvais pas tomber malade. Mais cela n'empêchait pas que la chaleur haute température qui régnait en enfer te manquait. Le temps te paraissait très long sur terre, aussi. T'étais là, à observer le plafond s'en rien avoir à faire. Juste attendre. Encore et encore. C'était long. Très long.
Tu finis par te redresser, et te dirige vers la cheminée installée dans un coin. Quelques branches résident encore dans son foyer. Du bout du doigt, tu pointes le bois, et le feu jailli de tes doigts pour éclairer la cabane. Encore heureux, tu possèdes encore tes pouvoirs, parce que cela aurait pu être terrible dans le cas inverse. Le feu de cheminée donne une nouvelle atmosphère à la cabane, et tu te sens de suite mieux, un peu plus chez toi. Ca te rappelle l'enfer, ton monde. Maintenant, il te fallait encore trouver une solution pour retourner là-bas. Peut-être que si tu faisais assez de dégâts ici, que tu tuais assez de personne, en envoyais assez en enfer, peut-être t'accorderait-on une deuxième chance ? Il fallait que tu frappes un grand coup, que tu marques les esprits. Faire exploser un immeuble ? Si tu repérais bien les lieux, que le nombre d'habitants était assez important, ça pourrait peut-être fonctionner ? Ou alors une entreprise ? Un bateau de croisière. Un commissariat ? C'était les pires, ces personnes qui se croyaient tout permis juste parce qu'ils incarnaient la loi, le système. Une université. Oui, c'était ça l'idée de génie. Les gosses c'étaient ce qui avait de plus innocent. C'était donc ce qui faisait de leur assassin les plus machiavéliques. Aucun doute qu'ils te renverraient en enfer direct.
La porte qui s'ouvre d'un coup te ramène au présent. En temps normal tu ne te serais pas laissé surprendre, mais tu avais perdu l'habitude de couvrir tes arrières. Qu'est-ce qu'un humain pourrait te faire ? Ils étaient la faiblesse incarné. Et tu étais un prince. L'un des princes des enfers. Une jeune femme se tient dans l'encadrement, observe le feu. Merde, tu n'avais pas réfléchi à l'idée que cela attirerait quelqu'un. Qui serait assez fou pour s'aventurer dans un cimetière au beau milieu de la nuit, et de tenter sa chance dans une cabane éclairée comme s'il ne pouvait pas s'agir d'un tueur en série ? « Bonjour » Quoi ? Bonjour ? Quelle réplique d'une subtilité zéro. Tu te recomposes un masque de façade, et t'approche. « Je suis désolée, mais la place est déjà prise » Elle ne s'éloigne pas, comme si le danger ne l'effrayait même pas. « Cela dit, a bien y réfléchir, si l'on se sert bien, cela nous aidera à palier au froid.. » Tu laisses ta phrase se faire un chemin jusqu'à son cerveau. Tu ne vas pas cracher sur la compagnie d'une belle femme. C'est l'un des rares trucs que tu aimes ici. Le sexe, les femmes.
(c) Dandelion |
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Estrella Somaz
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| | | | | Sujet: Re: tu es celle que je cherche | Estrella Dim 11 Sep - 16:43 | |
| tu es celle que je cherche Pyrrhos & Estrella Pourquoi t’avais accepté de suivre tes amies déjà ? Ah oui ! Parce qu’elles n’arrêtaient pas de te bassiner sur le fait qu’il te fallait un mec ! Comme si tu avais besoin d’une nouvelle déception amoureuse dans ta vie. D’accord, tu n’avais pas eu beaucoup de copain dans ta vie. Tu pouvais les compter sur les doigts d’une seule main. Et le dernier en date, Colton, avait été le pire des salauds ! Alors que cela faisait deux ans que vous étiez ensemble, tu étais rentrée un soir plus tôt que prévu pour lui faire une surprise. C’est là que tu l’avais trouvé au lit avec sa secrétaire. Tu t’en étais voulu au départ, te disant que c’était l’argent qui l’avait poussé dans ses bras. En même temps, tu n’étais qu’une simple fleuriste, qui peinait à faire connaître sa boutique. Et lui, c’était le PDG d’une grande boîte de montre luxueuse. T’avais d’ailleurs arraché celle que tu portais à ton poignet, pour la balancer avant de tourner les talons et de partir. Une fois dans le couloir, tu t’étais effondrée. T’avais pleuré pendant ce qui te semblait être une éternité, avant de te redresser, déterminée. Tu n’avais pas besoin d’un mec dans ta vie ! C’est donc ainsi que tu t’étais retrouvée avec tes amies à cette soirée débile. Tu ne connaissais personne. Mais ce n’est rien. Enfin si ce n’est que tu t’étais retrouvée comme une conne au milieu de la pièce, sans savoir à qui parler. Alors t’avais fini par fuir, loin de cet endroit.
