Alya Trevino
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Date d'inscription : 31/01/2023
| | | |  Sujet: Pourquoi tu m'as fait ça ? [Jax/Alya] Mer 1 Fév - 15:39 | |
| Pourquoi tu m'as fait ça ? Jax & Alya  Allongée sur son lit, regardant le plafond, Alya a envie de partir. Elle aimerait avoir le courage de s’enfuir de cette maison, mais elle en est incapable. Perdue au milieu de nulle part, elle saurait même incapable de dire où elle se trouve. La seule chose qu’elle peut voir de l’extérieur, c’est le grand terrain qui entoure la maison. Mais elle ne peut franchir les limites sans que Jax soit au courant. Et ça l’agace. Parce que les journées deviennent de plus en plus longues, et qu’à la télé, il n’y a rien. Se redressant rapidement, il est temps pour elle de s’habiller. Attrapant un crop-top blanc, elle l’enfile rapidement avec un mini short en jean. Même si elle ne voit personne, elle peut au moins essayer de faire comme si elle allait plaire à quelqu’un. Un léger maquillage sur son visage, du gloss à la cerise sur ses lèvres, elle aime le reflet qu’elle voit. Un sourire se dessine sur le visage d’Alya, alors qu’elle se détourne. Repoussant la chaise de bureau, elle se glisse derrière les cours qui sont étalés sur ce dernier. Parce qu’elle a beau ne pas sortir, Jax veut qu’elle étudie. Mais ça l’énerve, elle est la seule élève de la classe après tout. Attrapant son crayon de papier, elle se met à le tapoter sur le bois, tout en relisant son énoncé. Il est temps de se mettre au travail !
Après plusieurs heures, son dos commence à la faire souffrir. S’étirant autant qu’elle le peut, Alya ferme avec force son livre. Clairement, elle en a assez pour aujourd’hui. Se redressant, la blonde va regarder par la fenêtre. Elle aimerait savoir ce qui se trouve derrière tous ces arbres. Comment serait sa vie ? Est-ce qu’elle manque à quelqu’un depuis toutes ces années ? Soupirant lourdement, un élan de colère se met à couler dans ses veines. Il est temps pour elle d’avoir des explications ! Se redressant rapidement, elle tourne les talons avant de se descendre les escaliers. Arrivant dans la cuisine, elle ne voit pas Jax. Pourtant, il la prévient quand il s’en va. Allant jusqu’au salon, elle commence sérieusement à perdre patience. Râlant à voix haute, Alya ouvre rapidement la baie vitrée, avant de regarder partout. Et elle le repère un peu plus loin. Sans attendre, ne faisant pas attention à ce qu’il peut bien faire, elle le bouscule lourdement. La colère est bien plus grande avec l’agacement de ne pas l’avoir trouvé immédiatement. Frappant ses poings contre son torse, elle le fusille du regard. « Pourquoi tu m’as enlevé ?! Pourquoi tu m’as privé d’une vie normale ?! A cause de toi, je ne pourrais jamais avoir de petit ami ! » Elle hurle, de toute manière, personne ne pourra l’entendre. Descendant son regard, elle voit que son haut est descendu, laissant entrevoir le début de sa poitrine. Et ça l’agace encore plus. « Je ne saurais jamais ce que c’est de faire l’amour à quelqu’un ! » L’image de Jax se glisse dans son esprit. Mais elle se reprend bien vite. Comment pourrait-elle le désirer alors qu’il est le bourreau de son cauchemar ?
(c) Dandelion |
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Jax D. Kalington
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Date d'inscription : 30/01/2023
| | | | | Sujet: Re: Pourquoi tu m'as fait ça ? [Jax/Alya] Sam 16 Sep - 10:14 | |
| Pourquoi tu m'as fait ça ? Jax & Alya Bien qu’il fasse une chaleur suffocante, tu étais sorti dans le jardin pour faire de l’exercice. Tu faisais en sorte d’entretenir ton corps, et de toute façon, c’était un échappatoire, une manière de tr défouler, de vider ton esprit dont tu ne pouvais pas te passer au risque de faire une connerie. Un peu plus tôt, sans faire de bruit, tu étais monté jusqu’à la chambre d'Alya. Tu l’avais trouvé étendu sur son matelas en train de travailler. Et la vision de son corps, moulé dans son short bien trop court, et laissant apparaître ses reins t’avait filer un frisson bien trop grisant. Tu avais fait demi tour et t’étais échapper dans le jardin avant de faire une connerie qui consisterait à lui retirer ces bouts de tissus qui la recouvre à peine et à t’enfoncer au plus profond d’elle.
