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 Nyra Spinelli

Nyra Spinelli
Nyra Spinelli
Messages : 2
Date d'inscription : 24/08/2022
MessageSujet: Nyra Spinelli   Nyra Spinelli EmptyVen 26 Aoû - 21:40

Myra Spinelli
âge vingt ans au compteur, et plus jamais elle ne fêtera un autre anniversaire, plus jamais elle ne vieillira nationalité italienne, à ce qu'il paraît, mais elle n'a jamais été très arbre généalogique statut civil célibatair, libre comme l'air, avec une légère obsession pour une belle louve orientation bisexuelle, ça fait plus de personnes à se mettre sous la dent espèce longtemps humaine, mais elle en avait assez de cette carapace fragile... aujourd'hui c'est une belle vampire métier élève à l'école salvatore date d'arrivée octobre 2031 juste pour rejoindre sa belle groupe The Night

feat camila moronne crédits avatar de @ooolympia. et icône de @superficialgirl.
Caractère et capacités
Caractère, un caractère pas facile. T'es à l'opposé de celle que t'étais quand tu étais jeune, avant qu'une tragédie bouleverse ta vie. Si t'étais tendre, à l'écoute, joyeuse, c'est aujourd'hui tout l'inverse. Taciturne, et manipulatrice, c'est ce qui rythme ta vie. Pour toi, il est hors de question de t'attacher à quelqu'un. La dernière fois, c'était avec ta sœur, et ça t'a détruite, t'as failli y laisser la vie, tu ne commettras plus jamais cette erreur. Tu es aussi très volage. Si tu n'aimes pas que les gens que tu tiens sous ta coupe aille voir ailleurs, en revanche tu ne t'en prives pas. D'ailleurs, tu es bien conscience de ton cœur, de tes atouts, et tu les mets en valeur pour obtenir tout ce que tu désires. Tu es une grande joueuse et une très bonne comédienne. Lorsque tu te joues de quelqu'un, tu ne le fais pas à moitié et ils n'y voient que du feu.

Capacités, les mêmes que celle des vampires, le contrôle en moins. Tu ne tues pas dès que tu ressens la présence d'un humain dans les coins, mais lorsque l'odeur du sang apparaît, elle, tu as du mal à contrôler ta soif, tu n'es qu'un jeune vampire. Sinon, tu as une force au dessus de la moyenne, une très bonne ouïe, des sens affinés, et une vitesse qui ferait pâlir les plus grands coureurs. T'es aussi incapable de rentrer dans une maison où tu n'as pas été invité, et ça, ça te frustre au possible.
labeled true story
ATTENTION, HISTOIRE TRÈS DIFFICILE, NE PAS LIRE LE SPOILER SI ÂMES SENSIBLE  :caché:

Dix heures plus tôt, chez toi

Ces derniers temps, tu vas de découverte en découverte. T’es seule, et ça tu ne l'accepteras jamais. T’as passé les derniers mois à chercher où était partie ta belle, tu souhaites la retrouver… Parce qu’elle te manque, ou parce que tu souhaites lui faire payer de t’avoir quitter comme ça, de t’avoir laissée en plan.. Peu importe dans le fond, ta décision est prise, tu veux la rejoindre. Et ce que t’as découverts deux jours plus tôt va t’aider. Enfin, tu as trouvé en quoi cette école Salvatore est si spéciale et sélective. Un nouveau monde s’offre à toi, un monde que tu n'avais même pas imaginer une seconde. Depuis, tu ne peux t’empêcher de voir des choses étranges autour de toi. Des gestes un peu trop rapide, une force un peu hors du commun. Toutes ces petites choses que tu n’avais jamais compris, elle tombe sous le sens. Et, d’une certaine manière, tu comprends cette manie de ne jamais te sentir à ta place, de ne jamais être comme les autres. Toi qui n’as jamais été très étude, d’un coup, t’as étudié une tonne de bouquin. Mais pas un ne semblait vouloir livrer les mêmes secrets. Certains parlaient de loups garous, d’autres de vampires, d’autres d’extraterrestres, d’autres encore de sorcières. Aucun n'avait les mêmes informations, de quoi mettre ton cerveau en bouillie et ne pas t’aider à voir plus claire. Mais en même temps, tu n’avais pas besoin de chercher plus loin. Tu savais que toutes les informations que tu pourrais trouver ne te conviendrait pas. Une seule espèce semblait être faite pour toi : les vampires. C’était eux que tu voulais rejoindre. C’était ce que tu voulais être, c’était là qu’était ta place. Folie pure, ou pure folie ? Non. Juste une évidence. Tu n’avais jamais eu de cœur, jamais eu de sentiments pour quiconque. T’étais juste toi. Et toi seule comptait. Le reste n’était qu’un plus, qu’un surplus. Qu’une obsession.