C’est ainsi que tu te retrouves à vagabonder dans les rues. T’as froid dans ta robe et ta veste en jean. Mais en même temps, vous étiez venues en voiture. Tu n’avais pas prévu de te retrouver à marcher en talons, dans une nuit glaciale. Enlevant d’ailleurs tes chaussures qui te font mal, tu regardes le cimetière d’un mauvais œil. Si tu coupes à travers, tu peux gagner dix minutes sur ton trajet pour rentrer chez toi. Ce n’est pas négociable ! Mais pourtant, l’idée même de te perdre dans un cimetière en pleine nuit, te fait froid dans le dos. Alors que tu tentes toujours de peser le pour et le contre, une violente averse s’abat sur toi. Finalement, tu décides de couper à travers les pierres tombales. Mais alors que tu es presque à la moitié, ton champ de vision est attiré par la lumière qui provient de la cabane. Sûrement des jeunes en train de faire les cons encore ! Cela t’agace, car en tant que bénévole, tu as enlevé des graffitis il y a quelques jours du bâtiment. Aussi, tu prends cette direction, dans l’unique but d’aller les engueuler un bon coup. Ils n’ont qu’à venir nettoyer au lieu de faire les imbéciles ! Trempée jusqu’aux os, tu arrives devant la porte et l’ouvre d’un grand coup. Tu ouvres la bouche, prête à hurler, mais tu te figes en voyant un homme. Merde ! Sûrement l’individu le plus sexy que tu n’es jamais vu. T’en perds même ton latin, incapable de prononcer le moindre mot. Tu ne lui réponds pas quand il te salue, pas plus que lorsqu’il t’annonce que la place est prise. Mais quand il continue, cela te fait sortir de ta torpeur. Le regardant froidement, alors que l’eau dégouline de tes cheveux et que ta robe blanche devenue sûrement transparente te colle à la peau. « Je ne suis pas une pute vous savez ! » Tu le remets à sa place, alors que tu ne veux pas qu’il se fasse des films. Ok il est sexy à se damner, mais il ne faut pas pousser non plus. Regardant la pièce, tu repères le feu qui brûle dans la cheminée. Tu rêves de te glisser devant pour te réchauffer. « Vous n’avez pas le droit d’être ici. C’est un lieu appartenant à la mairie. Vous devez partir. » Tu claques ça sèchement, alors que tu n’aimes pas les gens qui s’attribuent tout, sans demander les autorisations. Surtout que toi, tu peines à joindre les deux bouts pour te payer un logement remplit de moisissures. « Vous trouverez un hôtel au bout de la ville. Pas très cher, mais on y dort bien à ce qu’il parait. » Tu te gifles mentalement. Tu ne veux pas l’y conduire non plus ? Le détaillant, tu te demandes bien d’où il peut venir. Mais tu te mords la langue pour contenir ta curiosité. Ouvrant la porte, tu fais un geste pour lui indiquer la sortie malgré la pluie battante. « Bref, vous feriez mieux d’y aller. Sinon je me verrais obligée d’appeler la police pour qu’ils viennent vous déloger. » T’es sérieuse. Bien que ça doit être difficile à croire entre ta petite taille et tes vêtements trempés.
