Norah P. Winchester
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Date d'inscription : 14/09/2022
| | | |  Sujet: connard de vampire | lazarus Ven 16 Sep - 17:06 | |
| connard de vampire Norah & Lazarus  Tu papillons des paupières. T'essaie de faire le fous sur ce qui t'entoure, mais ta vision reste flou autour de toi. Et tu as un affreux mal de crâne. Terrible. T’as l’impression qu’un marteau piqueur tape sous ton cuir chevelu. Et tu as mal partout. Tu pries presque pour retomber dans cet espèce de semi coma dont tu viens de t'extraire. Quand tu arrives enfin à mettre un peu de netteté sur ta vision, tu n’arrives qu’à distinguer des murs de briques. Juste des murs. Rien d’autre. La pièce dans laquelle tu sembles être ne contient rien d’autre que toi, et des murs. Pas même une chaise, ou un coussin. Non, tu es étalé à même le sol de la pièce. La pierre est froide sous ta joue, mais impossible de te redresser. C’est comme si ton corps refusé de t’écouter. T’as déjà connu ça. Un jour où tu t’étais retrouvé sous l’emprise de drogue. C’était y’a des années, alors que t’étais encore jeune et que tu testais tes limites. L’alcool n’avait aucun effet sur toi. Enfin, il fallait que tu consommes une très, très grande quantité pour commencer à observer des petits signes. Alors tu avais tester la drogue. Avec un peu de chance, t’étais aussi immunisé ? Mais non. Tu t’étais rétamé à la première inspiration. Et là, t’avais l’impression d’être drogué. Complètement shootée. Défoncé. Est-ce qu’on t’avait fait prendre quelque chose contre ton gré ? C’était définitivement une de tes pistes de réflexions, suspicion.
Quand t’essaies à nouveau de te redresser, tu te rends compte que tu n’es pas juste étaler au sol comme une moins que rien, mais qu’en plus de ça, tu es retenue par des menottes, au niveau des pieds, mais aussi des mains. Merde. Mais sur quel genre de psychopathe tu es encore tombé ? Tu as beau essayé de te remémorer les derniers souvenirs, c’est le flou total. Tu te souviens être sorti, comme tous les soirs. Dans l’intention de chasser. De tuer ces monstres. Tu te souviens bien d’être arrivée dans cette discothèque. Mais après ça ? Rien. Plus de souvenir.
Si ce n’est un regard de braise qui te percute. Cette tignasse brune. Et cette barbe de quelques jours qui te râpe la peau. Mais bordel, comment tu peux te souvenir de ça ? Et surtout, qu’a-t-il pu se passer pour que tu te souviennes de la sensation de sa barbe contre ta peau ? Tu espères plus que tout qu’il s’agit juste d’un combat. D’un bon gros combat qui s’est avéré plus rude que les autres, plus contact que les autres. Mais en même temps, avec cette idée en tête, vu ta situation actuelle, cela ne peut que vouloir dire que tu as perdu. Et qu’alors tu es dans une très très mauvaise situation. « Putain, il ne manquait plus que ça. » Toute ta tête – ou a peu près, retrouvé, tu essaies de tirer de toutes tes forces sur les menottes qui te retiennent captive. Et de la force, tu en as. Parce que tu as déjà tué plusieurs être de la nuit à toi toute seule, et que tu es capable de mettre au tapi plusieurs hommes d’un coup. Mais là, rien à faire. T’as beau tiré de toutes tes forces m, c’est peine perdu. Alors, tu décides de faire la chose la plus stupide que t’es jamais passé par l’esprit. Hurler pour appeler ton geôlier. T’amuser avec ses nerfs pour l’obliger à rappliquer. Insensé, mais que pourrais-tu faire d’autres ? « Eh oh ? Y’a quelqu’un ? » Zéro réponse. Bien sûr, cela aurait été trop facile si ça avait fonctionné du premier coup. « Ducon ?! C’est pas que je m’ennuie, mais un peu. Alors si tu pouvais te dépêcher histoire qu’on en finisse. » Là tu rentre direct dans la confrontation, mais ça ne semble pas plus efficace. « Allez quoi , Tu ne comptes pas m’honorer de ta présence ? J’ai une jolie veine qui ne demande qu’à être mordu par un connard de suceur de sang. » Parce qu’il s’agit de ça. Forcément. Personne d’autres prendrait autant de précaution. « Je suis franchement déçu. Moi qui m’attendait à un peu d’action. A moins bien sûr que tu penses ne pas être capable de faire le poids. Typique de gens de ton genre. Ca prend, mais quand il faut affronter, ça se pisse dessus. » OK, là t’es peut-être aller un chouia trop loin. Mais puis zut, la situation ne peut pas dégénérer plus qu’elle ne l’ai déjà non ?