Neuf heures plus tôt, chez toi

Tu glisses quelques affaires dans ton sac, des habits, un briquet – comme si tu allais en avoir une quelconque utilité – un couteau, ton portable, une palette de maquillage – impossible d’oublier ton maquillage -  quelques produits d’hygiène, et tu fermes ton sac. Tu es prête. Tu n’as pas grand-chose, mais c’est assez, tu ne comptes pas amener ta vie avec toi. De toute façon, c’est pas comme si tu possédais grand-chose. Ta vie se résume à toutes ces personnes que tu as manipulé au cours des ans. Tu fais le tour de ta chambre, que des choses sans importances, jusqu’à ce que tu tombes sur ce cadre photo, ou ta sœur et toi étiez en train de vous éclabousser lors d’un été caniculaire. Tu l’attrapes, caresses la vitre du bout des doigts. Elle te manque. C’est fou comme une si petite personne, que tu as connu si peu longtemps est en mesure de te manquer à ce point… à t’en crever le cœur. Et face à ce souvenir, tu replonges dans un passé très différent d’aujourd’hui.

âme sensible s'abstenir :

Huit heures plus tôt, chez toi

Après ça, tu n'as plus jamais été la même. Ta relation avec ton père c'est dégradé de jour en jour. Tu ne supportais plus sa présence. Tu refoulais sur lui toute ta haine, toute ta rage. Tu lui en voulais de ne pas avoir été là ce soir là. Tu refusais de lui pardonner son absence. C'était sa faute. T'as tenue les années qui ont suivi, puis quand t'as été en âge, t'as pris tes clics et tes claques, et tu t'es barré. T'as fuis sans un regard en arrière. T'as laissé ton père derrière toi. Cet homme qui ne représentait plus rien à tes yeux, si ce n'est la honte, la souffrance et la haine. Tu sais que tu n'aurais jamais pu lui pardonner. Tu sais que tu n'aurais jamais pu passé au dessus. Alors, d'une certaine manière, valait mieux que tu partes avant de faire une bêtise que tu aurais un jour pu regretter. Tu glisses le cadre photo dans ton sac, et à nouveau, tu fais le tourde ta chambre. Rien ne semble te retenir ici. Alors tu verrouilles ta chambre, et tu quittes cette baraque qui n'est de toute façon pas la tienne, juste de quoi te permettre de passer les nuits qu'il te restait à vivre ici.

Sept heures plus tôt, dans ta voiture

Sur le siège conducteur, tu regardes dans le vide. Plus que quelques heures, bientôt, tu en auras fini avec cette merde. Tu ne regretteras pas ta décision. Cette vie n'a plus rien à t'apporter de toute manière. Tu n'as fait que te traîner au fur et à mesure que la vie se montrait cruelle. Tu t'es contenté de survivre, parce que tu le devais à Lya. Tu ne comptes plus le nombre de fois où tu as essayé de te foutre en l'air lors des premières années après la perte de ta sœur. Tu n'arrivais pas à vivre dans un monde où elle n'était plus là, où tu avais subi de telle atrocité. Les tentatives se sont bousculées, t'en as gardé des traces, en partie sur tes poignets. Ca fait des années que la vie n'a plus rien à t'apporter. Un jour, tu t'es relevé, et t'as décidé que plus rien ne déciderait pour toi. C'est aussi le jour où tu t'es tiré de chez toi. Ce jour là, tu as décidé que plus rien n'allait t'atteindre.

