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 mêle-toi de tes oignons

Lya Fields
Lya Fields
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Date d'inscription : 17/03/2020
MessageSujet: mêle-toi de tes oignons   mêle-toi de tes oignons EmptyMar 17 Mar - 14:46


mêle-toi de tes oignons ★ lya and alaric
(vêtements/tenue/pole dance)

La musique s'achève sur une dernière note, et elle marque un pas final à la dance sexy, et bien plus qu'aguicheuse qu'elle exécutait. Après toutes ces années, c'est toujours un supplice pour elle de monter sur scène. Elle déteste ça. Elle déteste les regards lourds de sens qu'elle croise au détour d'une pirouette. La moitié des hommes présents dans la salle tuerait pour mettre la main sur elle. Et elle serait prête à parier que les trois quarts ne seraient pas tendre avec elle. Elle laisse son corps glissait le long de la barre, le cœur battant la chamade, et la sueur qui reflète la lumière. Son cuir chevelu lui colle à la peau, et elle n'a qu'un désir, prendre une bonne douche pour se laver de tous ces regards sales. Une fois pieds à terre, elle s'approche et ramasse le fric laissait sur le bord de la scène. Et malgré toute sa prudence, elle n'arrive pas à éviter les paires de mains qui glissent sur son corps. Un frisson désagréable lui bloque la colonne. Elle déteste cette vulnérabilité. Elle déteste ces enfoirés qui pensent être permis de la toucher sans son consentement. D'un geste rapide, elle se recule des mains baladeuses encore sur elle, et elle tique au regard d'un des hommes face à elle. Il dégage une telle colère. Son recule n'a pas été apprécié C'est une certitude. Elle avale sa salive avec difficulté. Des hommes dans son genre, elle en croise une dizaine par semaine. Elle n'est pas idiote, elle a conscience que ça n'augure rien de bon pour elle, et que vaut mieux qu'elle file, et vite. Parce que s'il la croise à la sortie, il va lui faire la peau. Son fric à la main, elle rechausse ses talons vertigineux et quitte enfin la scène. S'en est fini pour ce soir. Elle est libre jusqu'au lendemain. Elle presse le pas jusqu'à sa loge. Elle va pouvoir se laver à s'en faire saigner.

Mais une fois dans la loge, elle n'est capable de rien d'autre que de s'avachir dans son fauteuil. Son regard tombe sur le miroir brisé de sa coiffeuse - souvenir d'un homme qui n'a pas manqué de la terroriser un soir alors qu'elle s'était un peu trop attardé ici. Elle croise son reflet, ou du moins, une femme qu'elle n'arrive pas à reconnaître maquillée à outrance. Ca plait aux hommes, mais elle, elle n'arrive même pas à se trouver jolie ainsi. Elle se révulse. Une bille lui monte, et elle trébuche jusqu'à l'évier afin de laisser sortir tout son dégoût pour elle-même. C'est devenue une habitude, à chaque fois qu'elle croise son propre reflet. Elle s'asperge la bouche d'eau pour se débarrasser du goût atroce qui lui reste, et elle s'éloigne. Son téléphone émet un bip sonore, et elle le récupère au fond du sac.

Kris : je suis là, princesse, je t'attends par la porte de derrière.

Kris, ou l'unique homme de cette planète qui ne la considère pas que comme un objet à baiser. Elle l'a rencontré au club, alors qu'il avait été tiré ici par ces potes, et il n'avait pas pris le même plaisir qu'eux à voir Lya se déhancher sur scène. Il l'avait attendu à la fermeture - ce qui n'avait pas manqué de la faire paniquer en premier lieu, ce n'était jamais bonne augure quand un homme l'attendait ainsi - et de fil en aiguille il avait commencé à se fréquenter. La jeune femme n'était pas certaine qu'il se passe quelque chose entre eux, mais elle l'aimait bien. Y'avait pas besoin de plus. Elle passe ses jambes dans un short qui traîne au fond de son sac, et enfile une simple veste qu'elle laisse entrouverte par dessus sa tenue plus qu'aguicheuse. Avec Kris, elle ne craint pas grand chose. Avec lui, elle est comme en sécurité. Elle quitte sa loge, quitte le club par l'arrière, et lorsqu'elle pousse la porte, elle aperçoit le garçon à quelques pas de là. Elle ne se fait pas prier. En quelques enjambées elle l'a rejoint, et se laisse pelotonner dans ces bras. Elle embrasse le coin de sa mâchoire, et il passe un bras protecteur autour d'elle. « Merci d'être venu, on rentre ? » Elle n'aimait pas traîner dans les rues à une heure aussi tardive. Y'avait toujours un malheur qui lui tombait au coin du nez. Alors qu'elle se détache du jeune homme pour prendre son chemin, un bruit l'interpelle. Elle tourne la tête, à droite, à gauche, son cœur loupe un battement. Il s'affole lorsqu'elle distingue une silhouette dans l'ombre. Une silhouette qui n'a manqué aucun détail de la scène qui s'est déroulé un peu plus tôt. Elle recule d'un pas. Elle n'aime pas ça. Pour peu, elle serait prête à prendre ses jambes à son cou si elle n'était pas trop fatiguée pour ça. La taille de l'homme s'agrandit encore alors qu'il émerge de l'ombre. Un frisson accable la jeune femme alors qu'elle reconnaîtrait ce corps entre tous. « Alaric ? » Que faisait-il là ? Il n'aurait pas dû être là. Et encore moins assisté à cette scène. Merde. Elle commence à trembler comme une feuille. Parce qu'elle n'ignore pas la suite. Ca va mal se finir. C'est une certitude.


