Le patron du patron de mon patron [Syaoran/cassandre]
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Cassandre Melnik
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| | | |  Sujet: Le patron du patron de mon patron [Syaoran/cassandre] Sam 9 Sep - 17:01 | |
| le patron du patron de mon patron. Syaoran & Cassandre.  Cassandre était en retard. C’était la première fois que cela lui arrivait depuis qu’elle travaillait chez NR Entreprise, une célèbre maison d’édition. Elle y avait posté lors de sa dernière année d’étude, espérant obtenir un stage. Et finalement, ayant obtenu une très bonne note à son diplôme, elle avait décroché un poste. Mais ce n’était pas pour lui déplaire. Ainsi, son salaire lui permettait de pouvoir rembourser son prêt étudiant ainsi que celui qu’elle avait dû contracter pour acheter une voiture afin de pouvoir aller travailler. Mais comme Cassandre n’était pas réputée pour sa chance légendaire, sa voiture était tombée en panne et il y avait une belle somme à sortir pour la faire réparer. C’était donc pour cette raison que la brune se retrouve à courir à travers les rues de la ville. Il ne faut surtout pas qu’elle loupe son métro pour ne pas aggraver son retard.
Sortant du métro, elle essaye de courir pour arriver le plus rapidement possible. Surtout qu’aujourd’hui, il y a le patron du patron de son patron, qui doit venir. Voyant qu’elle n’arrive pas à courir avec ses chaussures, Cassandre retirer ses escarpins qu’elle a emprunté à sa meilleure amie, les prenant en main pour se mettre à courir. Il lui faut une dizaine de minutes pour rejoindre l’entreprise. Entrant, elle salue l’agent de sécurité avant de s’engouffrer dans l’ascenseur, bousculant un des deux hommes qui se trouvent à l’intérieur. « Pardon ! » Elle ne fait pas plus attention aux deux hommes, étant surtout anxieuse de son retard. Cassandre préfère se baisser pour remettre ses chaussures, ne faisant pas attention à sa robe rouge qui remonte le long de ses cuisses et qui la met en valeur, encore un prêt de sa meilleure amie. En se redressant, elle s’en rend compte. Aussi, elle tire légèrement dessus, maudissant Ana de lui avoir prêté un tel tissu. Mais sa meilleure amie était persuadée que ça pourrait lui faire grimper des échelons et que c’était beaucoup plus professionnel. Détachant ses cheveux, elle secoue ses mèches brunes en passant une main dedans, pour se redonner bonne allure.
L’ascenseur sonne enfin et les portes s’ouvrent. Sortant, elle se précipite vers son bureau. Elle dépose ses affaires rapidement, essuie son rouge à lèvres carmin qui a légèrement bavé, avant de retrouver le reste de l’équipe dans la salle de réunion. Jax, son collègue, la voit arriver et lui montre sa montre. « Alors Melnik, t’es en retard ? C’est bien la première fois. T’as choisi ta journée ! » Elle lui tire la langue et s’installe sur la chaise à côté de lui qu’il lui a gardé. Elle sourit, alors qu’elle entend les murmures du premier rang disant que l’homme du jour arrive. Elle est vraiment arrivée pile à l’heure. Se redressant, elle a hâte de savoir pourquoi l’homme s’est déplacé alors que personne ne l’a jamais vu.
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Syaoran Zoyns
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| | | | | Sujet: Re: Le patron du patron de mon patron [Syaoran/cassandre] Mer 13 Sep - 16:17 | |
| le patron du patron de mon patron. Syaoran & Cassandre. Ce que Syaoran apprécie, c'est le contrôle. Il n'en demande pas beaucoup, juste que les choses puissent être carrées, rangées, en ordre. Afin de pouvoir obtenir toutes les réponses auxquelles ils pourraient se poser. Il ignore de quelle manière tourner les choses ici avant qu'il ne rachète la boite, mais son prédécesseur manquait visiblement de responsabilité. Après plusieurs mois à avoir gérées les choses de loin, il s'est enfin décidé à se déplacer histoire de remettre certaine chose en ordre. Il faut qu'ils comprennent que peu importe la manière qu'il avait de travailler par le passé avec leur ancien patron, lui sera intransigeant. Il ne laissera pas passer la moindre erreur. Contrôle Freak. C'est ainsi qu'on le définie. Pour peu qu'on fasse ce qu'il demande, il se fiche bien de savoir ce qu'on chuchote dans son dos.