Tu arpentes les couloirs de l'école. Tu souffres d'être là, t'es toujours seule, tu n'as pas envie de te mêler aux autres. Tu veux juste qu'on te foute la paix, qu'on te laisse vivre ta vie comme tu l'entends. On te siffle sur ton passage, et tu retiens un sanglot. Depuis que t'as perdue ta sœur, un rien suffit à te faire craquer. « Allez poupée, ne fais pas ta prude.. » C'est cette remarque qui te fait disjonctée. Tu ne savais pas ce que tu faisais, la seule chose dont t'étais sûre, c'est que tu ne pouvais plus te laisser marcher sur les pieds. Tu t'es retournée, ton sac s'échouant au sol, et telle une harpie, t'as foncé sur ce mec. Tu lui as griffé le visage, l'as traité de tous les noms. Après, tu ne sais pas ce qu'il s'est passé. On t'a arraché à lui - dommage - et la seule chose que tu sais, c'est qu'il lui a fallu plusieurs jours d'hosto. Toi t'as été exclus, et c'est là que t'as décidé que plus personne ne s'en prendrait à toi.

Six heures plus tôt, dans ta voiture

C'est aussi ce jour là que tu as fuis. Tu as décidé qu'il était temps que tu reprennes ta vie en main. Armé d'un petit sac, comme aujourd'hui, tu t'es barré à l'autre bout du pays, prête à refaire ta vie. T'es arrivé dans un nouvel établissement et ton attitude à changé de manière radicale. Dès le premier jour, tu as imposé ta loi, tu es vite devenue la fille qu'il fallait respecté, celle qu'il valait mieux ne pas se mettre à dos. Tu avais un gros cercle qui gravité autour de toi, et t'aimais ça. Du moins, dans le fond, tu ne tenais à aucun d'entre eux. Tu te fichais d'eux même. Mais tu aimais l'attention qu'on t'offrait, tu aimais être au centre du monde. T'as enchaîné les conquêtes. T'es d'abord sorties avec des mecs, les plus populaires, tu peux te venter d'être en mesure de faire un classement du plus doué au plus nul. T'as aussi testé quelques filles. T'es jamais resté très longtemps avec quelqu'un. Ils étaient tous fade, insipide. Au fond, ce n'était que du sexe, parce que dès que l'on grattait derrière la surface, c'était laid, très laid. Jusqu'à elle.

Cinq heures plus tôt, au bord d'une falaise.

Tu frôles le bord de la falaise. Tu ne peux pas faire un pas de plus, sinon tu finiras dans le vide. Tu tentes le diable, joue avec l'apesanteur. Les bras grands ouverts, tu défies le vent de prendre la décision à ta place. Une bourrasque et tu t'envoles pour aller te fracasser contre les rochers un peu plus bas. A peine vêtu d'une jupe très courte et d'un top qui dévoile ton ventre, le vent te glace de l'intérieur. Tu frissonnes, mais tu t'en fous, tu te sens plus vivante que jamais, et à la fois, y a ce poids sur ta poitrine qui te comprime, qui t'empêche de respirer. Entre tes seins, le collier de ton ex repose, lourd. En temps normal, il ne pèse rien, mais aujourd'hui, il pèse un poids mort. Sans doute parce que c'est à cause d'elle, pour elle, pour toi - tu ne sais plus à force - que tu t'apprêtes à franchir ce pas radical. Tu revois son sourire éclatant, cette bouille qui t'a fait craqué la première fois. Tu ne sais pas pourquoi c'est différent avec elle. Parce que tu peux la manipuler comme tu le souhaites ? Parce qu'elle te cède chacun de tes moindres désirs ? Parce que c'est mal ? Oui, c'est malsain, t'en as conscience. Y a rien de bon dans cette relation que vous entreteniez toutes les deux. Mais bordel, elle te rendait vivante. Avec elle, tu respirais, c'était comme un putain de choute d'adrénaline. Elle était ta drogue. La seule constante dans ta vie. Jusqu'à ce qu'elle se décide de se barrer, te t'abandonner derrière elle. Et aujourd'hui tu ne sais plus si tu fais tout ça parce que tu ne veux plus de cette vie, parce que tu veux redémarrer de zéro, parce que tu veux vous donner une nouvelle chance, ou juste parce que tu veux te venger, lui faire mal. Une bourrasque te frappe de plein fouet, te faisant reculer de plusieurs pas. C'est le signe que tu attendais. Ton destin n'est pas là, pas dix mètres plus bas, écorchée contre la pierre.