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Alaric Fields
Alaric Fields
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MessageSujet: Re: mêle-toi de tes oignons   mêle-toi de tes oignons EmptyLun 6 Juin - 9:29

 
Mêle-toi de tes oignons.
  @Lya Fields  & Alaric. 
5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifT’avais dû quitter la ville pendant quelques jours. Ce n’était pas pour te plaire, mais tu avais ta couverture de flic à maintenir. Aussi, tu avais prévenu le club où Lya bossait, pour les avertir que si un des mecs osaient la toucher, tu lui casserais les doigts un à un, avant de faire bien pire. On ne touche pas ta sœur sans ton autorisation. Les mains agrippant le volant, tu roules bien vite. Tu sais qu’elle bosse ce soir, t’as envie de la voir. Bon dieu, rien qu’à l’idée, t’as envie d’être déjà arrivée. Il n’y a qu’elle qui te met dans un état pareil, alors que tu meurs d’envie de toucher chaque parcelle de son corps. Paternel qui t’a bousillé ta vie, ton enfance, ton mental. Pour toi, ce comportement-là, c’est normal. T’accélères un grand coup, la main repassant les vitesses rapidement, alors que tu vois l’heure qui tourne. Elle va bientôt avoir fini son service et tu ne peux pas risquer de la louper. Surtout que tu sais qu’elle n’a pas dormi dans votre appartement ces derniers jours. Mais soit, tu attends de savoir ce qu’elle aura à dire pour sa défense. Arrêtant ta voiture devant le club, tu descends. T’es arrivé un peu avant, comme prévu. Allumant ta cigarette, le corps appuyé contre le capot de ta voiture, tu patientes. Tu imagines déjà parfaitement le corps de Lya sous le tien, tes mains qui marquent son épiderme. Plaisant ! Eteignant ton mégot, tu t’avances vers le club, les mains dans les poches de ta veste en cuir. Poussant la porte, t’es bien connu des lieux. Le patron te laisse entrer, tant que les flics ne viennent pas fouiller à l’intérieur de ses locaux. Le saluant d’un signe de tête, tu vois ta sœur sur la scène. Mais elle a fini. Merde tu as loupé son spectacle ! Tu la vois qui fui rapidement l’estrade, aussi, tu sors. Allant à l’arrière du club, là où tout le personnel entre et sort, tu t’appuis contre le mur. L’ombre te cache, mais toi, tu vois tout. Allumant une nouvelle cigarette, il n’y a que le petit cercle rouge qui est visible, si on y prête attention. Un type arrive dans la ruelle et tu l’observes. Il semble connaître les lieux. Etrange, il fait bien trop propre pour trainer vers ici. Soudain, tu repères la silhouette de ta sœur. T’es prêt à t’avancer sauf que tu la vois qui court rejoindre ce type. Tiens tiens. Tu sens la colère dans tes veines, la jalousie même qui te brûle. Eteignant ton mégot, tu la regardes embrasser sa mâchoire. Il n’y a que toi qui as le droit à ses lèvres. Mais le pire, c’est sûrement la phrase qu’elle prononce. Tu vois rouge. Rouge sang. Tu vas le faire regretter d’avoir posé les mains sur Lya. Sortant de l’ombre, tu comprends maintenant tout ce qu’elle te cachait ces dernières semaines. Toi qui avais voulu lui faire plaisir et lui laisser plus de liberté … « Lya. » Tu souris, mais elle te connait, elle sait que c’est mauvais. Continuant d’avancer, tu agis rapidement. Tu attrapes le mec par le col et le plaque contre le mur. Ton poing vient percuter son visage dans un bruit sourd. « Comment as-tu osé poser tes mains sur elle, sans mon autorisation. » Il commence à baragouiner une phrase, mais t’en as rien à foutre de ses excuses. Tu le frappes une nouvelle fois et il s’effondre. Puis tu lui files deux ou trois coups de pieds. T’en as rien à faire qu’il hurle à la mort. Mais qu’il ne se plaigne pas, tu lui laisses la vie sauve. Te tournant vers ta sœur qui n’a pas bougé, tu lui agrippes le bras. « Toi, tu rentres avec moi. » Tu ne lui laisses pas le choix, la tirant avec toi jusqu’à la voiture. Tu la forces à grimper dedans, avant de faire le tour. Moteur en marche, tu démarres en trombe laissant sûrement de la gomme sur le parking. Tout ton corps exprime ta colère. Tes jointures blanches trahissent ton sentiment, alors que tu prends la direction de votre appartement. « C’est donc ça que tu me cachais. Tu vas regretter de m’avoir menti Lya, crois-moi. »
(c) Dandelion
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Lya Fields
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MessageSujet: Re: mêle-toi de tes oignons   mêle-toi de tes oignons EmptyLun 6 Juin - 13:29


mêle-toi de tes oignons ★ lya and alaric
(vêtements/tenue/pole dance)

Son cœur pulse alors qu'elle découvre la présence de son frère. Il n'aurait pas dû être là aussi tôt. Sa mission n'était-elle pas censé durer quelques jours encore ? Et pourquoi elle pense à ça, maintenant ? Comme si y'avait pas plus urgent dans la minute. Cette soirée n'allait pas se terminer sous de bonnes augures. C'était une certitude. « Tu devrais rentrer, Kris.. » Il l'interroge du regard, comme s'il ne comprenait pas qu'elle le chasse. Et en même temps, c'est incompréhensible alors qu'ils ont passé les derniers jours ensemble. Mais là, s'il ne se dépêche pas, il va lui arriver malheur par sa faute, et elle ne l'acceptera pas.