Il se glisse dans l'ascenseur, et alors que les portes allaient se refermer, une petite brune se glisse entre elles, ne manquant pas de le bousculer dans la précipitation. Bien qu'elle s'excuse, les poids de Syaoran se contracte. Elle aurait au moins pu faire attention. Alors qu'il se retourne vers elle, pour lui faire remarquer son indélicatesse, il est pris de cours par la vue qu'il lui offre. Alors qu'elle est penchée pour remettre ses chaussures au pied - bordel mais pourquoi elle ne les avait pas au pied, comme tout le monde - sa robe remonte le long de ses jambes, dévoilant plus de peau qu'il n'est convenable. Et s'il pourrait se contenter de détourner le regard pour lui laisser l'intimité de se rhabiller comme il faut, il ne se retient pas de loucher sur sa peau. La réaction de son corps est immédiat. Le sang boue dans ses veines, et s'ils avaient été seuls, aucun doute qu'il aurait attrapé sa crinière brune dans ses mains, et l'aurait plaquer contre la cabine d'ascenseur pour la posséder dans la minute. Outre sa maniaquerie pour le contrôle, c'est aussi un homme d'une extrême violence dans l'acte sexuel. Il n'est jamais aller à l'encontre de l'envie d'une femme. Il respecte le consentement. Une femme qui dit non, c'est non. En revanche, il ne connait pas la délicatesse, l'amour, la tendresse. Pour lui, l'acte est un besoin. Un besoin de défouler ses émotions. Peut-être une dégradation du corps de l'autre. Il n'a jamais voulu creuser plus loin dans sa réflexion de crainte de ce qu'il allait découvrir.
C'est lorsqu'elle se redresse, relâche ces cheveux, et qu'il est à deux doigts de la bousculer pour la faire s'agenouiller, qu'il se rend compte qu'il ne l'a toujours pas lâché du regard. Il se détourne avant de commettre une connerie. Les portes s'ouvre, et la brunette fille à une vitesse admirable. Secouant la tête, il chasse les images bien trop hot de la jeune femme, et tâche de se concentrer de nouveau sur sa mission du jour.
Du moins, ça, c'est jusqu'à ce qu'il finisse par passer les portes de la salle de réunion, presque cinq minutes plus tard avec le patron des locaux, et qu'il découvre la même brunette à la robe rouge assise autour de la table. Putain, il ne manquait plus que ça. Il se racle la gorge et détourne le regard avant que quelqu'un saisisse son trouble. « Bien, je ne vais pas vous retenir très longtemps. Je n'ai pas de temps à perdre, et vous avez sans doute bien du travail sur la planche. » Il passe un doigt pour élargir sa cravate qui lui noue la gorge alors que son regard retombe sur la jeune femme. « Je pense que si vous êtes ici, c'est que vous savez tous qui je suis. Syaoran Zoyns. J'ai racheté la boite il y a quelques mois, et autant vous dire que les résultats ne sont pas satisfaisant. » Le silence règne dans la salle, au point qu'on pourrait entendre une mouche voler. Bien, personne ne remet en cause son autorité. « Je vais rester sur place et travailler depuis ici pour les prochaines semaines, et je vais en profiter pour vous recevoir tous un par un. » Il fait en sorte de croiser le regard de tout le monde, et il s'arrête plus que nécessaire sur la brune. « Cette équipe a besoin de changement, de renouveau. Je vais faire du tri, alors pouvez moi que vous avez votre place ici et que je peux compter sur vous. » Ses mots ne sont pas un hasard, il remet en cause le rôle et la place de chacun afin qu'il se dépasse. Et il n'aura pas la moindre hésitation à virer toute personne ne faisant pas l'affaire. « Bien, vous pouvez disposer. Vous. La demoiselle à la robe rouge. Je vous veux dans mon bureau dans cinq minutes. » Sur ces mots, il se lève, et prend le chemin vers l'un des bureaux qui a été vidé afin qu'il puisse l'utiliser dans les prochaines semaines. Il laisse la porte entrouverte sachant très bien qu'elle ne va pas tarder à en passer la porte. Il s'approche de l'immense baie vitrée pour observer le panorama. Moche. Vraiment rien de glorieux. Il entend le bruit de ses talons sur le tapis mais ne se retourne pas. « J'espère que vous ne vous êtes pas blessé les pieds. Ce n'est pas très prudent de marcher pieds nu. » Il ne peut pas s'empêcher de lui faire remarquer que c'était lui dans l'ascenseur, et qu'il n'a pas loupé son entrée fracassante. « Quel est votre nom ? » Il se retourne enfin, mais il se rend aussitôt compte que se retrouver dans un lieu clos seul avec elle n'est pas la meilleure des idées. « La prochaine fois, tâchez de partir plus tôt. Les bousculades dans l'ascenseur ça fait plutôt mauvais genre. »