Quatre heures plus tôt, chez ton père

Tu frappes à la porte. Tu n'as pas revu cette figure paternelle depuis des années. Tu ne sais même pas s'il est toujours là, s'il te reconnaîtra. Tu as bien changé depuis le temps. Certains disent vulgaire, toi tu dis sexy, chacun ses gouts, chacun ses atouts. Ton père t'ouvre, se fige. Il t'a reconnu, aucun doute. Les larmes grimpent dans ses yeux, heureux de te revoir. Tu ne lui dis pas que tu n'es qu'un fantôme du passé, que tu ne restes pas, que ce n'est qu'un dernier adieu, un adieu définitif. Tu acceptes ce qu'il te propose, tu rentres, tu te mets à table, il te propose un café, vous discutez, tu te contentes de réponses rapides. Tu n'as pas envie de t'étaler, tu n'as pas une minute à perdre. Lorsqu'il tourne le dos, tu glisses une drogue dans son verre. Du poison pour être exact. Tu en as bientôt fini avec cette vie, mais tu veux faire disparaître ce qu'il reste encore derrière toi, et pour ça, ton père doit disparaître. Il est temps qu'il rejoigne les personnes qu'il n'a pas pu sauver. Certains te traiteraient de folle, d'autres de précautionneuse... Tu ne veux juste rien laisser derrière toi qui pourrait te ramener à ta vie passer, rien que l'on ne pourrait utiliser contre toi. Il avale sa boisson, sans une hésitation, sans un soupçon. Et bientôt, la peur se loge dans son regard à mesure que son corps se paralyse. « Comme ça, tu ressens enfin ce que j'ai pu vivre lorsque j'ai dû subir les atrocités de ce fou à côté du cadavre de ma sœur. » Tu lui craches à la gueule. Tu patientes, juste le temps de voir la vie s'éteindre dans son regard. Et juste parce que ce n'est pas suffisant, tu allumes le gaz, défait le tuyau. Si le poison n'a pas fait son effet, cela finira de le tuer.

Trois heures plus tôt, cimetière

Tu défiles entre les tombes, jusqu'à tomber sur celle que tu cherchais. Là, en lettres majuscules le nom de ta mère et de ta sœur apparaissent à peine. La tombe n'est même pas entretenue. C'est sans doute un trop gros effort pour ton père que de venir se recueillir régulièrement auprès de sa famille. Quand tu vois ça, tu regrettes encore moins ton geste envers lui. Il ne méritait que ça. Tu t'agenouilles sur la terre humide, glisses ta paume sur le caveau, et un éclat brille dans tes yeux. Tu ne pleureras pas, tu n'as plus pleurer depuis des années, et tu ne seras plus jamais aussi faible que ça. Mais être là, face à la tombe de ta sœur, ça te fait quelque chose, un drôle d'effet. « Vous me manquez, j'aimerais tellement que vous soyez encore là. Tout serait si différent. J'espère que tu es heureuse là haut, Lya. » Tu embrasses la tombe, laisse ta tête reposer dessus. C'est la dernière fois que tu viendras ici. Plus jamais tu remettras les pieds ici, ni dans ce cimetière, ni dans ce pays, ni dans cette ville. C'est ton dernier au revoir. « Je vous aime. » C'est aussi la première fois depuis longtemps qu'elle prononce ces mots. Ces mots qu'elle n'a même jamais offert à son ex.

Deux heures plus tôt, sur la route

Musique à fond, tu traces ta route. Tu seras bientôt délivrée, tu sens, au fond de toi, que c'est tes dernières heures. Ton plan se déroule comme tu le souhaitais, comme tu l'as imaginé. Tu n'as pas dérogé à tes règles, suivis toutes tes consignes à la lettre. Tu montes encore le son de la musique, tu craches la fumée de ta cigarette par la fenêtre. Tu vis. Très paradoxale quand on sait ce qui t'attends, ce que tu veux. Mais pour la première fois, tu vis, tu ris, tu exultes de joie. T'as enfin l'impression que ta vie t'appartient, que tu fais les bons choix. Tu roules, bien trop vite, ton compteur affiche un nombre monstrueux, mais tu t'en fiches. Tu files au vent, tu exultes.