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Pyrrhos Ateş
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| | | | | Sujet: Re: tu es celle que je cherche | Estrella Mer 21 Sep - 20:46 | |
| tu es celle que je cherche Pyrrhos & Estrella Assis en train de te balancer en équilibre sur les pieds arrières de la chaise, tu laisses la chaleur de la cheminée te réchauffer. T'as bien l'intention de passer la soirée ici. Au moins ici, tu es tranquille, tu n'as pas besoin de te coltiner la présence d'humains. Du moins, c'est ce que tu pensais jusqu'à ce que la porte s'ouvre sur une jolie blonde toute trempée. Et pour une fois, tu n'es pour rien dans cela. Comme à chaque fois, tu ne peux t'empêcher d'être sarcastique. Elle est carrément mignonne, alors si elle venait te rejoindre par ici, tu serais ravi de l'accueillir. Mais à son visage qui se froisse, tu devines que la proposition n'est pas à son goût. « Loin de moi cette idée. Ma proposition était des plus honorables. » T'exagère bien sûr, mais la jeune femme qui est face à toi semble la première distraction vraiment agréable depuis que tu as atterri sur terre. « Oh, je vois. Donc moi je ne devrais pas être ici, mais vous, cela ne pose pas de problème ? Si je ne peux pas être ici, vous n'en avais pas le droit non plus. Or, vous êtes là. » Tu cherches la petite bête, mais tu sens que cette discussion va être fort divertissante. Et que tu vas prendre un immense plaisir à la pousser à bout. Puis, tu finis par éclater de rire. Cette petite blonde est franchement drôle. « Ce qui est drôle c'est que tu penses que je crains vraiment la police. » Tu t'efforces de retrouver ton sérieux, d'arrêter de rire aux éclats. « Je t'en pris, appelle les. Nous verrons ce qu'il se passe » Tu l'enjoints de la main, voir si elle passera vraiment à l'acte. « Enfin, au moins, cela me permet de comprendre. » Tu laisses le silence s'installer, pour récupérer son attention. « Je me questionnais vraiment sur la raison qui pouvait pousser une jolie femme à se promener seule dans un cimetière et venir déloger un gentilhomme. Mais je comprends mieux. Personne ne voudrait s'encombrer d'une gâcheuse d'ambiance. J'imagine que tes amis sont mieux sans toi pour faire la fête. » Ainsi, tu ne dis pas les mots, mais tu la traites de rabat joie.
« Passons un marché, tu veux bien ? » Tu ne sais pas pourquoi tu cherches à la retenir, elle n'est qu'une personne au milieu de millier d'autres. Mais quelque chose en elle te pousse à vouloir la garder un peu plus longtemps près de toi. « Passons quelques heures ensembles. Si tu arrives à me prouver que tu sais t'amuser, je partirais d'ici de suite. Si ce n'est pas le cas et que je gagne ce pari, tu me laisses rester. » Tu es presque sûr que tu vas remporter ce pari parce qu'elle est trop psychorigide pour vraiment s'amuser. Mais tu veux voir si elle va se prêter au jeu, et ce qu'elle est prête à faire pour cela. « Alors ? Marché conclus ? » Tu hausses un sourcil, comme pour la mettre au défi de se débiner, de refuser. Tu t'es levé entre temps, pour t'approcher d'elle, comme si ta présence auprès d'elle allait la persuadé de tenter l'aventure. « Allez !!! Qu'est-ce que t'as a y perdre ? » Oui, t'en rajoutes encore une couche, parce que t'as envie de t'amuser un peu ce soir, t'as envie de tester la résistance humaine, de voir leur force d'esprit, ce qu'ils sont capable de faire.