(c) Dandelion |
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Cassandre Melnik
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| | | | | Sujet: Re: Le patron du patron de mon patron [Syaoran/cassandre] Mer 13 Sep - 16:49 | |
| le patron du patron de mon patron. Syaoran & Cassandre. Jamais Cassandre n’est en retard. Mais en effet, Jax a raison. Elle n’a pas choisi la bonne journée, alors que le nouveau directeur de la maison d’édition doit venir. Prenant place à côté de son collègue, elle se tourne comme tout le monde vers la porte. L’homme qui y rentre est juste … Elle n’a même pas les mots pour le décrire. Elle sent juste son cœur qui s’accélère. Ses poils qui se hérissent alors que clairement, il en impose. Cassandre le regarde s’avancer, alors qu’il s’apprête à prendre la parole. Sa manière de commencer montre qu’il sait que c’est lui le directeur. Mais quand il passe un doigt pour dénouer sa cravate, la brune a du mal à avaler sa salive. Et là, le silence se fait totalement, alors qu’il annonce que les résultats ne sont pas satisfaisants. C’est bien la première fois qu’elle entend ça, depuis qu’elle travaille ici. Les recevoir ? Tournant légèrement la tête, Cassandre peut voir que chacun de ses collègues se tortille sur son siège. En même temps, s’il reste ici, c’est pour imposer sa façon de voir. Et il continue, annonçant qu’il va faire un tri ! Là, c’est la stupéfaction pour tout le monde. Même pour Cassandre. Elle est une des plus récentes dans la boîte … Comment pourrait-elle rivaliser ? Et le pire, c’est quand elle sent le regard de son patron sur elle. Il l’électrise. Il la fait trembler. Il veut la voir en premier ? Pourquoi ? Syaoran Zoyns se lève pour quitter la pièce, sous un brouhaha d’inquiétude. Cassandre reçoit un coup de coude dans les côtes, de la part de Jax. « T’es dans la merde Melnik. Il doit savoir que t’as été en retard. T’es virée, c’est sûr ! Putain il va te virer ! » Putain, mais comment elle va faire ? Elle a ses prêts à rembourser, et sa voiture à faire réparer. Se levant les jambes tremblantes, Cassandre se force pourtant à avancer dans le couloir. On lui souhaite bon courage, si bien qu’elle a l’impression de partir à l’échafaud. Une fois devant la porte, elle inspire profondément pour se donner du courage. Puis elle frappe à la porte avant d’entrer et de refermer derrière elle. Quand son patron reprend la parole, elle rougit complètement. Merde ! Double merde même ! C’était lui dans l’ascenseur. C’est sûr qu’elle est virée. « Je … Hum … Non ça va. » Bien sûr, elle a quelques coupures, mais elle ne va pas l’avouer à son patron. Déjà qu’elle l’a bousculé dans l’ascenseur ! Avalant difficilement sa salive, les joues toujours rouges, elle se force à répondre. Elle est persuadée qu’il va lui dire qu’elle est virée. « Cassandre. Cassandre Melnik. » Elle murmure d’une petite voix, intimidée. Et là, il vient à lui confirmer ce qu’elle craignait. Elle baisse le regard, fixant le tapis, avant de s’excuser. « Je m’excuse sincèrement, Monsieur Zoyns. De vous avoir bousculé et d’être arrivée en retard. Je … Cela ne devrait plus reproduire. J’ai un problème de voiture et j’ai dû prendre le métro … » Comme s’il en avait quelque chose à faire. Elle inspire profondément, les mains tremblantes, avant de relever le regard vers l’homme. Elle plante ses yeux dans les siens, avant de reprendre la parole. « Vous allez me virer c’est cela ? Je vous en prie … J’ai vraiment besoin de ce travail, plus que vous ne pouvez le penser. Je ferais plus d’heure, je ferais tout ce qu’il faut pour garder mon emploi … » Elle est prête à tout. Elle en a besoin pour survivre. Aussi, Cassandre se moque de le supplier ainsi, mais elle pense à ses deux prêts et à sa voiture en panne.