Elle l'entend, se sourire dans sa voix, et un frisson remonte le long de sa colonne vertébrale. Elle aurait dû être plus intelligente. Surtout mieux cacher ses émotions, parce que Kris il se rend compte de la peur qui imprègne chacun de ses os. Elle tremble comme une fleure, parce qu'elle se rend compte que cette soirée se transforme en son enfer personnel. « Alaric, non, je t'en pris. » Mais il est plus rapide qu'elle, et avant qu'elle ne puisse s'interposer le poing de son frère percute celle du jeune homme. Non. Les larmes lui montent aux yeux alors qu'elle se couvre la bouche. Et elle recule, recule encore jusqu'à ce que les pierres de la ruelle vienne soutenir son poids. Parce que son frère ne s'arrête pas là. Sa cruauté a toujours été sans limite. Elle hoquète alors que la panique la gagne. Si son frère ne l'effrayer pas à ce point, elle irait chercher quelqu'un, mais elle sait que c'est vain. Son frère ne fera qu'une bouchée du nouveau venu, ou alors il fera passer Kris pour un agresseur. Il trouvera toujours une défense. Il est son bourreau, elle aurait dû retenir la leçon. Rien ne cherche d'essayer d'échapper à son destin. Elle lâche un cri alors qu'il lui saisi le poigné, avec une force qui lui laissera une trace, elle en est certaine. Et elle lui emboite le pas comme elle peut, alors qu'il ne lui laisse d'autre choix que d'être traîné derrière lui. « Ric', laisse-moi t'expliquer, je t'en prie... C'est pas ce que tu crois. » Il faut qu'elle réussisse à lui expliquer, elle n'a aucune envie de rentrer avec lui. Elle n'ignore pas ce qui l'attend s'il l'enferme avec lui encore une fois. Elle n'a pas envie de ça. Elle n'a pas envie de redevenir cette poupée qu'elle est à chaque fois qu'il est dans les parages. « Il ne s'est rien passé. Tu dois me croire.. Je me sentais seule alors on a passé un peu de temps ensemble, rien de plus. » Son corps est secoué de tremblement, son visage baigné de larme, et alors qu'elle s'acharne sur la poignée, elle sait déjà qu'elle ne trouvera aucun moyen de s'enfuir. Bien sûr, la porte est verrouillé, il aurait été étonnant qu'il en soit autrement. « Ne fais pas ça, s'il te plaît. Je me tiendrais tranquille, je te le promets. »

Elle replie ses genoux sur elle-même, comme pour offrir une maigre barrière entre lui et elle. Il ne lui reste pas longtemps pour trouver une solution. Et quand le parking de leur immeuble arrive dans son champ de vision, elle s'est que son temps est écoulé, et elle n'a trouvé aucune solution pour échapper à la sentence. « Pitié, Ric'.. » Le supplier, c'est tout ce qu'il lui reste, son dernier recourt, parce qu'elle sait qu'il adore ça, l'entendre supplier, geindre. Elle déteste se rabaisser à ça, exposer sa faiblesse. Mais elle n'est rien d'autres que ça. Faible. Et quand la porte claque dans son dos, l'enfer se referme sur elle. Personne ne viendra la sauver, ce soir encore. Elle ne cherche même pas à crier, elle a perdu espoir d'alerter les voisins depuis longtemps, Alaric les a tous à sa botte. Alors, en dernier recourt, prête à tout, elle court jusqu'à sa chambre, claque la porte et tourne la clé, dans l'espoir que ça l'arrêtera, qu'il la laissera tranquille.



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Alaric Fields
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MessageSujet: Re: mêle-toi de tes oignons   mêle-toi de tes oignons EmptyLun 8 Aoû - 16:29