Au début, lorsque tu avais récupérer la gamine qu’elle était, ce n’était que pour faire plaisir à ta femme. Elle était incapable de concevoir un enfant, et ça lui briser le cœur. Passer par la voix légale pour réussir à adopter était long et contraignant, et tu voyais ta femme sombrer un peu plus chaque jour. Alors, tu n’avais pas réfléchi, tu avais monté un plan, et tu avais enlevé le gosse de quelqu’un d’autre. C’était le meilleur cadeau que tu puisses faire à celle-ci. Tu as vu la lumière briller dans son regard comme jamais auparavant. Le problème, c’est qu’elle s’est avéré être une très mauvaise mère. Sujette à des crises de colères, violentes. Et c’était de pire en pire. Tu l’aimais. Oui, mais d’une manière encore plus étrange, tu aimais encore plus cette gosse qui était rentée dans ta vie. Alors, lorsque cela était venue vraiment problématique, tu avais dû faire un choix. Et un jour, tu avais choisi la gosse. Tu t’étais débarrasser de ta femme. Ca avait été moche. Tu l’avais étranglé. Et le pire, c’est que t’avais pris un sombre plaisir à la voir s’agiter, tes mains qui enserraient sa gorge, son visage perdant ses couleurs. Ca t’avait exciter, son corps qui frottait le tien. Elle était morte sous toi, la gorge rouge des marques de tes mains. Tu n’avais pas réussi à te débarrasser de son corps. Alors, sans trop savoir quoi en faire, tu l’avais glissé dans le congélateur à la cave. Et depuis, il n’avait pas bougé.
Par la suite, tu t’étais occupé de la gamine seul. Tu l’aimais vraiment, cette gosse. Sauf que plus elle grandissait, plus elle changeait, plus tu te rendais compte que l’amour que tu éprouvais pour elle n’avait vraiment rien de correcte. Là où tu aurais dû vouloir la voir grandir, s’épanouir, créer sa propre vie, tu le voulais que la garder pour toi, l’enfermer chez toi, et la faire tienne. Et c’était un besoin qui devenait de plus en plus envahissant au fil des jours.
Alors, lorsque tu l’avais vu ainsi vêtu, ça c’était jouer à pas grand-chose pour que tu perdes contenance. Il fallait pas. Putain. Tu n’aurais jamais du la désirer comme ça. C’était ta petite fille. Ta poupée. Alors, une fois dans le jardin, tu t’étais mis au sport. Abdos, courses, boxe. Tout pour extérioriser les images d’elle nue, allongée sous tes coups de reins. La chaleur suffocante te mettait en nage, tu avais enlever ton débardeur. Les voisins étaient à plusieurs mettre de chez toi, alors personne ne pouvait voir les sévissent abominables que ton défunt père avait laisser sur ton dos. C’était moche. Et même encore douloureux par moment.
La tension dans tes membres commençaient à s’alléger lorsqu’elle a fini par débarquer. De face, la vision de son corps dans une telle tenue était pire encore. Sans compter que son excès de colère, ses joues rouges, ses cheveux décoiffés et son décolleté plongeant ne faisait que nourrir ton imaginaire. Tu l’imaginais exactement comme ça, le souffle court, après une bonne baise avec toi.
A bout de souffle et dégoulinant de sueur après le sport que tu viens de faire, tu attrapes ses poignets pour qu’elle cesse de te taper dessus. Il rit. Il rit jaune parce qu’il est à deux doigts de perdre le contrôle. « Un petit ami ? Alors c’est tout ce qui t’inquiète. De ne jamais avoir un putain de petit ami ? » Ca lui serre le cœur parce qu’il déteste cette idée. « Pour quoi faire ? Pour qu’il te fasse pleurer ? Pour qu’il te déflore alors qu’il ne t’aime même pas ? » T’es cru, mais tu n’en as rien à foutre. Il faut qu’elle connaisse la vérité. Ce que c’est d’avoir un petit ami a son âge. « Ce que c’est de faire l’amour ? Oh, Alya, si tu savais. » Tu la contemples un instant. Putain, oui si elle savait, que tu ne rêves que de ca. « Si ce n’est que ça, on peut arranger la situation de suite. » Tu fais claquer ta langue, et la lueur fébrile dans ton regarde ne peut pas lui permettre de se tromper sur tes intentions. « Ne prétends pas être malheureuse alors que je t’ai tout offert. Ne prétends pas que la vie extérieur te manque, alors que tu n'as même jamais essayé de t’enfuir. C’est lâche de m’accuser aloès que tu te complets ici. Alors maintenant, dégage. Retourne dans ta chambre avant que je ne te montres vraiment ce que c’est de faire l’amour avec un homme. Un vrai, pas un gosse de petit ami. »
(c) Dandelion |
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