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Syaoran Zoyns
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| | | | | Sujet: Re: Le patron du patron de mon patron [Syaoran/cassandre] Mer 13 Sep - 18:34 | |
| le patron du patron de mon patron. Syaoran & Cassandre. Faire flipper son personnel ne l’amuse pas. Mais par expérience, il n’est pas sans savoir que c’est une méthode efficace. Lorsqu’il existe une concurrence, une peur de perdre son emploi, les langues se délient. Et c’est le meilleur moyen d’en apprendre plus sur ce qui ne tourne pas rond ici. Et s’il est là, c’est justement pour ça. Parce que certaines informations sont remontés à ses oreilles. Des on dit. Qu’il espère ne pas voir se concrétiser, mais auquel il compte bien remédier si tel est le cas. Il ne s’étend pas plus que nécessaire lors de la réunion commune. Il déteste perdre son temps, et une réunion avec tout le personnel ne lui apportera rien. S’il a convoqué tout le monde, c’était juste pour faire le point, que tout le monde sache à quoi s’attendre. Pour la suite, il compte avancer au cas par cas, et peut-être faire des réunions d’avantage ciblé par secteur. Après avoir convoqué sa première victime – désirable et intéressante victime – il quitte la salle pour prendre la direction de son bureau.
Enfin dans sa bulle – il n’aime vraiment pas être entouré de trop de monde, préférait de loin la solitude de son bureau – il tente d’échapper aux images inconvenantes qui se frayent un chemin sous ses paupières. Malgré ses efforts, la silhouette de la brunette se fixe dans sa mémoire, et il s’imagine déjà la déshabiller et la prendre ici même, sur son bureau. Envie qui ne s’apaise pas lorsqu’il entend la jeune femme pénétrer dans son bureau et refermer la porte derrière elle, les enfermant seul et hors des regards curieux. Il sent son dos se tendre face aux envies contradictoires qui le secouent. Alors qu’elle s’explique sur son « retard » il s’approche d’elle. Au lieu de s’asseoir derrière son bureau, il s'appuie sur le devant, tout proche d’elle. Il tressaille à son appellation. Le simple fait d’entendre son nom de famille dans sa bouche ne lui donne que davantage envie de la faire sienne, de la faire gémir son nom, encore et encore. « Prenez place, Mlle Melnik. » Il lui indique la chaise juste à côté qui fait face au bureau. « Ne gaspillez pas votre salive. Je me moque bien du pourquoi et du comment. Faites en sorte que cela ne se reproduise plus. » Il l’observe s’installer, et débiter un flot de paroles incongrus avec l’espoir qu’il ne la mette pas à la porte. C’est exactement le genre de réaction qu’il attendait. La peur. Et quand les gens ont peur, ils sont prêt à n’importe quoi pour sauver leur place. « Votre dévouement est remarquable, Mlle Melnik. Je dois admettre que je vais me montrer intransigeant dans les semaines à venir. Je ne ferais de cadeaux à personne. Et j’en attends beaucoup de cette équipe. » Il est cruel, parce qu’il laisse planer le doute, ne la rassure pas quand à son sort. « J’ai cru comprendre que vous étiez la petite dernière de l’équipe ? A quand remonte votre arrivée ? » Toutes ses infos, il les possède déjà, mais c’est un test afin de savoir si elle se montre honnête avec lui.
« Je vais être honnête avec vous, Mlle Melnik. Je n’ai entendu que du bien de votre travail. Si ce n’est le petit écart de ce matin – que je peux passer sous silence – je n’ai aucune raison de vous virer. » Si ce n’est qu’en la mettant à la porte, il aurait moins de remord à la foutre dans son lit, et à la jeter le lendemain matin. Parce qu’il ne s’engage pas. Jamais. « Mais vous êtes jeune, vous arrivez à peine dans cette entreprise, et sans vous mentir, vous allez être une cible idéale pour toutes les personnes qui vont vouloir sauver leur peau. » Le monde du travail est sans pitié. Et il ne doute pas que le reste du personnel balancera le nom de la demoiselle dès qu’ils en auront l’occasion. « Quand à moi, votre regard neuf m’intéresse. Avec le temps, on cesse de faire attention. Alors que vous, vous cherchez encore vos bases, vous vous intéressez. » Il laisse la jeune femme réfléchir, la laisse comprendre où il souhaite la mener. « Ce n’est pas une place facile, ni une demande anodine. J’ai besoin de vous pour remettre les choses à leur place ici. Ce ne sera pas facile pour vous, je ne vous le cache pas puisqu’il faudra être honnête avec moi concernant vos collègues. Mais si vous acceptez de m’aider, je m’engage à vous garder votre place. Nous pourrons même envisager une promotion si votre aide s’avère indispensable à la poursuite de ce projet. Qu’en dites-vous ? » Son regard glisse bien malgré lui vers le décolleté de la brunette. Il se retient de lui proposer un quatre contact, bien plus hot et intime. Et ce sera un challenge de tous les jours de ne pas fondre sur ses lèvres rouges qu’il rêve de mordre.