 
Mêle-toi de tes oignons.
  @Lya Fields  & Alaric. 
5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifTes jointures sont blanches autour du volant. Putain, t’as envie de frapper quelque chose ! Elle t’a menti. Tu lui as accordé de la liberté, et voilà comment elle te remercie ? Tu vas lui faire payer. Et bien plus encore. Elle n’est clairement pas prête à ce que tu vas lui faire. Des tonnes d’idées dansent dans tes pensées détraquées, alors que tu continues à rouler bien trop vite. Mais t’en as rien à foutre, t’es flic. Au loin, alors que la rage pulse lourdement dans tes veines, tu entends Lya qui te supplie mais t’en as rien foutre. Ca ne la sauvera pas cette fois-ci, elle a dépassé les bordes. Alors tu te contentes d’accélérer un peu plus, ayant hâte de retrouver votre appartement. Là au moins, tu seras tranquille. Tu n’auras pas besoin de faire gaffe à tes paroles ou tes gestes. Parce que t’as beau avoir plusieurs personnes sous tes ordres, tu ne veux pas risquer qu’un de tes collègues viennent fourrer son nez dans tes affaires. La voix de ta sœur raisonne une nouvelle fois dans l’habitacle de la voiture, alors qu’elle te jure qu’il ne s’est rien passé. Pourtant, tu viens de la voir embrasser la mâchoire de ce BCBG devant le club. Rien qu’à l’idée, t’as qu’une envie : faire demi-tour pour aller le finir ce connard ! Le reste de ses promesses ne te calment pas, bien au contraire. Elle avait promis de rester calme et la preuve que ça n’a pas été le cas. Fort heureusement, tu vois le parking de la résidence qui se dessine, t’empêchant d’aller refaire le portrait à ce mec. Tu gares ta voiture à sa place, comme à ta grande habitude, à la même place. Tu coupes le moteur et sans un mot, tu descends, claquant la porte relativement fort. Allant au coffre, tu attrapes ton sac, avant de le refermer brusquement et d’aller ouvrir à Lya. « Allez sors de là ! » Tu grognes entre tes dents serrées, avant de l’attraper par le poignet pour la trainer derrière toi. Grimpant les marches rapidement, tu ouvres la porte de votre appartement. Tu la laisses entrer, avant de refermer à clefs. Mais tu n’as pas le temps de réagir, qu’elle se met à courir jusqu’à sa chambre. Tu entends parfaitement sa clef qui tourne. Mais tu t’en fous. Retirant ta veste et tes chaussures, tu vas vers sa chambre. Tu frappes sur le montant en bois. « Lya, ouvre. » Mais elle ne le fait pas, comme tu t’en doutais. Tu commences à perdre patience. Serrant ton nez entre ton index et pouce, tu souffles lourdement. « Je compte jusqu’à trois et après, tu le regretteras. » Tu inspires profondément. « Un. » Tes poings se serrent, alors que tu te dis qu’elle va ouvrir. Mais elle ne le fait pas. « Deux. » Tu commences sérieusement à perdre patience. Surtout que tu crèves d’envie de toucher son corps. « Trois. » Tant pis. Tu fous un grand coup de pied dans la porte, craquant le bois. La porte est pétée. Tu enlèves les morceaux de bois et tu t’invites dans la chambre. Elle a tout gagné, elle n’a plus de porte. De ton index, tu montres le montant cassé. « Tout ça, c’est ta faute ! Tu en auras pas de sitôt. » Puis tu t’avances, prédateur, vers elle. Attrapant son cou délicat entre tes doigts, tu la plaques contre le mur. Puis tu laisses ta main descendre sur sa poitrine pour terminer sur sa hanche. Approchant tes lèvres de son oreille, tu susurres, en colère. « Dis-moi tout ce que tu as fait avec ce type. Sans mensonge Lya, je le saurais si tu me mens. »

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Lya Fields
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MessageSujet: Re: mêle-toi de tes oignons   mêle-toi de tes oignons EmptyLun 8 Aoû - 23:28


mêle-toi de tes oignons ★ lya and alaric
(vêtements/tenue/pole dance)

Elle est faible. Elle n'a jamais su s'opposer à son frère. Pourtant, ces derniers jours, elle s'est promis de ne plus l'être, de lui faire entendre raison. De se tirer s'il fallait. Mais de ne plus se laisser prendre dans ses filets. Elle aime son frère. C'est sa chair, son sang. Elle l'aime au delà de tout, mais elle n'arrive plus à accepter ses comportements qui gâchent tout. Elle n'arrive plus à accepter d'être traiter de la sorte. C'est lui qui régit toute sa vie, jusqu'à son métier, ces clients. Elle n'en peut plus. Elle se sent épiée, contrôlée. Et ce n'est d'ailleurs pas qu'une impression, c'est la vérité. Il possède la main sur toute sa vie. C'est lui qui est au pouvoir. Mais ce n'est plus possible, il faut que ça change. Et encore, s'il se contentait de gérer sa vie, ce serait une chose, mais la violence. C'est sans doute cette violence le pire. Cette violence qu'il ne contrôle pas. Cette violence qu'il offre à tout le monde. A Kris, à des inconnus, et à elle. Surtout à elle. Dès que quelque chose ne va pas, il recourt à la violence. C'est devenu comme un crédo dans sa vie. Et elle ne compte plus le nombre de fois où ses mains ont laissé des traces sur sa peau. Ce soir ne fera pas exception. Balancée comme une vulgaire poupée sur le siège passager, elle se recroqueville avec l'espoir d'ainsi pouvoir disparaître. Mais rien à faire, le siège ne l'avalera pas. Bien dommage. Elle n'arrive même plus à retenir les larmes, ni les supplications. Elle espère encore que cela le fera changer d'avis, le fera se calmer. Peine perdu. La vitesse qui s'affiche sur le compteur prouve qu'il ne contrôle plus rien, et qu'elle va en payer les conséquences.

Trop vite. Bien trop vite, ils arrivent à destination. Elle pense une seconde à se retrancher sur son siège, ne pas bouger, mais elle a conscience qu'il l'en délogera de force s'il faut, alors elle fini par quitter son refuge, à se laisser traîner jusqu'à leur appartement. Elle n'a pas envie. Parce qu'elle sait qu'une fois que la porte se sera refermée derrière elle, plus rien ne la protégera de son frère, de sa folie. Malgré tout, dès qu'il la lâche, elle use de se liberté retrouvé pour se précipiter dans sa chambre, claquer la porte et verrouiller à double tour. Elle va se réfugier dans le coin le plus éloigné de sa chambre et déverrouille en vitesse son portable. Mais pour quoi faire ? Qui appeler au secours ? La police. C'est lui. Et quand bien même, elle ne souhaite pas nuire à son frère. Elle a conscience qu'il a besoin d'aide, mais pas d'être foutu derrière les barreaux. Elle préfère encore subir son joug, que le voir là-bas. Non, elle l'aime trop pour ça, elle ne le supporterait pas.