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Lazarus Haynes
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| | | | | Sujet: Re: connard de vampire | lazarus Mer 11 Oct - 9:22 | |
| connard de vampire Norah & Lazarus P’tit bout de femme. P’tite rose épineuse. Putain qu’elle t’avait donné du fil à retordre. Mais que ça en valait le coup. Après plus de 700 ans, t’avais enfin trouvé une nana à ta hauteur. Elle était venue vers toi, avec sa robe trop courte pour être décente. T’avais regardé sa démarche. Elle te semblait assurée. Mais pourtant, tu pouvais percevoir le léger tremblement dès qu’un vampire avait posé son regard sur elle. Comme si, elle avait légèrement peur. T’avais observé sa façon de faire ce soir-là. Une technique qui laissait à désirer. Elle ne choppait que les bébés vampires. Mais pourtant, ils n’y voyaient que du feu. Et pour cause, t’entendais son cœur battre. Elle devait s’abreuver d’un vampire. Et quand tu vois Skeet qui s’avance vers elle, t’observes. T’as besoin de soutirer des infos à ce connard. Mais elle repart avec. Putain mais elle le fait exprès ? Elle a déjà tué tous ceux avec qui tu devais avoir une conversation ! Alors t’attends qu’elle le bute. Et elle revient dans la boîte. Parfait. T’avances vers elle. « Salut. » Elle te propose de sortir. Elle tente de te draguer. Pathétique. Mais t’hoches la tête. Tu la fais conduire. Hors de question que tu lui laisses la possibilité de te planter un pieu pendant que tu roules. Puis elle se gare. Tu fais sauter le bouton de ton pantalon. Elle rougit. T’en profites. Tu lui envoies ton poing dans la mâchoire. Et t’en donnes un second, même si elle semble inconsciente. Toujours frapper les gens à terre. La ramenant à ta grotte, tu l’attaches correctement après avoir enlevé le bout de tissu qui lui sert de robe. Et t’attends qu’elle se réveille, dans le fond de la salle. Elle peut pas te voir.
Elle s’éveille. T’observes, toujours appuyé contre la pierre. T’as bloqué l’entrée, sait-on jamais. Elle parle. Tu te retiens de rire. Mais c’est que le petit chat à des griffes. Alors t’attends encore un peu. T’as acquis de la patience depuis tout ce temps. Puis tu te décolles du mur. T’avances vers elle, te montrant dans la lumière. « J’ai jamais eu peur d’un affrontement Chaton. » Tu lui lances un sourire en coin. Puis tu uses de ta vitesse. Tu l’attrapes par la gorge sans aucune douceur et tu la plaques contre la paroi de la grotte. T’es pas tendre. Pas alors qu’elle doit être envoyée pour te buter. « Pour qui tu travailles ? Tu suces le sang de qui ? » Parce qu’une humaine ne peut pas être aussi rapide. C’est clairement pas possible. Alors tu sers tes doigts autour de son frêle cou. Tu sens son sang qui pulse dans sa jugulaire. Tu pourrais la tuer d’un coup de croc. Puis t’es un connard. Alors tu descends ta main libre le long de son torse, jouant avec à la lisière du haut de son soutien-gorge. Tu gardes toujours le consentement des femmes avec qui tu baises. Mais ça, elle a pas besoin de le savoir. Tu joues juste avec sa peur qui vient chatouiller tes narines. « J’pourrais te faire parler de bien des manières Chaton. A toi de choisir. »
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