Une heure plus tôt, chez lui

« Un marché est un marché... Tu sais que rien n'est gratuit ici, chérie. » Oui, tu le sais. C'est partout pareil de toute façon. Les mecs ne sont bons qu'à une chose, profiter des femmes. Et pour ça, ils ont d'autres choix que de les faire marchander, parce que sans ça, ils n'obtiendraient pas grand chose, ils le savent très bien. « Je le sais, je ne compte pas revenir sur notre marché. » Tu t'approches de lui, attrapes son lobe d'oreille entre tes lèvres. Impatient, il te jette sur les draps, t'écrasant de son corps. Il laisse des baisers sur ton corps, mais tu ne ressens rien. Il t'embrasse à pleine bouche, mais tu ne ressens rien. Il te déshabille, mais tu ne ressens rien. Il te caresse, mais toujours le même refrain, tu ne sens rien. Tu ne penses qu'à une chose, ou plutôt une personne, elle. Elle, elle te faisait ressentir. Avec elle, t'étais vivante. Il prend son pieds... toi, tu ne ressens rien. Mais tu t'en fiches, tu restes le regard dans le vide, jusqu'à ce qu'il en est fini avec toi, avec ton corps. Et quand enfin, il semble rassasié, tu croises son regard, lui signifie que tu es prête. Et la minute suivante, tu ressens. Tu ressens la douleur de ses crocs qui déchire la peau de ton cou. Il ne te rendra pas la chose facile, douce. Mais en même temps, c'est le résumé de ta vie. Tu n'imagines pas autre chose que la souffrance pour rythmer tes jours. Alors tu le laisses se nourrir de toi comme une ordure. Parce qu'après... Après il t'offrira ce que tu désires.

Heures J, dans ta douleur

Il t'offre son poignet, au préalable ouvert par ses crocs, le sang s'en écoule mais tu vois déjà la morsure cicatrisée. Ca te fascine. Alors, sans attendre tu plantes tes petites dents dans la blessure. Si certains pourraient être écœuré par ce geste, toi, il te semble si naturelle. Tu refermes tes mains sur son bras pour boire avec avidité. Quand tu te redresses, le sang macule ta bouche. Tu offres un sourire ensanglanté à ton donneur. Et puis, t'entends un craquement que tu ne comprends pas de suite, et c'est le noir.

T'es prise dans un étau de glace. Tu souffres, tu alètes. T'es morte. T'es vivante. Tu ne sais plus. Tu entends toutes les choses qui t'entoure, mais pas ton cœur. Ca doit vouloir dire que t'es morte. Pourtant, tu sens chacun de tes membres, tu arrives à les bouger. « Bienvenue parmi nous, chérie » Tu l'entends, mais tu es très loin. Ta gorge te brule. Tu ne souffres plus outre mesure, mais y a cette sensation dans ta gorge qui refuse de te laisser tranquille. La soif. Tu sais que c'est ça, parce que tu t'es renseigné avant de te jeter dans la gueule du loup. Et cette soif qui te consume ne peut vouloir dire qu'une chose. T'es vivante, mais aussi totalement morte. Tu es une vampire. Ta seconde pensée est pour elle. Prépare toi bébé, j'arrive. Mais d'abord, tu dois trouver ta première victime, achever ta transformation.


pseudo ou nom .ASHES - Laure  :cute:  âge 25 ans comment as-tu découvert le forum Laura  :drunk:  Un double compte nop pourquoi ce forum/ce que t'en pense parce que le contexte, le scénario, et tout et tout  :please:   Besoin d'un parrain ? non autre chose ?  :hug:
Code:
✦ <pris>camila morrone</pris> - [url=https://shadowoflegacy.forumactif.com/u238]Myra Spinelli[/url]
codage de margo
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Nyra Spinelli

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