Quand sa voix résonne de l'autre côté de la cloison, elle sursaute. Son ton... Mon dieu son ton est si emprunt de colère. Elle ne l'a jamais vu autant en colère. Et pourtant, elle a déjà vécu ce genre de scène plus d'une fois. « Laisse-moi. S'il te plait, Ric. Laisse-moi, je ne veux pas que tu entres. » Elle essaie, comme si elle pouvait le convaincre de lui foutre la paix. Mais le compte à rebourre est lancé, et la porte se fracasse en même temps que son téléphone sur le sol. Et dans le temps imparti elle n'a pas réussi à se décider à contacter quelqu'un. Elle recule encore contre le mur, comme si elle pouvait se fondre dans celui-ci et lui échapper, mais bien trop vite, il est face à elle, ses mains autour de sa gorge, sur son corps, ses seins, sa hanche. Et elle frissonne. Et elle ne sait même pas pourquoi. Par peur. Oui, c'est une certitude, elle est terrifiée. Mais peut-être aussi d'un désir inavoué. « Ric'... Je... Tu me fais peur. » Elle tente l'instinct du frère. Peut-être que cette fois-ci ça marchera. Mais elle se rend vite compte qu'elle est bloqué, prise au piège entre le corps de son frère, et le mur.

Alors, elle ne réfléchi plus. S'apitoyer ne fonctionne pas. Ca n'a jamais fonctionnait. Ca ne l'a jamais découragé. Alors elle se rappelle de sa décision, de ne plus se laisser faire, de ne plus se laisser contrôler. Alors elle s'efforce de chasser toute sa détresse, toute sa peur, pour devenir pire que lui, le battre à son propre jeu de perversion. « Qu'est-ce que tu veux savoir ? A quel point j'ai pris mon pied ? Tu veux que je t'explique comment il m'a baisé si fort que j'ai adoré ça ? » Elle relève la tête, affronte le regarde de son frère, le défi. C'est la première fois qu'elle agit de cette manière, et elle espère que cette fois-ci il y aura une réaction en conséquence. Même si elle ment, même si rien de tout cela n'est vrai, elle espère l'atteindre. « Que veux-tu savoir d'autre, Ric ? Que je l'ai laissé me prendre contre ces murs tous les soirs après chacun de tes appels ? Que ses mains ont caressé chaque parcelle de mon corps. Dis moi ce que tu veux savoir, et je te le confierais. Je pourrais même te montrer tout ce que je lui ai fais.. » Elle provoque, tente le diable. Elle n'est pas prête aux répercutions, mais ça ne pourra pas être pire que ce qui l'attendait, là, au moins, elle a l'impression de contrôler un minimum les choses, de savoir pourquoi la colère monte dans son regard, déforme ses traits pourtant si angélique, si beau.



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Alaric Fields
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MessageSujet: Re: mêle-toi de tes oignons   mêle-toi de tes oignons EmptyLun 23 Jan - 10:56

 
Mêle-toi de tes oignons.
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5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifQu’elle ose s’enfermer dans sa chambre, te fait rentrer dans une colère sourde. Déjà que tu n’étais pas très calme après l’avoir trouvé en compagnie de ce jeune-homme. Mais là, c’est la goutte de trop. Allant jusqu’à sa porte, tu lui demandes d’ouvrir immédiatement. Sauf que ta sœur ne le veut pas et ça commence sérieusement à te taper sur le système. Tu perds patience et tu lui laisses trois chances. Aussi, tu te mets à compter à voix haute. Sauf qu’une fois le décompte est terminé, la porte est restée toujours close. Alors tu colles un coup de pied violant dans le bois, celui-ci craquant et éclatant partout. Tu enlèves les morceaux et entres dans la pièce sans attendre. Elle a tout gagné, elle n’a plus de porte. Et tu ne comptes pas lui en remettre une de sitôt. Non, elle va payer pour t’avoir contrarié. Fou de colère, tu l’attrapes d’une main par la gorge, alors que l’autre parcourt son corps. T’arrêtant sur sa hanche, tu viens à murmurer à son oreille. Tu veux savoir tout ce que cet homme lui a fait, histoire de le retrouver et de l’étriper. Peur ? Tu te moques de lui faire peur. Ça n’a jamais été un élément qui t’arrête, bien au contraire. Tout le monde est logé à la même enseigne avec toi, encore plus lorsqu’il s’agit de ta sœur. « Je t’ai demandé quelque chose, Lya. » Le son de ta voix est froid. Tu ne vas pas attendre quinze ans qu’elle se mette à parler. Surtout que tu commences à perdre patience. Elle te regarde avec défi, et tu sens au plus profond de toi que la suite ne va pas te plaire. Ton visage reste neutre, alors que ta colère enfle dans les veines. L’idée même que ce type puisse poser les mains sur la brune, ça te rend barge. Pire que ça même. Elle est à toi, uniquement à toi ! Elle continue et tu sais qu’elle ne fait que ça par provocation. Mais tu n’as jamais été tendre. Et tu ne le seras sûrement jamais. Alors quand elle a fini, un rictus sarcastique s’affiche sur tes lèvres. Elle veut jouer à un jeu, tu vas jouer. Mais elle vient de lancer une partie dont elle ignore les règles. La relâchant, te moquant qu’elle s’écrase sur le sol, tu te recules de quelques pas, croisant tes bras sur ton torse. « Très bien. Très bien. » Enlevant tes chaussures pour être plus à l’aise, tu vas jusqu’à son lit. Prenant place sur ce dernier, tu sors ton arme que tu portes encore. La pointant avec, tu enlèves le cran de sécurité. T’es parfaitement à l’aise, calme même. « Vu que tu l’as si gentiment proposé, tu vas me montrer tout ce que tu lui as fait. Et n’oublie rien. Aucun détail. Car une fois qu’on en aura fini ici, je le retrouverai et il me dira tout ce que tu lui as fait. Et tout ce qu’il aurait voulu que tu lui fasses. » Parce que tu te doutes qu’il ne s’est pas passé grand-chose. Même si clairement ce type aurait aimé bien plus. Bougeant légèrement ton arme, tu ne veux pas perdre de temps. « Dépêche-toi Lya, ou pour te motiver, je te ramène son corps mutilé. A toi de voir. » Et elle te connaît. Elle sait que tu n’as qu’une parole. Et que tu pourras le ramener mutilé si elle ne t’obéie pas.