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Estrella Somaz
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| | | | | Sujet: Re: tu es celle que je cherche | Estrella Jeu 22 Sep - 13:51 | |
| tu es celle que je cherche Pyrrhos & Estrella Quand tu vois de la lumière dans la petite cabane abandonnée, tu t’y diriges immédiatement, malgré ta tenue trempée. Il y a quelques jours, toi et plusieurs bénévoles avaient dû enlever des graffitis sur les murs. C’est bien pour cette raison que cela t’agace de savoir que des jeunes sont de nouveau à l’intérieur, en train de faire des conneries. Ouvrant la porte à la volée, prête à hurler sur les garnements. Mais tu t’arrêtes en plein élan, alors que ton regard croise celui d’un homme. Plus que charmant, il en est certain. Tu n’as jamais vu un homme aussi sexy. Il te salue mais tu ne lui réponds pas. Mais quand il continue, tu ne peux que répliquer. Pourtant, cela doit être difficile à croire en vue de ta robe blanche qui est devenue transparente à cause de la pluie. Quand il te répond, tu te contentes de soupirer tout en levant les yeux au ciel. Tu n’y crois pas un mot, il n’a sûrement pas accepté que tu le remettes à sa place. Reprenant la parole, tu lui annonces qu’il n’a rien à faire ici. Après tout, c’est un lieu qui appartient à la mairie. « Sauf que moi, j’y suis bénévole et je suis venue car vous y étiez. » Tu grinces des dents. Il t’agace, et pourtant, cela te plait qu’il soit ainsi. Etrange sensation pour un homme que tu viens tout juste de rencontrer. Tu lui indiques qu’il peut loger dans un hôtel, avant de le prévenir que s’il ne veut pas bouger, tu seras obligée d’appeler la police. Mais cela semble le faire rire et là tu le regardes avec des yeux ronds. Attrapant ton téléphone, tu composes le numéro. Il n’a pas le droit d’être ici et vu qu’il ne veut pas t’écouter … Mais avant que tu n’appuies sur appeler, il reprend la parole. Relevant ton regard vers lui, tu te sens touchée par ces mots. On t’a souvent traité de gâcheuse d’ambiance. Colton le premier. Inspirant, tu te forces à reprendre un visage neutre, pourtant ta voix tremble, signe que cela t’a affecté plus que tu ne souhaites le montrer. « Je ne vous permets pas de me juger, on ne se connaît pas ! » Et du coup il a gagné, car tu n’as toujours pas appelé les forces de l’ordre.
Levant un sourcil interrogatif, tu te demandes quel genre de marché il veut passer. Tu n’es pas du genre de fille facile, aussi, tu te demandes bien où il veut en venir. Le marché semble honnête. Mais pourquoi tu t’y laisserais prendre, alors que tu n’as qu’un numéro a composé et qu’il sera forcé de partir ? Il se lève et vient vers toi. Il est beaucoup plus grand que toi, mais tu ne t’es jamais laissée impressionner par les plus grands. Et tu repenses à ce qu’il a dit. Aux commentaires de tes amis. « C’est d’accord. » Tu n’en reviens pas toi-même ! Mais tu vas lui prouver que tu sais t’amuser. Inspirant pour te forcer à ne pas changer d’avis, tu ne peux pourtant pas y aller ainsi. « Mais si je dois vous suivre maintenant, il faut que je passe chez moi pour me changer. Je ne peux pas y aller vêtue d’une robe transparente et trempée. » Croisant les bras sur ta poitrine, tu souffles lourdement avant d’ouvrir la porte. Tu n’attends pas de savoir s’il te suit ou non. Tu te dépêches de courir à cause de l’averse, pour rejoindre le bout du cimetière. Mais tu repères sa silhouette derrière toi. « Hors de question que je vous invite à monter chez moi. » Il attendra sous la pluie. T’arrêtant devant chez toi, tu penses à un détail. Alors tu te tournes vers lui et lui tends la main. « Je m’appelle Estrella. Et je reviens. » Tu te détournes, tapes le code de ton immeuble, avant de grimper rapidement les marches. Tu ouvres ton appartement, miteux et moisis. Enlevant tes vêtements tout en te dirigeant vers ta chambre, tu ouvres ton armoire. Pendant un instant, tu es tentée d’enfiler un pull et un jean. Mais dans le fond, pour une fois, tu veux que les autres femmes soient jalouses de toi. Alors tu attrapes la robe rouge, celle que tu as acheté pour Colton mais que tu n’as jamais mise. Tu enfiles des chaussures à talons et tu sèches rapidement tes cheveux, avant de les laisser onduler et de te maquiller. Tu prends un long trench beige que tu enfiles et il est temps pour toi d’y aller. Ton manteau couvre ta robe totalement, mais tu n'as rien d'autre à mettre à la place. Aussi, tu redescends et le cherches du regard, ne le voyant pas. « Génial il m’a planté. » Tu te maudis toute seule, car tu as été trop conne de penser qu’un aussi bel homme pouvait s’intéresser à toi.
- Robe rouge:
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| | Sujet: Re: tu es celle que je cherche | Estrella | |
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