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Cassandre Melnik
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| | | | | Sujet: Re: Le patron du patron de mon patron [Syaoran/cassandre] Mer 13 Sep - 19:28 | |
| le patron du patron de mon patron. Syaoran & Cassandre. Cassandre se dit qu’il va vouloir la virer alors que cela fait peu de temps qu’elle est dans la boîte. Elle est arrivée en dernière vu qu’ils l’ont engagé après son stage. Restant bien droite, malgré ses joues rouges, elle se force à ne pas reculer lorsqu’elle le voit bouger pour venir s’appuyer contre le bureau. Avançant, elle prend place sur la chaise qui lui indique. Elle croise ses chevilles, et tire légèrement sur la robe rouge qui est remontée le long de ses cuisses. Qu’est-ce qu’elle déteste Ana de lui avoir dit de mettre une telle tenue ! Cassandre rougit alors qu’il se fiche de ses excuses. Aussi, prenant un peu peur, elle se met à parler. Elle a tellement besoin de ce poste ! Elle le supplie de ne pas la virer, qu’elle est prête à tout pour garder son poste. Hochant la tête, elle est prête à ce qu’il se montre intransigeant. Ça se voit que c’est un homme qui garde une main de fer sur tout ce qu’il entreprend. Hochant la tête, Cassandre calcule rapidement. Elle ne veut pas se tromper, si c’est une question piège. « Je suis arrivée le 4 janvier, il y a tout juste un an. Avant, j’étais en stage dans l’entreprise pendant 9 mois … » Elle espère qu’il est satisfait de sa réponse. Elle ne veut pas que cela rajoute sur son idée de lui indiquer la porte. Mais quand son patron reprend, Cassandre pousse un long soupir de soulagement. Il est prêt à passer sous silence son retard du matin. Comment pourrait-elle le remercier ? Jouant nerveusement avec ses doigts, elle sait qu’il a raison. Même Jax n’hésitera pas à la balancer pour tout et rien, pour garder son poste. Quand l’homme continue, elle lève un sourcil. Elle a du mal à voir ce qu’elle, toute jeune dans l’équipe, peut apporter à une telle personne. Elle ne sait pas quoi faire, quoi dire. Mais quand il vient à parler de promotion, elle sent son cœur qui s’accélère. Le regardant, elle se demande s’il est sérieux. « Une promotion ? Financière vous voulez dire ? Vous le pensez sérieusement ? » Cela pourrait tellement l’aider ! Lui permettre de manger autre chose que des pâtes. Prenant quelques secondes, elle soupire. « Vous voulez que je … je vous raconte ce qui se passe avec mes collègues c’est bien ça ? Mais à quel niveau ? » Elle n’aime pas lancer les rumeurs ni les commérages. Mais si ça peut lui permettre de vivre … Passant une main dans ses mèches brunes, elle plante son regard sérieux dans le sien. « Donc pour garder ma place, vous voulez que je sois vos yeux si je le comprends bien ? Et … Quand est-ce que je devrais vous faire mon rapport ? » Elle veut plus d’informations avant d’accepter. Puis une idée lui vient en tête. « Et je veux un papier prouvant que vous ne me mettrez pas à la porte, Monsieur Zoyns. Je ne peux me permettre de perdre ce poste. Mais si je dois me mettre mes collègues à dos, je veux être sûre de garder ce boulot. » A lui de voir.
(c) Dandelion |
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| | Sujet: Re: Le patron du patron de mon patron [Syaoran/cassandre] | |
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| | Le patron du patron de mon patron [Syaoran/cassandre] | |
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