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Lya Fields
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MessageSujet: Re: mêle-toi de tes oignons   mêle-toi de tes oignons EmptyMar 24 Jan - 16:17


mêle-toi de tes oignons ★ lya and alaric
(vêtements/tenue/pole dance)

Elle n’arrive plus à savoir de quelle manière se comporter avec son frère. Être à ses ordres ne fonctionne pas. Être libre ne fonctionne pas. La pitié ne fonctionne pas. Pas plus que la détermination, la colère, ou la provocation. Quoi qu’elle fasse, elle fini toujours face à un mur. Elle devrait être en colère contre lui. La manière dont il la traite, ce n'est pas ça, être frère et sœur. Malgré ça, elle n’arrive pas à prendre de décision radicale. Elle n’arrive pas à se résoudre à partir, à fuir. Parce que c’est son frère, elle ne peut pas l’abandonner. Elle aimerait juste que les choses s’apaisent. Comprendre ce qui le pousse à se comporter de la sorte. Mais y’à ce mur. Encore et toujours.

Elle avait l’espoir que la confrontation porte ses fruits. Que peut-être, si elle admettait toutes ces choses – qu’elle n’a pourtant jamais ne serait qu’eu l’idée de faire – il serait jaloux. Que peut-être, il changerait en conséquent. Mais c’est son visage à lui, qui trahi sa colère. Et elle comprend que ça n’a pas fonctionnait. Lorsqu’il la relâche, elle heurte avec violence le sol. Elle réussi à amortir le gris de la chute, mais elle sait qu’elle n’échappera pas à quelques bleues – encore. Lorsqu’il la pointe de son arme, elle se fige. Il n’avait encore jamais passé ce cap. Les mots, les coups. Elle avait même réussi à se faire à toutes ces choses, mais ça. Là, elle était face à une menace direct. Un mauvais mouvement de son frère et la balle pourrait mettre fin à sa vie. Là, il avait passé un nouveau niveau. Alors elle se méfie. Ses yeux s’embue, parce que la menace est réelle. Qu’elle le sait capable de tirer. La gorge nouée, elle avance vers lui, s’approche en douceur, sans quitter l’arme des yeux. Elle ignore comment elle va pouvoir faire quoi que ce soit avec cette arme braquée sur elle. Quand elle croise son regard, ça l’inquiète. Parce qu’elle ne décèle plus cette lueur de désire qu’elle découvre d’habitude lorsque les choses deviennent plus intime. Elle ferme les yeux, à peine quelques secondes, juste de quoi se ressaisir, passer outre la menace qui passe sur sa vie. Alors, elle s’efforce de s’imaginer que cette arme n’est pas réelle. Que ce n’est qu’une putain d’illusion.

Elle grimpe sur le matelas, ravale ses derniers doutes, et se promet de faire ce qu’il faut pour qu’il ne lui arrive rien. Ni à elle, ni à Kris. Avec une lenteur exagérée, elle glisse une main sous son pull, venant caresser du bout des doigts la peau tendu de son ventre, son corps parfait. Ses doigts gelés par la peur donnent un contraste étrange avec son corps chaud. Elle aurait presque envie de s’y blottir. D’oublier ce qu’il se passe. D’oublier qu’il se comporte comme le pire des connards. D’oublier qu’elle a peur de lui. Mais elle ne peut pas. Parce que cette peur pèse sur son estomac. Reléguant toutes ces informations au second plan, elle se penche, frotte son corps contre celui de son frère. Elle dépose de chaste baiser le long de sa gorge, de sa mâchoire. « Peut-être que si je me montre sage, que je te laisse faire de moi ce que tu veux… on pourrait oublier cette histoire ? » Elle force sa voix à être le plus sensuelle possible, alors que sa main glisse jusque dans le box de son frère. « De toute façon, ce n’est pas un très bon coup. Il n’est même pas capable de me faire jouir… Pas comme toi » Mensonge, encore, mais rabaisser la concurrence ça fonctionne toujours. Et puis, ce n’est qu’un demi mensonge. Certes, elle ignore les véritables capacités de Kris puisqu’il ne s’est jamais rien passé, mais le reste. Ce n’est que pur vérité. Et c’est bien ce qui la débecte. Il a beau être violent, mauvais. Il a beau être son frère. L’obliger. Il réussi toujours à lui conférer du plaisir. Et elle déteste cette partie d’elle qui aime ça. Qui prend son pied dans ces moments charnels avec son frère. Pour l’empêcher de répondre de suite, elle plaque ses lèvres contre les siennes, forçant la barrière de ses dents pour partir à la rencontre de celle de son frère. Chaque geste n’est que pur sensualité. Elle s’efforcé de faire grimper le désir de son frère pour l’obliger à penser à autre chose. Et elle se rend bien compte qu’elle se fait prendre à son propre jeu. Que son corps en redemande. Qu’il cherche cette proximité avec son frère. Plus d’une fois, elle s’est cru folle. C’était la seule explication avec laquelle elle pouvait concevoir de désirer son bourreau de frère. Mais à chaque fois, le désir revient. Violent. Éclatant.

Elle délaisse sa bouche pour descendre le long de son corps. Elle profite de son avancée pour descendre son pantalon et son boxer le long des jambes de son frère. Puis, ses lèvres se referment autour de son sexe. Une fois. Deux fois. Trois fois. Trop pour qu’elle puisse continuer à compter. Suffisamment pour qu’elle sente la respiration d’Alaric s’accélérer. Au moins, il n’est pas indifférent à ses caresses. Elle en profite pour retirer ses propres fringues. Elle retire les couches de protections, se retrouvant dans ses sous-vêtements qu’elle déteste, ceux que lui fournisse le club. Elle les retire aussi sec. Elle préfère encore offrir son corps nu au regard acéré de son frère.

Nue, elle grimpe à califourchon sur son frère. Il n’existe plus aucune barrière entre eux. D’un simple mouvement, il pourrait prendre son corps. Elle en est consciente. Comme elle est consciente de son regard. Et aussi de son propre corps tendu vers lui, prit d’un désir soudain pour cet homme. Elle avale sa salive, penche son visage vers le sien pour murmurer contre ses lèvres. « Pourquoi ? Pourquoi tu me laisses faire ça ? » Elle se doute que la question n’a pas de véritable sens à ses yeux alors elle ajoute. « Sur scène. Pourquoi tu me forces à leurs offrir la vision de mon corps. Alors que tu ne supportes pas ça. » Elle n’a jamais connu d’homme aussi jaloux que lui. Et pourtant, il continue à l’envoyer là-bas, nuit après nuit. Alors certes, il ne se passe jamais rien de plus que des danses au summum de la sensualité, et de l’érotisme. Mais c’est déjà trop. Trop par rapport à ce qu’elle accepte d’offrir à des inconnus.


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Alaric Fields
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MessageSujet: Re: mêle-toi de tes oignons   mêle-toi de tes oignons EmptySam 11 Mar - 12:09

 
Mêle-toi de tes oignons.
  @Lya Fields  & Alaric. 
5aa6d384177bf417193f97b68d633e2917b7d580.gifT’es en colère. Haine qui coule dans tes veines à l’idée qu’elle ait pu embrasser ce type. Vu la façon dont elle se comporte, tu te doutes parfaitement qu’il ne s’est pas passé grand-chose entre eux. Sûrement que lui aurait aimé bien plus. Mais tu connais ta sœur, tu sais qu’il n’y a que toi qui peux la faire vibrer totalement. Entièrement. Aussi, grimpant sur son lit après avoir retiré tes chaussures, tu pointes ton arme dans sa direction. Et tu ordonnes, exiges. Elle veut jouer, tu es prêt à relever le défi. Mais c’est elle qui perdra, et non l’inverse. Mais voyant qu’elle met du temps à réagir, tu en viens à menacer ce pauvre type. Et Lya te connaît assez pour savoir que si elle n’agit pas, tu seras tout à fait capable de mutiler le corps de l’homme et de lui ramener. La balle est dans son camp à voir ce qu’elle veut faire maintenant.

Fort heureusement, elle finit par se décider. Tu la vois grimper sur le lit mais ne dis rien. A voir ce qu’elle va donc faire. Tu sens les doigts froids de ta sœur contre ton abdomen, alors qu’un frisson te remonte le long de la colonne vertébrale. Délicieuse caresse, avant qu’elle ne vienne frotter son corps contre le tien. Les lèvres de Lya sur ton cou, douceur vraiment agréable. Mais pour l’instant, tu ne dis rien, n’effectues aucun geste. Tu veux attendre de voir jusqu’où ça va, avant de réagir et d’imposer ton propre rythme. Ta propre envie. Elle embrasse ta mâchoire, tente de t’amadouer. Tu soupires lourdement, ne perdant pas le nord pour autant. « On verra. » Plus un grognement mécontent qu’une véritable réponse sympathique. Mais qu’elle utilise le sexe pour te faire plier, tu as du mal à l’accepter. Sa main glisse vers ton boxer, venant se rapprocher dangereusement de ta virilité. Elle reprend et tu ne peux que serrer ta main avec un peu plus de force contre ton arme. « Ne me parle pas de lui, ça me donne envie de lui coller une balle entre les deux yeux. » Qu’il ait couché avec elle ou non. Rien que le fait qu’il s’intéresse à ta sœur te rend fou. Elle est à toi, uniquement à toi. C’est ton père qui t’a fait devenir aussi barré, mais tu n’y peux rien, c’est ancré en toi maintenant. Tu t’apprêtes à reprendre mais elle colle ses lèvres contre les tiennes. Putain, il n’y a qu’elle qui sait t’embrasser et te faire vibrer ! Tu lui rends son baiser, ta langue dansant contre la sienne. Tu sens l’affut de sang dans ton membre, alors que tu n’as plus qu’une envie : la faire tienne et hurler ton nom.

Lya retire ton pantalon et ton caleçon. La regardant faire, tu soupires en sentant ses lèvres autour de ta virilité. Même si tu es du genre à garder toujours le contrôle, lui laisser un peu de liberté de temps en temps dans votre rapport, ce n’est pas si mal. Tu profites de ce moment, avant de glisser ta main libre dans ses cheveux, pour lui imposer un rythme un peu plus rapide. Ta respiration s’accélère, alors que le plaisir enfle dans tes veines. Remettant le cran de sureté, tu déposes ton arme sur la table de chevet. Tu sais qu’elle n’y touchera pas, ne sachant pas s’en servir. Et au pire, tu auras le temps de réagir avant, car tu ne te laisses jamais aller pleinement, totalement. Tu la sens qui s’éloigne afin de retirer ses propres vêtements. Ton regard parcourt ses courbes, alors que tu ne peux que la désirer davantage. Elle est tellement belle ! Elle grimpe sur toi, et tu pourrais la prendre immédiatement. Ce n’est d’ailleurs pas l’envie qui te manque, bien au contraire. Elle murmure contre tes lèvres. « Parce que t’es bandante sur scène. » Et en réalité, ça te permet aussi de toujours savoir où elle est. Glissant les mains sous ses fesses pour la soulever, tu la fais glisser lentement sur ta virilité, profitant de la sensation que cela te procure. Puis tu viens à embrasser sa poitrine, mordillant son téton au passage, avant d’imposer un mouvement léger des hanches. Ta main se referme autour de ses cheveux, la forçant à pencher la tête vers toi, alors que tes lèvres remontent contre sa gorge. « Tu es à moi Lya, ne l’oublie jamais. » Ta voix est possessive. Et tu accélères la cadence comme pour la marquer au plus profond d’elle-même dans un geste symbolique.

(c) Dandelion
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Lya Fields
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MessageSujet: Re: mêle-toi de tes oignons   mêle-toi de tes oignons EmptyMar 23 Mai - 15:57


mêle-toi de tes oignons ★ lya and alaric
(vêtements/tenue/pole dance)

Son corps se languie d’un désir qu’elle préférerait ne pas ressentir. Elle s’est beaucoup questionner à ce sujet, essayant de comprendre. Parfois, elle s’est demandé si ce désir ne viendrait pas de son interdiction de fréquenter d’autres hommes.. Peut-être que si, comme chaque femme normale, elle pouvait aller voir ailleurs, flâner, peut-être qu’elle ne le désirerait pas lui… Mais comme elle ne le connaît que lui, n’a eu d’expérience qu’avec lui, le désir ne s'impose-t-il pas de lui-même au bout d’un moment ? En fin de compte, elle avait fini de se torturer avec ce genre de réflexion. Parfois, elle oubliait même de luter. Parce qu’après tout, à quoi bon ? L’histoire se finissait toujours de la même manière : elle et lui. Lui en elle. Et, bien contre son gré, elle adorait ça : son corps adorait ça.

C’est ce qui l’attend ce soir aussi. C’est ce qui l’attend, dans quelques minutes à peine. Son souffle étatique répond à celui de son frère. Ils sont tous les deux au bord du gouffre, à se désirer. Elle le désire, aussi fort qu’elle le déteste. Pourtant, elle se frotte contre lui, le désire en elle. Bandante. Oui, sans doute. Elle a du mal à gérer son estime d’elle-même alors qu’elle offre son corps aux yeux d’inconnus. La beauté est erroné, tous ces porcs ne désirent que la baiser salement, lui faire mal. « Je déteste ça.. Je déteste m’exposer à leurs regards. Y’a rien de pire que leurs regards animal qui promettent des horreurs. » Même lui, ne l’effraie pas autant. Même lui, ne la révulse pas de la même manière.

Lorsqu’elle relève la tête, son regard croise celui de son frère, et, avec une lenteur exaspérante, il s’enfonce en elle, centimètre par centimètre. Ses lèvres s'entrouvrent comme pour expulser un air qui reste pourtant bloqué dans sa gorge. C’est finalement un gémissement rauque qui lui échappe alors qu’il est entièrement en elle, et qu’il dévore sa poitrine. Petit à petit, les gestes de sont frères deviennent plus violents, plus sec. Chacun de ses mots claquent, et cette possession maladive envers elle la pousse à ressentir un nouvel élan de colère. Si c’était le cas, il ne la livrerait pas en charpie de cette manière. Il ne laisserait même pas un homme poser un regard. Elle rit. Mais elle rit jaune. « Ce n’est que des paroles. Si c’était la vérité, tu ne ferais pas ça. Tu ne me laisserais pas avec eux. Tu ne me vendrais pas comme ça. » Parce qu’au fond, peu importe, sexe ou non, il retire bien des avantages des services qu’elle offre sur scène. Elle s’accroche à ses épaules, alors que les mouvements de sont frères se font plus rude en elle. Ses ongles se plantent dans la peau d’Alaric, et elle se fiche bien de laisser des traces. Bien au contraire. Soudain, elle a envie de lui faire mal, très mal. « Prouve-le, si c’est vrai. Arrête de me faire subir ça. » D’une main, elle saisi ses cheveux, le pousse à croiser son regard. Elle s’arrête, interrompt ses mouvements pour le priver du désir qui grimpe en chacun d’eux. « Je préférerais encore que tu m’enfermes ici plutôt que subir leurs mots de dépravés. » Elle s’abaisse de nouveau pour bien marquer sa provocation. Puis elle fond sur ses lèvres. Ce n’est pas doux. Ce n’est pas amoureux. C’est vulgaire, violent, possessif. C’est sombre. C’est tout ce qui existe de mal au plus profond d’elle. Elle mêle sa langue à la sienne, la mord. Glisse vers sa gorge, et d’une pression plante ses dents dans son épaule. Pour lui faire mal, peut-être aussi pour laisser sa marque.


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mêle-toi de tes oignons

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